Cinq

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~ J'suis l'cauchemar de tes plus beaux rêves. ~

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J'me réveille en sursaut quand j'ai senti un liquide chaud couler sur ma joue. J'ai mis mes doigts pour essuyer ce qui coulait et j'ai vue que c'était du sang. J'ai froncé les sourcils et je suis allez dans la salle de bain me regarder dans le miroir, j'me suis nettoyer, toujours les sourcils froncés puis j'ai haussé les épaules. C'était bizarre mais j'ai pas trop prêter attention à ca.

Il était quatre heure du matin, je n'arrivais plus à dormir. J'ai mis mon jogging Lacoste et je suis descendu en bas du bloc, la bibi me manquait, je suis allez vers un mec qui travaillait pour moi.

Moi : Eh gros, va te reposer c'est bon j'te remplace.

Lui : Mais il me reste que deux heures boss tqt.

Moi : Eh bouge gros.

Il s'est directement levée et est allez chez lui, déjà j'étais gentil de le remplacer et lui il me faisait perdre du temps.

Après cinq client servie une meuf en legging très moulant et en brassière Calvin Klein est apparu devant moi, je l'ai jamais vue ici. Elle avait l'air paniqué, je les fixés de haut en bas, elle avait son charme mais c'était pas mon style.

Elle m'a dépassé puis a continuer à marchée rapidement en regardant derrière elle, évidement je l'ai détaillée comme il fallait et j'me suis mordu la lèvre parce que il faut de l'avouer hein, elle est bonne. Genre, vraiment. Grosse fesse, sein moyen, bouche de suceuse, j'aime bien.

Elle a fait demi tour et est venu devant, j'ai dû levée légèrement la tête car j'étais assis sur une chaise et elle debout, adossé sur ma caisse en plus.

Je l'ai fixé sans parler, elle voulait me demander quelques chose, ça se voyait. Mais elle avait l'air paniqué, en colère. J'men fou.

Elle : excuse moi?

Je l'ai regardée, elle était tellement lente à parler wAllah elle m'avait déjà saouler.

Elle : Tu connais Enzo ? Fin, il habite au bâtiment trois apparement mais je, je connais pas trop ici.

Vous pensez que sur ma tête il y a marquée " guide " ? Ouais on est d'accord.

Je l'ai donc regardée en sortant mon teh, wAllah pas le temps. J'connais même pas son enzo wesh c'est qui lui d'ailleurs, et le bâtiment trois il était au début d'la cité et cette conne elle est à la fin. Si elle sait pas lire c'est pas moi qui vais lui apprendre.

Moi : Bouge devant moi s'il te plaît tu vas empêcher mes client de venir.

Elle : Mais-

Moi : Casse ta gueule cousine.

Elle : Je, - soupire - Écoute juste dis moi il est où le bâtiment trois et j'te laisse tranquille mais fais pas le fou aussi à croire j'tai demander le prénom de ta mère.

Je l'ai juste fixé et j'ai hoché la tête, j'la connais pas je vais pas la gifler mais wAllah si elle parle mal encore je vais casser sa bouche j'en ai rien à faire.

Elle : - cris - Mais t'es muet ou quoi? T'habite pas ici ?

Moi : wAllah cris encore ici je t'arraches t'es cordes vocal c'est bon ?

Dieu seul sait combien j'étais capable. Elle était entrain d'me chauffer. Quand je lui ai dis ca, pour le bien de mes oreilles elle a juste fermée sa grosse gueule.

Moi : Maintenant bouge de devant moi, casse toi vite d'ici parce que si j'me lève pour te faire bouger tu pourras plus marcher, déguerpis.

Elle a croisée les bras et s'est assise sur le capo de MA voiture.. J'ai encore hochée la tête, deuxième faute. Troisième je fais quoi? Donnez des idées.

Moi : Lève t'es fesses sale de ma voiture.

Elle : Dit moi où est le bâtiment trois et je bouge.

Moi : Le bâtiment trois il est chez ta grand mère.

Elle : Mais, elle .. Elle est morte.

Moi : Tant mieux, tu veux y allez ? Franchement ça me ferai plaisir de t'aider à la rejoindre.

Elle : Mais t'es vraiment un batard, un fils de pute toi.

Moi : Tu t'appelle comment?

Elle : Yas.. Yasmine.

Moi : Yasmine ?

Elle : Hm.

Moi : Casse ta gueule avant que j'me lève parce que mon sang il commence à tourner trop vite là.

Elle m'a fait un sourire très hypocrite et s'est levé en s'appuyant sur la voiture, quand elle a commencé à partir j'ai vue une rayure.

C'est dommage, j'aurai pu la baiser.

J'me suis levée, je l'ai attraper par les cheveux, je l'ai ramener dans ma voiture.

Elle : - paniqué - Mais laisse moi !

Moi : La rayure que ta faite la? - silence - Bref, j'ai déjà trop parler avec toi.

J'ai bien pris ses cheveux et je l'ai cognée contre la fenêtre de ma voiture trois fois et très violemment.

Elle : - saigne du nez - MAIS T'ES MALADE !

Moi : Fallait casser ta gueule quand je te l'ai dis.

Puis elle s'est barré pendant que je me réinstallais sur ma chaise.

𝖢'𝖾𝗌𝗍 𝗋𝗂𝖾𝗇, 𝖼'𝖾𝗌𝗍 𝗅𝖺 𝗋𝗎𝖾. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant