Fais-moi sourire

Chapitre 67 : Captive de mes bras

Bonjour \('o')/

J'ai pleins de choses à vous annoncer.

Déjà pour ceux qui me suivent sur Youtube j'ai posté la dernière partie de l'épisode 8 ! Plus qu'un épisode le 9 héhéhé et je suis à jour ^w^. 

Ensuite sachez que j'ai franchis la barre des 70 chapitres ^w^ et oui ces derniers jours j'ai beaucoup écrit. 

Mais...

Sachez aussi que j'arrive sur la fin de la fanfic, car je commence à rédiger la fin.

Et quand j'aurais fini je reprendrai les 26 premiers chapitres qui n'ont pas été corrigé par ma bêta et je corrigerai les petites anomalies.

---------

[PDV Rayan]

Après le déjeuner, nous prenons le temps de flâner un peu. Le temps de digérer avant de recommencer toutes sortes d'attractions. Mes préférés étant les aquatiques pour me voir belle avec ses vêtements qui lui collaient à la peau. Bon le revers de la médaille c'était les mecs... qui la dévisageaient, aussi je prenais soin de l'attirer contre moi. Personne ne touche à MA Sepharine ! Oui j'admets être un poil possessif, mais pas trop non plus, juste ce qu'il faut.

Quand nous allons à l'hôtel du parc, on se déshabille tous les deux pour laisser nos habits terminer de sécher, avec le soleil de plomb qu'on a ici c'est sec en quelques minutes.

Donc nous nous déshabillons pour aller profiter d'un long bain tiède, Espagne oblige.

J'aime les bains avec ma douce, car elle est nue, contre moi, que les parfums des gels douches et shampoing rajoutent un côté juste enivrant, que je peux la palper à loisir, lui faire des bisous dans le cou et lui murmurer tout un tas de mots d'amour et tout cela en se détendant.

Nous restons un moment dans le bain avant de sortir pour aller diner à un buffet à volonté. Nous discutons activement de notre journée et de celle de demain.

Sepharine est une vraie pile électrique, elle me fait rire, j'aime sa fraicheur, elle est si attendrissante. Je pourrais la regarder pendant des heures. J'ai beau me dire qu'une décennie nous sépare, quand je suis avec elle, je n'ai pas l'impression d'avoir 10 ans de plus qu'elle. Quand je la vois je n'arrive pas à me dire « elle a 23 ans ». Je la vois juste elle, la femme souriante, attentionnée et attendrissante que j'aime. Je la vois entière, pour ce qu'elle est et ce qu'elle n'est pas.

- Tu m'écoutes ?!

- Non... je te regarde avec amour, répondis-je d'une voix de velours avec un sourire aux lèvres mon visage reposant dans ma main droite.

Je la vois rougir, je souris un peu plus attendrit :

- Tu es belle mon amour...

- ...

- Sepharine... Zaidi...

Je la vois rougir de plus belle :

- Mais !!!!

- Pourtant... tu le seras dans quelques mois Sepharine Zaidi.

Fis-je en caressant ses mains avant de les saisir pour les embrasser.

- Tu vas arrêter de m'embarrasser ?

- Non car tu es à croquer quand tu es embarrassée.

- Méchant.

- Moi aussi je t'aime mon amour.

- Je te déteste.

- Oh oui, je n'en doute point, fis-je souriant avant de capturer ses lèvres.