Two lovers for me

Chapitre 114

:)

- Je me sens pas très bien...

Je colle mon front au front de Jimin.

- Tu es brûlant...

- Normal, tu m'excites tellement que tu as fait augmenter la température de mon corps.

Je lui pince doucement la joue.

- Idiot.

Je prends sa main puis le tire pour aller dans la chambre, je l'allonge sous la couette.

- Ne sors pas du lit.

- Oui Tae...

Je lui souris tendrement puis je pars dans la salle de bain pour prendre des médicaments. C'est de sa faute si il est dans cet état. Il aurait pas dû bouger autant hier, il a du attrapé froid.

Je retourne ensuite dans la chambre et le vois endormi. Je pose silencieusement les médicaments sur la table de chevet à côté du lit et ferme la porte.

Je m'installe sur le canapé puis quelques minutes plus tard Jungkook est de retour.

- Qu'est-ce que tu fais devant la télé à rien faire ? Tu ressembles à un détraqué.

- C'est pas parce que la télé est éteinte que je suis un détraqué.

Il pose les clés dans le pot puis enlève sa veste.

- Où est Jimin ? Dit-il en s'asseyant à côté de moi.

- Il dort, il a de la fièvre...

Je regarde Jungkook et remarque un petit sourire sur son visage.

- Jimin est malade et ça te fait rire ?

- Je souris pas pour ça, c'est juste que ça m'étonne pas vu comment il s'est lâché hier.

- Hum, c'est vrai.

Il pose sa main sur ma cuisse.

- Je te dérange pas là ?

- Ben non.

- Enlève ta main.

- Non.

- Si.

- Pourquoi ?

- Ça me dérange.

Il presse doucement ma cuisse.

- Tu sens la chaleur de ma main sur ta cuisse à travers ton pantalon ?

- Je vais m'énerver si tu continues.

- Oui énerve toi ma tigresse...

Je pince très fort sa main. Il me lâche en criant.

- Je te l'avais dit.

Je me lève pour aller dans la cuisine pour préparer le repas.

Je commence à éplucher les légumes quand deux bras s'enroulent autour de ma taille.

- T'es beau quand tu cuisines.

- T'es moche le crâne rasé.

Il me mord le cou.

Je gémis de douleur.

- JUNGKOOK PUTAIN CA FAIT MAL !

- Mais tu as dit que même sans cheveux je suis beau...

- AISH ! Je rigolais espèce d'idiot monstrueusement bête et ringard.

- Wow quel vocabulaire varié...

- Ta gueule.

- Non.

- Bon arrête de me faire chier. Sinon je t'enferme dans les toilettes jusqu'à l'heure du repas.

Il se détache de moi puis s'assoie sur une chaise. Il pose son coude sur la table et maintient sa tête avec sa main.

Je détourne le regard et termine d'éplucher les légumes.