What If I Was The Reason ( En Correction )

Suicide

Roné

Eva venait à peine de partir à l'infirmerie et le prof avait décidé de nous laisser l'heure libre. Je vis Isa partir presque en courant vers la sortie de gymnase. Si elle pense pouvoir m'échapper elle se met le doigt dans l'oeil.

Je la rattrapais et la portais en sac de patate.

— Dépose moi tout de suite Roné ! Crie t elle.

— Faut qu'on discute.

Arrivé dans un endroit calme qui est une salle de classe qu'on a condamné, je la dépose un peu plus violement que je ne l'aurais voulue.

— Wah la violence. T'as un sérieux problème !

— Lève toi et vient t'asseoir. Il faut qu'on cause.

— T'as cru que je vais causer avec toi ? N'importe quoi !

Elle se dirigea vers la sortie.

— Isa si tu sors d'ici tu ne me connais plus. L'avertissais je.

Elle souffla et se retourna vers moi.

Isa

Je me retournais vers lui et alla m'asseoir devant lui. Il est très sérieux et je pense déjà savoir à propos de quel sujet il veut parler.

— Luc vous a fais du mal ?

— Non. Du moins, pas à moi mais à Eva si. Il l'a juste menacé. Rien de plus.

— Tu mens.

— Biensur que Non ! Il ne m'a rien fait du tout.

— Tu penses que j'ai pas remarquer le léger bleue sur ton visage ?

— Bah qui te dit que c'est lui qui me l'a fait ?

— Isa si tu tiens à notre amitié tu sais que tu dois me le dire. Je n'aime pas quand tu me mens alors tu ferais mieux de me dire la vérité.

— Croit moi quand je te dis qu'il ne m'a rien fait du tout. Je dis en mettant ma main sur la sienne.

Un silence lourd s'installe et nous nous regardons intensément dans les yeux.

— Bien Ok. Je te fais confiance.

Ça m'étonne qu'il ait vite baissé les bras. Je tiens à notre amitié mais je ne peux pas lui dire ce qui c'est vraiment passé sinon je sais pertinemment qu'il y'aura des dégâts.

Après lui avoir dit qu'on se retrouve à la prochaine pause je me dirigeais vers les vestiaires où j'entendis des sanglots. Je me rapprochais de la cabine et toquais.

— Ça va là dedans ?

— Ça va. Murmure une voix que je reconnais.

— Eva ? Qu'est ce qu'il ya ?

— Rien du tout. T'inquiète.

Elle debloqua la cabine et sortit déjà habillée. Ses yeux étaient rouges. Très rouges.

— C'est Noa ? Je demandais alors qu'elle rangeait sa tenue de sport dans son sac.

— Mais non.

— Tu peux me dire. Tu sais ?

Je souriais afin de l'inciter à me dire ce qu'elle a.