- Et les vrais savent qu'on est vrais. -
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L'anniversaire a finir aux alentours de 20h, on a fait un repas en famille pour finaliser ça puis j'ai emmené les enfants dormir, malgré leurs grand âge on a prit l'habitude d'aller leurs dire bonne nuit avant qu'ils dorment, on sait jamais ce qui se passera dans la nuit.
Moi : Bon ben c'est officiel, t'a enfin 13 ans petit bolosse.
Mehdi : Ouais. - sourit - Baba, tout à l'heure tu m'a fais peur quand tu t'es battu avec le papa de Rayan mais merci de m'avoir défendu.
Moi : Pourquoi tu me dis merci sale trimard ? C'est normal que je te défende, si il revient vers toi tu me dis direct.
Mehdi : Oui baba.
On a fait notre check puis il a commencé à dormir tranquillement, je suis allez dans la chambre d'Aya et elle m'attendait.
Moi : wAllah toi tu m'aime trop.
Aya : C'est normal t'es le premier homme de ma vie.
Moi : T'a raison et j'espère être le seul.
Elle a roulé des yeux et j'ai ris, direct j'me suis couchée sur elle pour essayer de l'étouffer puis je lui a fais des guillis, elle même a 20 ça restera mon bébé, c'est sur.
Moi : T'essaye de dormir okay ? Et si t'arrive pas tu me dis je viens dormir avec toi.
Elle a hoché la tête et je suis parti dans le salon avec Dayanaa, Kais dormait depuis maintenant deux heures on était maintenant que nous deux pour notre plus grand bien.
Moi : J'ai dis à Aya que si elle arrive pas à dormir j'irai dormir avec elle, t'inquiète pas si dans la nuit tu me vois pas.
Dayanaa : - fronce les sourcils - C'est bizarre qu'elle n'arrive pas à dormir comme ça, si ça persiste on ira chez le médecin.
J'allais répondre mais la sonnerie a retentit, j'ai froncé les sourcils et j'ai regardée Dayanaa.
Dayanaa : J'attend personne moi.
J'ai soupiré et je me suis dirigé vers la porte pour l'ouvrir. Il était 23h, je ne sais pas qui ça pouvait être.
Moi : T'es qui ? - rit -
Le temps que le mec réponde Dayanaa est venu derrière moi pour voir qui s'était et elle a commencé à pleurer en s'effondrant par terre, j'ai compris qu'elle le connaissant alors j'ai fais rentrée le gars qui lui avait les yeux rouges. J'ai relevée Dayanaa puis je l'ai assise sur le canapé, elle arrivait même pas a parler et le mec restait devant la porte d'entrée.
Moi : Viens t'asseoir, viens.
Il était grave poli, il est venu s'asseoir au côté de Dayanaa et quand j'allais entamer la discussion une petite voix m'a couper.
Aya : C'est lui papa, c'est lui qui est venu me voir à l'école !
J'ai regardée le monsieur puis je suis allez vers Aya pour l'a ramener dans son lit.
Moi : T'es sur c'est lui bebe ?
Aya : J'suis sur et certaine, c'est lui qui me parlait.
Moi : D'accord, ta maman le connaît alors j'pense qu'il doit pas être bien méchant..
Aya : Après tu viens me dire c'est qui ?
Moi : Ouais, essaye de dormir.
Elle a hoché la tête et je suis reparti dans le salon, Dayanaa s'est calmée et parler avec le mec, j'me suis assis devant eux avec les sourcils froncés, bon je sais toujours pas c'est qui hein.
Dayanaa : Bébé, c'est mon père. Il n'est pas mort, il était juste en prison à l'étranger, Maksey a tout fait pour qu'il se fasse emprisonner.
Lui : Tu connais Maksey ?
Moi : J'ai.. On va dire, bosser pour lui un moment..
Je lui ai serré la main par respect, j'suis devant la père d'ma femme quand même.
Lui : J'suis ravi de te rencontrer, j'suis Marcel.
Moi : Abdellah.
Puis on a commencé à parler, faire plus ample connaissance.
Marcel : J'aimerai bien qu'on se voit pour parler de Maksey, de ce que tu as fais dans la vie.. Rattraper le temps perdu
Moi : Sans problème.
Je les ai laissé les deux tranquillement puis je suis allez voir si Aya dormait, c'est pas j'entre dans la chambre j'vois elle fait des playback sur snap, eh je voulais la tuer.
Moi : Aya, demain t'es morte.
Elle a rigolé et m'a dit de venir m'allonger avec elle. Je suis donc allez la rejoindre tranquillement puis on a commencé à parler.
Aya : Du coup c'est qui ?
Moi : C'est ton grand père, c'est le père de ta mère.
Puis on a commencé à débattre jusqu'à 2h30 du matin sur ca et j'ai finis par allez les rejoindre quand Aya s'est endormie, en une journée il s'est passé beaucoup de chose, on avait donc tous besoin de dormir.
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𝖢'𝖾𝗌𝗍 𝗋𝗂𝖾𝗇, 𝖼'𝖾𝗌𝗍 𝗅𝖺 𝗋𝗎𝖾.
RomanceOn connaît pas l'avenir, peut-être que même avec mon argent sale j'pourrai acheter ton coeur.