~ Que notre histoire fut belle mais c'qui est beau est rarement éternel.~
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Dans la peau de Dayanaa
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J'étais très touchée qu'il réagisse comme ça, j'ai toujours été droite avec lui, j'étais si contente de le voir et regardez comment il m'a rejeter.
Il est parti avec sa voiture et je l'ai regardée faire avec de la colère qui bouffait mon coeur. Je suis monter chez moi en vitesse puis je suis directement allez dans la douche histoire de me détendre.
J'avais pas compris sa réaction, peut être qu'il était déjà énervée mais et alors ? Il avait pas à mettre sa colère sur moi en fait.
J'ai soupiré, j'me suis suis mise en pyjama et je suis allez dans la cuisine.
( Pyjama de Dayanaa. )
J'avais juste fais du riz, haricot rouge avec du poulet. Je devais recevoir une amie ce soir donc j'allais en quelques sortes la mettre bien.
Toctoctoc.
Elle était enfin là, j'ai même pas prit la peine de me couvrir que je suis allez ouvrir la porte. Je suis restée bloquée quand j'ai vue la grande ganache de Abdellah devant moi.
J'ai laissé échappé un léger rire en le regardant de haut en bas et je suis retournée à mes occupations, c'est à dire assaisonner mon poulet.
J'ai entendu la porte d'entrée se claquer et j'ai vue Abdellah se diriger devant moi.
_ Imessage
6ter 🥇 : Bb j'suis malade, je pourrai pas venir désolé
Moi : J'ai fais un mois de bouffe pour ton gros ventre la et tu me dis ca
J'ai soupiré, comme par hasard hein. Abdellah me regardait faire puis a soupirer. Eh ouais mon gars, t'a vraiment cru j'allais te calculer ? Counia'mamaw.
Abdellah : Y'a quoi ?
🌪
Abdellah : W'Allah j'étais pas d'humeur.
🌪🌪
Abdellah : - soupire - Arrête s'il te
plaît, j'te jure je le pensais pas Dayanaa.🌪🌪🌪
Je l'ai regardée encore une fois de haut en bas puis j'ai mis mon poulet dans le four, ensuite je me suis dirigée dans ma chambre et j'ai entendu Abdellah dire plein d'injure suivit de ses pas qui se rapprochait de ma chambre.
J'ai allumé ma télé, Netlflix tu connais et monsieur est venu s'allonger sur mon lit. Je l'ai regardée faire et j'ai éteinte les lumières pour allumer les veilleuses.
J'ai voulu m'allonger sur mon lit mais monsieur m'a prise et m'a assise à califourchon sur lui. J'ai croisé les bras en le regardant mal encore une fois.
Abdellah : Arrête de faire la meuf tu vas m'énerver.
Moi : - plisse les yeux - Bah moi je suis déjà énervée. Tu te prends pour qui pour t'adresser à moi comme ça ?
Abdellah : J'étais déjà vénère Dayanaa, et toi tu viens avec t'es questions la.
Moi : C'est pas mon problème en fait, t'es énervée t'es nerf tu les passes sur ta pute mais surtout pas sur moi, t'a compris ?
J'ai pointé mon doigt sur son torse pendant qu'on se regardait dans les yeux. J'allais certainement pas baisser la tête ou éviter son regard, si je lui tiens pas tête, qui va le faire ?
Il a détournée ses yeux des miens pour me faire des bisous sur le cou et j'ai soupiré.
Moi : Non.. C'est trop facile Abdellah.
Abdellah : - continue ses bisous - C'est bon... Dernière fois.
Au début je le repoussais un peu mais faible que je suis je l'ai laissé faire, j'ai mis mes mains autour de son cou et j'ai souris.
Moi : Pourquoi t'étais énervée comme ça ?
Dis-je en le regardant, les mains toujours sur ses épaules.
Abdellah : Tu sais ce que je fais c'est pas bien, je fais pas des choses que la loi valide si tu vois ce que je veux dire... Et dans ce milieu être entouré c'est pas très bon, - me regarde - c'est pour ça que je te laisse loin de ca.
J'ai souris légèrement mais j'ai pas répondu pour le laisser continuer.
Abdellah : Et c'est interdit d'avoir une maman.. Et Djibril, que tu connais, bah il avait garder sa maman.. Mon boss il l'a tuer. Du coup j'étais un peu vénère.
J'étais choquée, il est malade son boss, je me demande quel fou est capable de faire ca.
Abdellah : Bref, je t'en ai déjà trop dis la.
Moi : Raconte moi encore des trucs là, fais pas le crevard.
Abdellah : Sache juste que je fais des choses que t'aimerai pas savoir.
Moi : Je le sais ça Abdellah, tu as tuer des gens et braquer une banque devant moi.
Il m'a regardée en se mordant la lèvre et a enrouler ses bras autour de ma taille. Il a approché sa tête de la mienne et m'a fait un léger smack.
J'ai ouvert grand les yeux, j'étais pas prête du tout, j'ai même pas eu le temps de lui répondre qu'il a mit ses mains sur ma taille pour me faire dégager de sur lui.
Abdellah : Bon j'm'arrage.
J'me suis levée de sur lui puis j'ai marchée jusqu'à la porte, lui derrière moi pour aller à la porte.
Moi : Tu reviens quand ? - petit sourire -
Abdellah : Dis toi que peu importe où t'ira je saurais où tu sauras, alors je viendrai directement.. Y'a pas de date.
Moi : On se dit à demain alors ?
Il a pas répondu et a préféré me refaire un léger bisou sur la bouche puis sur mon front.
Abdellah : J'te promet rien.
Et il parti en me laissant avec le sourire au lèvre.. Abdellah, Abdellah.
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𝖢'𝖾𝗌𝗍 𝗋𝗂𝖾𝗇, 𝖼'𝖾𝗌𝗍 𝗅𝖺 𝗋𝗎𝖾.
RomanceOn connaît pas l'avenir, peut-être que même avec mon argent sale j'pourrai acheter ton coeur.