☀️ 𝗜𝗡𝗦𝗧𝗔𝗚𝗥𝗔𝗠 𝟮.𝟬 » P. KIMPEMBE

[t.3]87.0

Désolée mais finalement, j'ai décidé de ne pas intégrer les personnes qui ont commenté.
Désolée !

C'est juste parce que cette fiction est bientôt terminée, du coup promis, que vous pourrez avoir un petit rôle dans d'autres fictions ((:

« Tu regardes quoi ? »

Julie Rambaud,
Paris, le 22 mars,

10h03.
Je me fais soulever par Julian qui est en train de faire l'imbécile avec Moussa.

Moi : Repose moi !

Il continue de me faire sauter comme des pommes de terre sautées avant de me relâcher et de m'embrasser devant tout le monde.

Thilo : Que c'est chou tout ça.

Je souris et fixe Margaux qui reste dans son coin, avec son téléphone en main.

Je chuchote à l'oreille de mon allemand, il hausse les épaules et part chercher Kylian.

Timothy : Elle a quoi Margaux à rester dans son coin ?

Je vois que Julian et Kylian sont en pleine discussion, je ne sais pas de quoi ils parlent mais je crois que ça doit énerver Kylian.

Milla nous rejoint directement après, Presnel derrière elle en train de faire des galipettes derrière.

Milla : Presnel arrête de faire ça.

Ce dernier se relève et titube, il se tient la tête et se plaint car cette dernière tourne.

Milla : Viens là, on a quelque chose d'autre à faire.

Elle le prend par la main puis ils s'enfuient.

Milla Kimpembe,
Paris, le 22 mars,

10h12.
Je récupère Presnel, nous filons discrètement dans les couloirs du camp.

Presnel : J'ai archi faim.

Moi : Mec.. faut que j'te dise quelque chose de fou.

Il me regarde les yeux écarquillés.

Presnel : Balance meuf, c'est à propos de qui ?

Moi : De Margaux.

Il arque un sourcil. Mon copain fait secouer sa main pour que je lui indique ce que j'avais à lui dire.

Moi : Je crois que Kyky il aime Margaux.

Presnel : Mais non ?

Il sautille de partout et commence à hurler. Je lui cours après en rigolant et lorsque je le rattrape, je pose ma main sur sa bouche en lui disant qu'il ne doit rien dire.

Presnel : T'inquiètes ciboulette, je gère.

C'est devenu sa phrase ça. Tous les jours, il sort sa phrase trop nulle.