- Je crois en Dieu non pas en l'homme et ses mensonges. -
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________________ Dans la peau de Dayanaa _______________________
_ Une semaine après.
Je venais de finir de faire à manger pour Abdellah, il était vraiment triste, il ne parlait plus et ne sortait que très rarement de la chambre, c'était compréhensible.
Je suis allez dans la chambre avec son plat, j'ai embrassé son front et j'ai posé l'assiette à côté de lui avec un sourire rassurant.
Moi : Bon appétit bébé.
Il a pas répondu et m'a tiré pour me faire un petit smack, puis je lui faisais plein de petit bisou partout et il a même finit par s'endormir. J'ai mis l'assiette sur le meuble pour pas le déranger et je suis reparti dans la cuisine avec les enfants.
C'était très dur pour lui, Djibril c'est son ami de toujours et le perd comme ça c'est très frustrant, il va s'en remettre, je le sais. Mais quand ? Très bonne question.
J'me suis assise devant eux et on a fait leurs devoir tranquillement. C'était dur de les gérer, je les couchais, réveillais, emmenait à l'école bref je faisais des choses à la place de Abdellah mais c'était pour la bonne cause.
Moi : - soupire - Aya, compte avec t'es doigts, si Lucas a 10 pommes et il en passe 4 a sa maman, il lui en reste combien ?
Elle était entrain de compter avec ses doigts pendant que Mehdi me regardait, je lui ai souris et il a soupiré.
Mehdi : Yemma il a quoi papa ?
Moi : Il est juste un peu malade en ce moment, il va s'en remettre, vous inquiétez pas.
Il m'a sourit et s'est remis à faire ses devoirs pendant que je le fixais, ça devait être perturbant aussi pour eux et je le comprends très clairement. Je penses que les deux avaient besoin de l'autre, peut-être que en parlant avec les enfants Abdellah ira de mieux en mieux.. Je sais pas, c'est dur. Il faut que je sois là pour les deux.
J'avais entendu la douche se déclencher et j'ai donc débarrasser la table pendant que les petits allait ranger leurs affaire dans leurs chambre. Je faisais la vaisselle quand j'ai senti des bras autour de ma taille, j'me suis essayer les mains et j'me suis retourner vers lui.
Moi : T'es enfant ont besoin de toi Abdellah.. Il commence à me réclamer ta présence bébé.. Je sais que c'est dur mais il va falloir être là pour eux de temps en temps.
Abdellah : - embrasse mon front - Je le sais ca, et moi aussi j'ai besoin de vous. C'est pour ça que je suis ici.
Je suis ai souris et on s'est fait un bisou.
Mehdi : Starfoullah.
J'ai ris et on s'est décoller pour tous allez au salon, ça faisait longtemps qu'on ne s'était pas réuni en famille et il est vrai que ça fait du bien.
On a mit un film comique puis on a regardée ça dans le silence.
_ Ellipse d'une heure.
Les petits dormaient sur le canapé et Abdellah et moi on terminait de regarder le film.
Abdellah : On peut parler ?
Moi : - hoche la tête - Oui, mais avant va coucher les petits, ça fait longtemps et ça fera du bien à eux et à toi aussi.
Il les a porter les deux en même temps et est parti les coucher pendant que je rangeais le salon et je suis allée attendre bae dans notre chambre.
Après trente minutes il est enfin venu dans la chambre et m'a mis à califourchon sur lui, il m'a fait plusieurs bisou et un câlin.
Il était vraiment triste, mon coeur se serrait en voyant sa mine triste et j'ai donc embrassé son front.
Abdellah : wAllah j'taime Dayanaa, me laisse pas. Reste avec moi et les petits, wAllah je t'aime.
Je lui ai souris, après plusieurs mois de haine, de doute il m'a enfin dis, c'était un amour réciproque.
Moi : Moi aussi je t'aime Abdellah, je resterai à t'es côtés le temps qu'il faudra et les petits aussi Abdellah.
Il a mis sa tête dans mon cou et m'a fait plein de bisou, j'ai rigoler en vite fait et je l'ai regardé dans les yeux.
Moi : C'est fini tout ça Abdellah hm?
Abdellah : J'te le promet, j'nous mettrai plus jamais en danger.. C'est finit. On peut prendre une vue normal, enfin.
On s'est embrassé et on a commencé à dormir.
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J'ai eu dix mille messages comme ça mdddr, dans la chronique il y a 80 parties déjà écrite. Tout vas bien se passer les enfants, vous inquiétez pas.
