[t.3]99.0

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185k on se rapproche DOUCEMENT des 200k 😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭
trop hâte oh lala....

petite question en bas, répondez svp !

« Parce que tu n'en valais pas la peine Presnel. »

Milla Kimpembe,
Longjumeau, 5 mai,

8h02.
Putain qu'est ce que je fous dehors en train de courir avec ce clochard de Mendy.

Benjamin : Oh bouge ton cul Milla ! Cours et rattrape moi !

S'il savait.

Moi : Mais j'peux pas trop courir putain.

Benjamin : Pourquoi ?

Je le regarde en insistant et en essayant de lui faire comprendre quelque chose.

Benjamin : OH T'ES ENCEINTE !

Moi : Bah non illogique.

Il soupire.

Benjamin : J'voulais revoir un gosse qui te ressemble à toi et à Presnel.

Je roule des yeux rien qu'en entendant son prénom.

Moi : C'est qui ?

Il revient à mes côtés en hurlant de répéter ce que j'ai dis.

Benjamin : AH ! MAIS DIS PAS ÇA GROSSE TARÉE !

Moi : C'EST QUI PRESNEL KIMPEMBE MÊME ? Je crie si j'veux y'a quoi ?

Benjamin : Roh... t'es trop nulle tu m'énerves.

Je lui fais un clin d'œil,
tout aussi éclaté que les autres mais bon, puis nous reprenons notre course.

Benjamin : Oh je t'avais pas dit !

J'arque un sourcil.

Moi : Non, mais dis-moi.

Benjamin : Je t'avais dit qu'on reprenait nos matchs nationaux ?

Moi : Ouais p'tetre.. mais où tu veux en venir ?

Benjamin : Bah... du coup j'te prends avec moi. Tu viendras à tous nos matchs, tous nos entraînements SANS faute.

Moi : Eh ! Mon avis
compte pour quoi ?

Benjamin : Ton avis je m'en fiche roh.

Je commence à lui donner un coup dans le dos.

Benjamin : Wesh, tu fous quoi ?

Moi : T'as pas eu mal ?

Il me regarde de haut en bas avant de rigoler sèchement.

Benjamin : Eh bah miskine hein.

Moi : Connard.

Benjamin : T'as dit quoi ?

Moi : J'ai dit connard.

Benjamin : J'vais te frapper.

Moi : On frappe pas une femme enceinte.

Il écarquille les yeux avant de sauter partout. Évidemment avec lui, on ne passe pas inaperçu, chaque passant le regarde bizarrement.

Benjamin : JE LE SAVAIS AHAH ! T'ES ENCEINTE DE PRESNIQUE DES MÈRES !

Moi : Trop nul son blase.

☀️ 𝗜𝗡𝗦𝗧𝗔𝗚𝗥𝗔𝗠 𝟮.𝟬 » P. KIMPEMBE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant