~ Le plus dur c'est de le faire, ce n'est pas d'y pensé ~
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C'est habillé de noir qu'on était devant la bijouterie, on attendait que le dernier policier parte, là banque n'était pas surveillé entre 12h et 14h, on savait ça grâce à la taupe qui travaillait pour nous et qui travaillait aussi à la banque.
Djibril : J'ai trop le seum que Maksey ai mis la bande du marseillais avec nous.
Moi : On s'en bats les couilles de toute façon là ils vont rien gagner, on va gagner toute la tune.
Djibril : - rit - C'est des bénévoles j'suis mort.
J'ai secouer la tête puis Maksey m'a appelée, j'ai mis bluetooth pour que Djibril entende.
_ Conversation Téléphonique
Maksey : Il est 12h02, à 5 vous rentrez.
Moi : Les armes ils sont déjà sur nos genoux.
Maksey : Okay, à partir de maintenant j'aurai plus la visibilité de ce que vous faites mais je vous fais confiance.
On a parler encore quelques secondes puis on a raccroché, c'est rare que Maksey vienne au braquage, là il doit être dans son bureau en train de stressé, c'est soit on revient soit pas.
Djibril : 05.
On est sorti de la voiture en courant suivi du marseillais, on est rentrée dans la banque et on a directement tiré sur ceux qui travaillais la bas.
Moi : Le marseillais, va dans les bureaux tuer le directeur et tout les gens qui s'y trouve. Les deux autres la, allez en bas avec la taupe et prenez tout l'argent du coffre, puis vous allez ensuite mettre dans le coffre de la Merco.
Maintenant il restait que Djibril et moi, les autres étaient occupé. Djibril a fermée tout les grillages de la banque, porte à clé puis on s'est regardée. Personne va savoir ce qui se passe là.
Djibril : Toi?
Moi : Je sais que tu kiff le faire alors fais.
La taupe avait éteint toute les caméras de surveillance, si on se faisait attraper c'est que vraiment on n'avait pas de chancre.
Djibril : Et comme je vous le disais au début nous n'avons pas de cagoule, et c'est parce que vous allez tous mourir. Vous êtes tous témoins, vous avez tous vu nos visage donc on vas tous vous tuer.
Ils sont commencée à pleurer pendant que Djibril les mettait en fils indienne, ils devaient être 20-25 et il y avait 0 enfants.
Djibril : J'te laisse l'honneur, je vais voir si les gars mettent bien l'argent dans le coffre puis je vais les faire dégager. Si jamais y'a bourbier tu me dis et je reviens.
J'étais à présent seul devant toute ses personnes qui me suppliait du regard de ne pas les tuer.
Moi : Ne vous mettez pas en file indienne, faite une ligne, mettez vous tous côtes à côtes.
ils se sont exécuté puis quand j'ai regardée tout les personnes qui allait mourir et j'ai vue Dayanaa, elle me regardait en pleurant, elle respirait même plus tellement elle pleurait. Je l'ai regardée droit dans les yeux et j'ai soupiré.
J'ai commencé à tiré sur toute les personne présente, tête, coeur, tempe, tête,coeur, tempe. Une fois avoir attrapé ceux qui avait couru il me restait plus que Dayanaa, je suis allez devant elle.
Moi : Tu veux que je tire où ? - met le pistolet sur sa tête - Tête ? - met le pistolet sur sa tempe - Tempe ? - met le pistolet sur son coeur - Coeur ?
Elle essayait de parler mais aucun son ne sortait de sa bouche, je l'ai juste fixée, même comme ça elle était belle. J'me suis mordu la lèvre, pourquoi elle pleurait comme ça?
Dayanaa : Je, je - essaye de reprendre son souffle - Ne me tue pas s'il te plaît.
je l'ai fixée longuement pendant qu'elle reprenait son calme puis dès qu'elle m'a regarder dans les yeux c'était mort, j'arrivais pas à tirer. Je l'ai regardée de haut en bas.
Moi : Viens, dépêche.
J'ai marché rapidement en réfléchissant aux conséquences, je marchais rapidement devant elle puis elle courait derrière moi, arrivé à la voiture Djibril a ouvert grand les yeux.
Moi : Parle même pas.
Djibril : T'a pas fais ça ?
Moi : Eh je peux pas. J'arrive pas, ta gueule.
J'ai tiré Dayanaa dans la voiture violemment, je vous jure que je voulais la frapper, j'voulais lui faire du mal.
J'ai démarré en trombe car on entendait déjà les sirènes arrivée, j'ai pris des petits chemin, une voiture de police nous suivait, Dayanaa pleurait et Djibril me faisait la moral. Ma tête était en feu, je voulais tout niquer.
Moi : - cris - Oh fermez vos gueules la ! Vous voulez qu'on se fasse attraper ou quoi? Fermez la putain.
Et le silence régnait dans la voiture, après trente minutes de route j'avais enfin réussi à les semer, Djibril s'est retournée vers Dayanaa.
Djibril : T'ouvre ta bouche, t'es morte. Tu racontes ça à quelqu'un, même ta mère, t'es morte. Tu sera suivi maintenant, on va te surveiller, si on te vois allez vers un commissariat, t'es morte. T'es appels seront tracés, si on sait que tu as parler de ca, t'es morte.
Elle hochait la tête sans parler, elle était effrayé. Elle faisait que de me remercier aussi, je l'a calculais même pas, j'aurai dû la tuer je sais.
Pourquoi je l'es pas fais ? Je sais pas.
Pourquoi quand elle m'a regardée c'est comme si elle me contrôlait ? Je sais pas.
Pourquoi je l'es pas au moins frapper ? Vous posez trop de question.
Moi : T'habite où?
Dayanaa : Je.. Pour-Pourquoi?
Moi : - s'énerve - Putain j'aurai dû la tuer cette conne.. Tu veux pas que j'te ramène chez toi ou quoi ?
Elle m'a donnée son adresse puis j'ai conduis jusqu'a chez elle, quand elle est sorti en me remerciant, Djiby lui a fait une dernière fois la moral puis elle est rentrée chez elle en courant.
J'ai pas pu démarré toute suite, Djibril m'a regardée, il savait ce qui allait se passer par la suite, Dayanaa j'allais pas la lâcher comme ça. Fallait que je comprennes des petites choses.
Djibril : Fait tout ce que tu peux pour la cacher à Maskey. Fais pas le con.
J'ai pas répondu et j'ai démarré, Dayanaa .. Elle sera mon petit secret.
