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Caleb.

Les jours étaient passés. Je faisais quelques concerts privés, et je m'entrainais avec Ophelie au convervatoire, et Bety à la maison.
Je n'allais plus à la chasse. Et même si ça avait tendance à me manquer, de sentir l'air dans mes cheveux lorsque je courrais dans la forêt, et de sentir la proie respirer, courir, et de chasser, c'était une bonne idée de rester à la maison.

Ainsi, je ne m'exposais plus aux loups garous, et j'étais plus avec Bety. Et dès que j'avais besoin de sang, il y avait des poches de sang dans le frigo.

C'était le matin. Bety venait de se réveiller. J'étais dans le salon, lisant un livre sur les loups. D'ailleurs Bety, elle aussi, lisait sur les loups, c'était devenu notre principal sujet de conversation, d'ailleurs. C'était drôle.

Afin de voir si elle avait bien dormi, je montais dans la chambre. Elle était dans la salle de bain, terminant de se brosser les dents.

J'arrivais pas derrière, lui faisant un câlin.

-Tu as bien dormi ? Demandais-je ?

Elle se retourna, me regarda dans les yeux, cette lueur d'amour brillait au fond de sa pupille noire.
Elle était vraiment belle. Ses cheveux noirs, plus noirs que la nuit, ses yeux noirs et profond, sa peau si douce, si belle, et son magnifique corps..
Elle me faisait vraiment craquer. Elle avait quelque chose en plus. Elle avait ce charme, cette attitude, si sexy, et si douce...

Alors je l'embrassais. J'en avais furieusement envie. Elle posa une main sur mon visage, tendrement, me foudroyant de son regard.

-Qu'est ce qui t'arrives, mon amour ?

Elle me prit la main, se dirigea dans notre chambre, près de la salle de bain, elle s'assit sur le lit.

-Je sais pas, dis-je. Tu es magnifique, et je t'aime.

Elle m'embrassa, et me sourit. Elle était plus avenante que avant.
Je l'avais dis, récemment, elle avait un comportement bizzare, elle changeait d'humeur toutes les deux secondes, mais elle était plus fougueuse, plus passionnée. Je n'avais jamais ressenti cela, après l'autre.

-Aujourd'hui, c'est moi qui te fait plaisir, dit-elle.

-Tu veux dire quoi, par la ?

Elle ne répondit pas, et se leva avant de se mettre devant moi, et de se baisser à mon niveau.

Alors je compris ce qu'elle voulait dire, et je me laissais faire, profitant de ce petit plaisir.

Ma journée était chargée. Aujourd'hui je devais répéter au convervatoire avec Ophelie, de même que Bety devait répéter avec Lorenzo. Nous avions fait en sorte de pouvoir y aller ensemble et repartir ensemble.

Nous étions dans la voiture. Il était 15 heures. Je reflechissais.
Les loups garous ne s'étaient plus montrés, et surtout, Bety et moi étions heureux à Bleedingtown. Je me sentais bien. Peut être que finalement nous n'avions pas besoin de déménager.

Bety se garra devant le convervatoire alors nous descendions.
Il y avait un peu de monde. Quelques personnes nous saluaient d'un mouvement de tête.
Elle entra dans le convervatoire, et je la suivais. Lorenzo l'attendait dans le haul, et Ophelie l'attendait dans la salle où nous avions rendez vous d'habitude.

Après avoir salué Lorenzo, je les laissais, sans arrière pensée. J'avais confiance en Bety. Je savais à quel point elle m'aimait, donc je n'avais pas à me preocuper de Lorenzo.
Par contre, celui qui me posait problème, c'était Viktor. Il était bizzare. Son attitude était étrange. Il semblait jouer un rôle, et surtout, je n'arrivais pas à le scanner. Quelque chose était bizzare avec lui.

Ton Sang, le prix de notre amourOù les histoires vivent. Découvrez maintenant