What If I Was The Reason ( En Correction )

Anniversaire

Eva

19h00. Noa's house.

Nous arrivons finalement chez lui et nous entrons.

— Je suis rentré ! Il hurle.

Vu que nous sommes passés par la baie vitrée, nous nous arrêtons à la cuisine.

— Eva !

Olane entre et saute sur moi. On dirait vraiment qu'on ne s'est pas vue depuis une éternité tellement elle me sert.

— Je pensais que tu ne viendrais plus. Je dois te bouder. Elle dit en croisant ses bras.

Je ris.

— Mais non princesse. Je ne t'ai pas laissé, je comptais venir. Et puis je suis là maintenant.

— Tu vas rester pour le dodo ?

— Non Olane. Eva a pleins de choses à faire et elle a des devoirs. Dit Noa.

— Oui il a raison. Une prochaine fois.

— Okay. Soupire t'elle. On va à Disneyland quand ? Vous m'avez promis !

Noa et moi on se regarde.

— On pourrait y aller samedi.

Samedi ?

J'avais totalement oublié que samedi c'était mon anniversaire. De toute façon, ça ne m'interesse plus ce genre de chose.

Mais je ne peux pas sortir samedi. Non. Parceque ce n'est pas seulement mon anniversaire mais celui de mon frère et par malheur le jour de la mort de Jonas.

— Je ne peux pas. Je dis avec une boule dans le ventre.

— Pourquoi ? Allez ! Me supplie Olane.

Je soupire.

— Je vais voir.

Elle sourie et descend de mes bras pour aller dans le salon.

— Vient on monte. Dit Noa.

— J'ai déjà vu Olane. Je devrais partir.

— S'ilteplait.

Il prend ma main et nous montons à sa chambre. Le silence reigne jusqu'à ce qu'il vienne s'asseoir près de moi.

— Je ne suis toujours pas pardonné. Je suppose.

— Ta supposition est juste. Je mens.

En vrai, il est déjà pardonné.

— Qu'est ce que je peux faire pour ? Dit moi tout ce que tu veux je le fais. Mais pardonne moi.

— Tu dis bien tout ce que je veux ? Je dis.

— Oui.

— Je veux que tu te réconcilies avec Liam.

Il veut parler mais je place mon index sur sa bouche.

— Écoute Noa. Il est mon meilleur ami maintenant et je ne veux pas qu'il y ait des problèmes entre vous. Dont j'ignore la cause d'ailleurs.

Il retire mon doigt.

— Tu sais que tu m'énerves quand tu me parles de lui et tu sais aussi que je ne veux pas me réconcilier avec lui. Je ne l'aime pas.