Chapitre 48 : Le Secret de Rosalya

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Coucou à vous !

Mais quel est le secret de Rosalya ? Ce chapitre c'est un peu la théorie que j'ai élaboré par rapport au jeu. Sera t'elle confirmée ? On en saura probablement plus la semaine prochaine ^^


[PDV Sepharine]

Hum... une délicieuse odeur de petit-déjeuner me tire de mon sommeil, mais pas que. Des mains particulièrement massantes et chaudes parcourent mon dos.

Je soupire et ouvre un œil avant de me retourner :

- Bonjour mon trésor.

- Bonjour mon Rayan.

- Tu sais qu'à chaque fois que tu me dis « Mon Rayan » tu fais fondre mon cœur d'homme romantique.

- Oh ?! Je l'ignorais. Mon Rayan.

- Hum... ma Sepharine.

On s'embrasse tendrement :

- Un petit-déjeuner au lit ça te dit ?

- La femme romantique que je suis, ne peut pas refuser, sauf si elle n'a pas sa tendre moitié à ses côtés.

Il sourit et s'installe à mes côtés avec ce qu'il avait préparé et nous petit-déjeunons.

- Ma belle as-tu des devoirs à rendre pour cette semaine ?

- Oui, mais je les ai tous finis, je noyais mon chagrin dans mes études dernièrement....

- Je vois....

- Heu... Désolée ce n'était pas une tique pour te blesser. Je suis maladroite....

- Je ne suis pas blessé.

- Ah... j'ai cru... désolée.

- Ne t'excuse pas, tu es prévenante et j'apprécie. Et puis... tu n'as pas à cacher le fait que tu t'es plongée corps et âme dans tes études pour ne pas penser à ce que je te faisais subir.

Je baisse les yeux, Rayan me redresse le visage et m'embrasse avec force et douceur à la fois. Je réponds à son baiser avant qu'il rompe notre doux échange :

- Avec moi tu as le droit de tout dire, même ce qui est moins agréable à entendre. D'accord ?

J'hoche la tête :

- Et... et pourquoi tu voulais savoir si j'avais quelque chose à rendre ?

- Je te posais cette question car j'avais envie de profiter du beau temps avec toi pour un pique-nique dans le parc.

- Comment te dire que je suis séduite par ton idée ?

- Hum... en disant quelque chose du genre... Rayan Zaidi vous êtes le meilleur des hommes.

- Et moi qui te croyais modeste, fis-je faussement déçue.

- Mais je suis modeste.

- Hum permets-moi d'en douter.

- Tu me fais affront, dit-il avec un ton dramatique.

Je pouffe de rire :

- Et comme tu me fais affront il me faut sauver mon honneur.

Je le sens venir, je sors précipitamment du lit et j'entends Rayan me courir après, je m'enferme juste à temps dans les toilettes. Je crois bien que j'ai évité de justesse la terrible attaque des chatouilles.

Rayan tapote la porte de ses doigts :

- Ouvre donc mon cœur.

- Non !

Fais-moi sourireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant