When White Man Meets Black Woman

III

Ça faisait quatre jours qu'il attendait cet appel, mais apparemment la jeune demoiselle ne voulait clairement pas de son aide quoiqu'elle l'aiderait elle aussi en retour.

En plus, Adōnis ne comprenait pas ce qui lui était passé par la tête de la chercher dans Oslo pour lui proposer un travail et encore plus, lui parler de baby-sitter. Il n'avait pas d'enfant, pas même un chien.
Il était évident qu'il avait un problème, avec toute les femmes présentent dans Oslo il le demandait à une noire, des mal honnêtes de surcroît.
Il ne comprenait point ce qui se passait dans son cerveau. Alors il jugea bon que c'est son coeur qui se manifestait ou le désir d'avoir au plus vite ce qu'il désirait le plus au monde. Et si elle venait il serait obligé de lui dire réellement pourquoi il avait besoin de ses services. Et ce qu'il veux d'elle comme service n'était pas facile à digérer. Surtout quand on vous fait venir au départ pour autre chose.

À cet effet, Adōnis se leva de son siège et tourna dans son bureau tel un lion en cage. Il ne supportait pas le fait de ne rien maîtriser. Il sentait la situation lui filé entre les doigts. Tout devait rester sous son contrôle.
Irrité, il se dirigea vers son bureau chercher une agence pour mères porteuses quand son combiné sonna.

- Adōnis Rádamanthys, j'écoute.
- Bonjour, C'est Azela, la femme avec laquelle vous êtes entré je site " en collision " dans une rue près du café de la place.

À l'évocation des mots collision et café de la place, Adōnis ne put retenir un sourire, elle avait fini par appeler, ce qui signifiait qu'elle viendrait. C'était plus que bien, il n'avait plus aucune raison d'appeler cette agence.

- Vous vous êtes finalement décidé à m'appeler.
- Oui monsieur, c'était pour une offre d'emploi c'est bien çà ?
- Cet emploi est toujours disponible, vous le voulez ?
- Oui, où est-ce que je passe l'entretient ?
- Je vous vois au ****** je ne pourrai me déplacer.
- J'y serai dans une heure à peu près.
- Je vous attends.
- Merci.

Alors là c'était la nouvelle la plus extraordinaire de sa journée. Enfin il avait trouvé une mère pour son bébé. Quoi de plus merveilleux pour lui. Depuis longtemps qu'il attendait cette opportunités d'être père. Décidément les dieux grecs étaient avec lui aujourd'hui.

Bienheureux de cette nouvelle, il appela illico presto son avocat, maître Klaúdios pour lui demander d'apporter le contrat, mais encore il ne savait pas comment réagira Azela, s'il accepterait ou refuserait sa proposition.
Azela, c'était la première fois qu'il entendait ce prénom.

Alors qu'il réfléchissait à comment est-ce qu'il lui dirait qu'elle ne sera pas baby-sitter mais mère porteuse.
Adōnis se préparait mentalement déjà à son refus, il ne devait pas montré sa cruauté à cette femme. Alors il se mit dans les meilleures conditions neutralisant sa colère qui pouvait éclater au moindre refus. Pendant qu'il buvait son thé, Séraphine sa gouvernante norvégienne pour le laps de temps qu'il passera ici, vint lui annoncé la présence de Azela.