Partie 58💠:

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Salam Allhekoum.⭐️

<< DANS LA PEAU DE SAMIR >>

!?: Mr Samir Ben A*** !?

J'ouvre les yeux, puis me desserre d'ma femme que j'aime plus que tout. Bref, j'regarde devant moi et qui je vois là !?

J'pense que vous l'savez tous/toutes autant que moi.

Deux agents d'police, avec Nasser et aussi Khelti Amira nous faisaient face. Au début personne ne parlait. Juste qu'on s'regardaient tous et toutes. Bon sang comment vous dire l'sentiment que j'ai eu à la vue d'ma tante pour la 1ère fois depuis que j'lui ai enlevé son fils !?!

Elle avait tant de haine dans son regard, et en même temps tant de peine.

Putain comment vous dire mon état d'âme à cet instant précis !?!
Comment vous dire que j'allais pas mais alors pas du tout bien en voyant tant d'mépris, tout c'mélange d'sentiments qui transperçait les yeux d'ma pauvre Tata, qui, depuis ma naissance jusqu'aujourd'hui m'a toujours respecté, m'a chérit et vraiment tout c'que vous voulez les gens !?!

J'en avais eu des frissons en croisant son regard. Après la mort de Hachem, j'ai toujours vu ce jour arrivé, j'ai su que ça ne serait pas facile, mais ja_mais, au grand jamais j'aurais imaginé que cela aurait un tel impacts sur moi.

J'n'aurais pour une seule seconde cru que MÊME en ayant devant moi la face d'celle que j'aime, celle pour qui j'ai fais c'que j'ai fais, non j'n'aurais jamais imaginé que voir une seule larme perlé la joue de Khelti pouvait m'faire m'sentir si mal. J'aurais jamais cru que ce poids d'voir son état pouvait m'pesé bien plus que celui d'la mort de Hachem que j'porte sur la conscience, non jamais !!! 👌

Hassoul, j'avais accroché mon regard au sol prêt à n'pas l'enlever si c'est pour encore croisé celui de Khelti Amira.

Mais j'sors d'mes pensées en remarquant le keuf qui répète:

Policier: Êtes vous Mr Samir Ben A*** !?

Là, j'relève mes yeux de par terre pour venir les planté dans ceux d'mon reuf, Nasser, l'sang.

Moi: Oui, c'est bien moi !
Policier: Vous êtes en état d'arrestation pour le crime de Mr Hachem A*** !?!
Moi:.....
Policer: Suivez nous. Et vous avez intérêt à gardé l'silence parce-que tout c'que vous direz sera tenu contre vous l'jour du procès !?!
Moi:.....

Bref, j'étais resté là à regarder droit dans les yeux mon frère pendant que les condés, eux bah ils se chargaient d'me passé les menottes.

J'supportais pas d'voir, ni d'entendre khelti pleuré. J'me sentais mal, j'me sentais coupable d'ce qui lui arrive. J'voulais l'épaulé, la calmer, la mettre bien en gros ! Mais comment !? Hein, dites moi comment, quand moi d'mes propre mains j'ai buté son propre fils ?!?

Dites moi les gens, comment vais-je lui séché les larmes quand c'est moi même qui les lui a causé !? Quand moi, son propre neveux, quand moi l'fils d'sa propre soeur de sang, quand moi Samir Ben A***, j'lui ai enlevé son propre fils ?!?

!?: NON !

Hassoul...

La voix presque cassée de Sarah m'tire d'ma rêverie. J'lui accorde mon attention quand j'remarque qu'elle s'était interposé entre les keufs et moi. Elle leurs bloquaient l'passage pour les empêcher d'me passé les menottes sur mon autre bras restant.

Mon Imam, mon thug [Terminer].Où les histoires vivent. Découvrez maintenant