When White Man Meets Black Woman

XII

Alors qu'Azela était entrain de déjeuner dans sa chambre, Adōnis lui se demandait d'où provenait le soudain changement d'humeur d'Azela. Elle n'agissait plus comme son ami mais comme une employé et avait même repris le vouvoiement de plus belle. Elle refusait de prendre son déjeuner et son dîner avec lui pour aucune raison et lorsqu'ils prenaient le petit-déjeuner ensemble elle ne lui parlait pas et se contentait de simplement mangé. Cette attitude soudaine de sa part l'irritait car il ne supportait le fait qu'elle l'ignorait, qu'elle ne souriait plus et qu'elle l'évite comme la peste. Il se devait de discuter avec elle pour comprendre la raison ou les raisons de son agissement à son égard.

Prenant les escaliers, il accéda à la chambre d'Azela bien rapidement et entra sans y être invité. C'était chez lui après tout. Et s'il voulait respecté des règles il le faisait ou pas. Alors qu'il entra, il ne s'attendait pas à la voir en sous vêtements. Sa peau couleur caramel brillait, et une odeur de vanille flottait dans l'air. Elle était entrain de mettre une crème hydratante puis elle se retourna et cria.

- Ça va pas non ? Vous ne savez pas frapper avant d'entrer ?
Hurla-t-elle.
- Je suis désolé, mais je dois absolument te parler.
- Ça peut attendre je crois.

Voyant qu'elle essayait de se défiler à cause de sa gêne, il comprit très vite qu'une fois qu'elle sera sorti d'ici elle l'évitera comme avant. Alors il saisit cette opportunité pour régler le différent.

- Non, je veux te parler maintenant. Pourquoi tu m'évites depuis mardi ?
- Pas du tout, je ne vous évite pas.
- Tu me vouvoie depuis ce jour, puis-je savoir pourquoi tu es revenu à ce stade ? On est ami n'est-ce pas ?
- Pourriez-vous sortir s'il vous plaît ! Je veux pouvoir m'habiller.

Adōnis ne fit rien de ce qu'elle attendait et se retourna tout simplement.

- Vous faites quoi comme ça, sortez maintenant s'il vous plaît.
- Je ne te vois point ainsi, maintenant répond à mes questions ensuite je m'en vais.
- Très bien. Pour répondre à vos questions, je ne me sens pas à l'aise avec vous.
- Mardi nous l'étions pourtant.
- Oui, jusqu'à ce que vous parliez de votre ex-femme.
- Qu'est-ce qu'elle vient faire dans cette histoire.

Interdite, Azela se demandait si elle devait laisser entendre à cet homme qu'elle ressentait des choses pour lui ou simplement se taire et parler d'autre chose.

- Vous m'aviez laissé entendre que vous l'aimez toujours.

Trop tard pour remballer ses mots. Elle venait de lui dire ce qui la tracassait depuis ce jour.

- Cela est vrai mais elle ne fait plus partie de ma vie.
- Vous me faites comprendre que vous ne me voyez pas comme une amie mais une femme et qu'il y a une certaine je cite attraction sexuelle entre nous pour ensuite me dire que vous aimez toujours votre ex-femme ! Excusez-moi mais je ne suis pas un lot de consolation, comme vous avez perdu la femme de votre vie vous vous rabattez sur la mère porteuse. Cria-t-elle en pleure. Je ne veux pas être votre lot de conso...

Adōnis venait de plaquer avec fureur ses lèvres sur celles d'Azela. Il venait finalement d'avoir la raison de son éloignement. Cette femme l'aimait. Elle ne l'avait pas dit, mais il le savait désormais.
Alors qu'elle résistait au baiser, Adōnis la sera fort dans ses bras, l'intimant à s'y abandonner, là où il y avait toute la tendresse qu'il pouvait lui donner. Azela furieuse de voir qu'il se servait de se moment pour l'embrasser le poussa violemment et lui donna une gifle.

Adōnis ne comprenait rien, il l'embrassait, lui témoignant ainsi son ressenti et elle le giflait. Puis comme hypnotisé par lui elle le tira vers elle et le ré embrassa avec la même virulence.
Adōnis rêvait de cet instant depuis qu'il l'avait vu dans ce restaurant, et l'émotion de la voir si sexy dans ses sous-vêtements en dentelle noire fut à la hauteur de l'attente.
Il s'écarta légèrement pour contempler ses courbes féminines, dans son soutien-gorge sa poitrine dressée n'en était que plus excitante, son string ne cachait rien de sa cambrure et de ses fesses terriblement rebondies.