Il est pas né celui qui peut m'achever.
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_ Ellipse de quelques mois.
J'étais avec Djibril dans la voiture en train de parler de tout et rien, ça faisait longtemps qu'on n'avait pas parler ensemble lui et moi, notre vie de famille était tellement active qu'on s'était oublié, alors on s'est dit que chaque vendredi soir on se posait dans la gova, en train de fumer un bon teh pour rattraper le temps perdu.
Moi : Franchement on a eu une vie de ouf, j'pourrais même pas te dire c'est lequel mon meilleur moment wAllah.
Djibril : Moi c'est quand on faisait les braquages, c'était trop bien, moi qui disait les discours et toi qui tuait tout le monde. - souris - " Et comme vous le voyez on n'a pas de cagoule, donc vous voyez tous nos visage et vue que vous êtes tous témoin, vous allez tous mourir. "
Moi : PawPawPaw. - sourit - wAllah c'était n'importe quoi, on était plus organisé que n'importe qui wAllah.. - soupire - Moi mon moment préféré je crois c'est quand on a tuer Maskey, c'était un moment de satisfaction pour moi, pour nous.
J'ai craché la fumer qu'il y avait dans ma bouche et on a arrêté de parler laissant du PNL en bruit de fond, j'ai ensuite regardé Djibril en me disant que normalement, il aurait dû être mort.. Des fois j'en reviens toujours pas.
Moi : - soupire - Et dire que t'étais mort. W'Allah des fois j'y crois toujours pas.
Djibril : J'ai été longtemps dans les vapes aussi, tu sais pas comment j'avais le seum quand ton père m'a menacé pour pas que je reviennes vers toi..
Moi : wAllah ce fils de pute j'entends même plus parler de lui laisse tomber.
J'ai jeté le joint par la fenêtre et j'ai un peu augmenter le son de la voiture, Uranus passait et c'était l'une de mes chansons préféré, elle était vraiment apaisante.
Moi : Imagine je serai pas allez en République dominicaine, wAllah on se serai jamais vue que je penses.
Djibril : Dieu fais bien les choses, je te l'ai toujours dis.
J'ai souris puis on a continué à parler, vers 19h je suis rentrée à la maison puis j'ai remarqué que la maison était vide, il y avait juste Dayanaa.
Quand je l'ai entendu reniflée je suis rapidement allez vers elle puis quand elle m'a vue elle a sauter sur moi. J'ai caressé son dos doucement en fronçant les sourcils.
Moi : Qu'est-ce qu'il y a Dayanaa.
Elle s'est écartée de moi et m'a sourit, elle m'a passé un test de grossesses et j'ai vue qu'il était positive. Je l'ai regardée en souriant puis je lui ai fais un bisou sur la bouche, wAllah j'étais refais.
Moi : Encore un ? - sourit - J'suis grave content bébé wAllah merci.
Je l'ai embrassé plus longuement puis je me suis séparé d'elle quand les enfants sont arrivés.
Moi : Parlez pas, allez vous sappez ce soir on va au restaurant.
_ 20:30.
Nous étions tous autour de la table en train de parler de tout et rien puis Dayanaa m'a donner un petit coup sur le genou, ahlala elle est trop pressé de leurs annoncer.
Moi : Croyez pas que si vous êtes ici c'est pour rien, votre mère a quelques choses à vous dire.
Dayanaa : - souris - Je suis enceinte les enfants, vous aurez soit une petite sœur, soit un petit frère.
Aya : - sourit - Je suis trop contente, j'espère que ça sera une fille sinon je vais vraiment trop souffrir, ça sera vraiment de là malédictions là.
Mehdi : - rit - wAllah j'espère ça sera un gars, parce que si c'est une fille j'serai obligé de me battre avec toute la terre encore et j'ai pas payé pour ça moi.
Kais : - sourit - Moi j'veux juste jouer avec, m'en fou si c'est un garçon ou une fille.
J'ai souris puis on a commencé à débattre sur tous ça, wAllah j'étais heureux. J'étais si content d'avoir bientôt un nouveau née, wAllah j'étais refais.
Je ne pouvais pas rêver de mieux.
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𝖢'𝖾𝗌𝗍 𝗋𝗂𝖾𝗇, 𝖼'𝖾𝗌𝗍 𝗅𝖺 𝗋𝗎𝖾.
Любовные романыOn connaît pas l'avenir, peut-être que même avec mon argent sale j'pourrai acheter ton coeur.