Bonjour ou Bonsoir (selon les cas).
Désolé j'avais dis que je posterai probablement hier. Mais bon j'ai une vie à côté ;D et je suis rentrée tard hier soir et pas vraiment motivée à relire le chapitre avant de le poster.
Donc... j'ai préféré attendre ce matin et voici la suite !
Faudra patienter pour le prochain chapitre qui n'est pas écrit. Comme j'ai moins de temps qu'en août, j'ai moins l'occasion d'écrire, donc il ne faut plus s'attendre à un chapitre par jour.
Mais revenons à l'histoire :
Sepharine ouvrira t'elle l'armoire ????
La réponse maintenant !
[PDV Sepharine]
J'entends la porte s'ouvrir ! Rayan !
Je sors et lui saute dans les bras :
- Rayan !
Il me réceptionne et me fait tournoyer dans ses bras :
- Hum... tu es bien en beauté ma belle.
- C'est pour mieux vous séduire très cher.
- Je vois, je vois.... Pas contre... pas sûr qu'elles aient toutes survécu lorsque tu t'es jetée dans mes bras, mais bon.
Il me tend un bouquet de roses rouges, oups....
Je rougis, je suis à la fois heureuse et gênée car je vois une rose cassée et certaines ont été malmenées.
- Désolée... je n'avais pas vu ton bouquet....
- Oh ça je veux bien le croire, rit Rayan. Ce n'est pas grave, si tu m'accueilles ainsi tous les soirs je ne t'en voudrais pas longtemps d'avoir écrasé mes pauvres bouquets.
Je fais une petite moue désolée.
Il me reprend le bouquet et le pose sur le canapé, puis il me prend dans ses bras avant de m'embrasser passionnément. Je me laisse aller et entrouvre mes lèvres pour approfondir notre échange.
- Tu m'as manqué, soufflai-je.
- Toi aussi.
- Cette journée m'a paru interminable.
- C'est peu de dire.... Je me suis beaucoup inquiété, j'espère qu'on ne t'a pas trop embêté.
- Ça va, je pense qu'avec la présence des autres professeurs on n'osait pas trop me tourmenter.
- Le directeur a donné la consigne de contenir ta classe en particulier.
- Comment ont réagi tes collègues ?
- Oh ils m'ont dit que si je rendais triste leur élève préférée ils m'en feraient baver.
- Leur élève préférée ? Faut pas exagérer !
- Bon d'accord, en vrai beaucoup s'en fiche du moment qu'on est heureux.... Certains n'approuvent pas, mais ils ne martèlent pas que ça les dérange, ils ne sont pas comme nos charmants étudiants.
Je pose ma tête contre son torse et soupire, lassée :
- Je ne pensais pas qu'on aurait à affronter tout le campus.... Je pensais qu'on arriverait à passer au travers. Après tout personne n'a fait le lien entre toi et moi quand nous nous sommes séparés et que nous n'étions pas dans notre assiette...
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Fais-moi sourire
RomanceIl est aimé comme détesté. Il est bienveillant comme intransigeant. Il est passionné comme raisonnable. Il est tolérant comme intolérant. Il est fort comme il est fragile. Son nom Rayan Zaidi. PS : L'illustration de la couverture n'est pas de moi m...