𝖢'𝖾𝗌𝗍 𝗋𝗂𝖾𝗇, 𝖼'𝖾𝗌𝗍 𝗅𝖺 𝗋𝗎𝖾.

Six

~ Tu pueras la merde même si tu squattes la douche ~

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Maksey nous avait inviter, Djibril et moi, à un gala. Évidement nous étions pas convier juste pour bouffer des cornichons et boire du vin.

Maksey : - ferme le coffre - Okay, tout les armes sont là. Quand je vous ferai signe on commencera à dépouiller ces riches.

Djibril et moi on s'est regardée en souriant puis on est allez dans notre voiture. On s'était fondu dans la masse, costard cravate chaussure ciré.

Moi : Y'aura que nous ?

Djibril : Non, il a engagé le Marseillais et ses hommes.

Moi : - soupire - wAllah ce soir je vais pas le calculer mais j'te jure un jour je vais le tuer.

Djibril : - rit - J'en doute pas.

J'ai regardé Djibril et j'ai secouer la tête, c'était ma façon de sourire.

On est arrivé à destination, on est sorti pour rentrée dans le grand espace, il y avait que des blancs. 0 arabes, 0 noirs. On a activé notre oreillettes pour que Maksey puisse nous parler puis on a prit notre verre de Champagne, que je n'ai pas bu.

Djibril : Vient on va au bar.

J'ai pas répondu puis je me suis dirigé vers le bar avec mon frère de coeur. Une femme qui était à côté de nous faisait que de me regarder, si vous saviez à quel point je voulais la niqué.

Moi : - soupire - Eh tu veux quoi?

Elle : Je sais pas .. - gênée - J'ai jamais vu quelqu'un comme toi ici.. Fin..

Encore une blanche frustrée qui aime les rebeux, qui pense que sortir avec quelques qui n'est pas de sa communauté est un " crime "

Moi : J'ai pas le temps pour toi. - se décale - par contre y'a lui.

Djibril a regardée la fille et s'est mordu la lèvre.

Moi : - chuchote en regardant Djibril - Oublie pas qu'à la fin on devra la tuer.

Puis il l'a directement emmenée dans les toilettes, j'ai secoué la tête. Il est trop fort ce mec.

Maksey : Il est où Djiby ?

Moi : Il termine de réglée quelque trucs puis il sera disponible.

Maksey : Je vais lui parler dans l'oreillette, on va bientôt commencer.

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Oreillette : Fermeture des portes, armes ramenée derrière le bar.

J'ai regardée Djibril et j'me suis mordu la lèvre, les choses sérieuses vont commencer les filles.

Djibril : Tu ou je ?

Moi : J'te laisse l'honneur.

Pendant qu'il allait au centre des personnes concernées je suis allez dernière le bar avec Maksey et la bande du Marseillais. Je l'ai mal regardée puis j'ai pris l'arme laissant Djibril faire son chaud.

Djibril : Et c'est donc pour ça que - sort une arme - Vous allez tous vous mettre à genoux, on va passé vous voir chacun votre tour pour prendre vos bijoux et portable. Et vue que vous êtes tous témoins et que vous avez tous vue notre visage, vous allez tous mourir.

Ils ont commencé à hurler, crier, vouloir s'échapper mais les portes étaient fermée à clés.

Le marseillais est passé avec des sacs pour prendre chaque bijou et chaque téléphone. Nous, le reste on a formée trois colonnes de 100 personnes qu'on allait tuer.

Moi : Fermez les yeux, la chance que vous avez c'est qu'on sait visé donc vous n'allez pas souffrir. Faite vos dernière prière et que Dieu vous acceptes au Paradis.

Puis on a tous tiré sur les gens, on visait entre les deux yeux et dans le coeur. On a fait ca en 5 minutes pendant que Maksey regardait la scène en souriant.

1000 euros dans la poche.
Et ça encore c'est que le liquide, quand on va revendre les téléphones et bijoux on gagnera au moins 2000 chacun.

Djibril et moi on est monté dans ma voiture pour rentrée chez nous, on avait compté nos billets tranquillement.

Djibril : Encore une mission réussie mon gars.

Moi : Toujours la a faire le chaud toi, tu pouvais simplement dire qu'ils allaient mourir.

Djibril : Non, je voulais voir la décomposition de leurs visages.

J'ai secoué la tête puis j'me suis garée devant notre cité. J'ai regardée mes billets puis j'ai rouler jusqu'au bâtiment de ma mère, j'ai pris une enveloppe et j'ai écris " pour toi ", elle reconnaîtra mon écriture.

J'ai mis les billets dedans puis je suis rentré chez moi et j'ai dormi directement.