-220- Les souvenirs de Pripiat *Part1*

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Denver avait a nouveau accourus vers moi, il c'était accroupis et meregarder d'un air dévaster, je ne savais pas réellement ce qu'ilpenser de moi à ce moment, mais il devais sûrement ce demander cequi pouvez me mettre dans un tel état.

''Pripiat qu'est ce qui t'arrive?'' Me demanda Denver d'une voixinquiète

Mais je n'étais pas capable de parler, pas capable de prononcé lemoindre mot, la moindre note, j'étais morte, morte de l'intérieuret ceux depuis des années, probablement plus longtemps que ce que jepenser, pas lorsque Berlin était mort, non bien avant, je jouer leszombie, afficher un sourire face au autres, mais en réalité j'étaismorte, morte et encore morte, Denver fini par prendre ma main dans lasienne comme pour me montrez qu'il était là, que je n'étais passeule, mais si, j'étais seule avec mes fantôme.

''Aller respire, respire'' Me dit Denver d'une voix douce etapaisante ''Ça va aller, je suis là, je suis là'' Me dit-il enserrant ma main dans la sienne

''Denver j'ai mal'' Parvenais-je à dire

''Ou est-ce que tu à mal?''

''Par tout, par tout Denver, je n'en peut
plus'' Dis-je en fermantles yeux

''Je suis là d'accord tu vas reprendre ton souffle et on vasdiscuter''

''Non Gandia'' Le coupais-je

''On l'encule Gandia, y'a plus important, les autres sont sur le coupt'en fait pas'' Me dit-il presque en me caressant la main

Je fit alors ce que Denver me demander et repris ma respiration,j'essayais de me calmer, mais c'était impossible, ce qui seproduisait à l'intérieur de moi était presque comme ingérable,j'avais l'impression d'être une bouteille de coca cola dans làquelle on avait fait tomber une pastille de mentos à l'intérieur,le tout était entrée en fusion jusqu'à ce que tout explose dansmon estomac, relâchant les fantôme de mon passer les plus obscure.

''Aller respire doucement'' Me demanda Denver avant de ce pincé les lèvres

J'avais réellement du mal à me calmer, à calmer tous ce qui setrouver en moi et qui exploser en moi, mais j'arrivais tout de mêmeà me clamer légèrement, ce que Denver avait remarquer.

''Tu devrait aller t'asseoir, viens je vais
t'aider'' Me dit-il en celevant

Il m'aida à me mettre debout et me servis d'appuis jusqu'à lachaise de bureau qui me servais constamment, je me laissa tomber surcelle ci, un poids mort qui s'affaler dans ce fauteuil noir en cuirqui me faisait passer pour une chef, alors que j'étais tout sauf unechef, Denver lui, tira la chaise qui se trouver de l'autre coté dubureau jusqu'à mes côtés et s'assit dessus, il pris à nouveau mamain dans la sienne et me fixa de son beau regard de tombeur, bienque celui ci était parsemer de peur, sûrement à cause de moi maisaussi de Gandia, je m'en voulez de tomber maintenant, ce n'étaittellement pas le moment.

''Tu peut m'expliquer ce qu'il se passe?'' Me demanda Denver d'unevoix douce

J'avais confiance en Denver, il était le seul avec Nairobi en quij'avais une réelle confiance, mais ce que je garder en moi depuisdes années, je n'avais pas était capable de les dire à Berlin,alors comment pouvais-je le dire à Denver? C'était mon passer, unpasser si dur, si...rien que dit penser que sentez le peut de viequ'il me rester me quitter, j'avais si mal, comment est-ce quej'avais pu les oublier? Ceux qui m'avais redonner vie alors queViktor me l'avais repris?

''Aller Pripiat il faut que tu parle, tu ne peut pas rester comme sa,regarde toi'' Me dit Denver avec toute la compassion possible

''Je sais pas par ou commencer'' Dis-je en plongeant mon visage dansmes mains

''Par ce que tu veux''

''Je faisait rien de mal'' Me justifiais-je en regardant Denver quiétait concentrer sur ce qu'aller lui dire

''Comment sa?''

''J'étais au bord du suicide Denver, je voulez plus rien, entreViktor et la disparition de mon père, je savais plus quoi faire...jesavais plus comment m'en sortir tu comprend?'' Demandais-je enreniflant fortement ''J'ai...j'ai pris tout ce que j'avais, tout j'airien laisser''

''De quoi tu parle?'' Me demanda Denver soucieux

''De drogue, j'ai pris tout ce que je pouvez, j'ai même pris desmédicament qui n'avais rien à voir, je me suis enfermer dans lasalle de bain...et j'ai tout avaler, tout sniffer, il venais justede...'' Dis-je avant de ne plus pouvoir parler

Denver avais resserrez l'emprise autour de ma main et soupirerfortement, il devais savoir de quoi je parler, il connaissaitsuffisamment mon histoire avec Viktor pour savoir de quoi je parler,mais les images qui traverser mon esprit était plus fort que lesmots que je pouvez dire et me réduisez malgré moi au silence.

Flash-back

Je sentez encore sa chaleur, je sentez encore ses mains sur moncorps, ses lèvres dans mon coups, je le sentez encore comme si j'yétais encore, allonger sur se matelas salit par des cendres decigarette et par la sueur, je le sentez toujours, je n'en pouvezplus, mes mains trembler sans que je ne m'en rende compte, mais jambeaussi trembler, pourtant j'étais capable d'entrée dans la salle, debain, javais était capable de faire la route de la salle de lachambre à la salle de bain sans encombre c'était déjà un bondébut, un très bon début, je ferma la porte à clés derrière moine voulant pas que Viktor n'entre, mon reflet dans le miroir étaitodieux, il me rappeler la dernière fois, la dernière tentative,l'échec de cette tentative ou je m'était promis de ne pas retournerchez moi, de ne plus le voir, jamais, plus jamais mais je ne pouvezme défaire de cette homme.
Par instinct et habitude je fouilla les poche d jeans de Viktor quiétait pendu au petit porte manteau accrocher à la port,e je fouillales poches de ce dernier, des dizaine de petits sachet, qui contenterdes pilule rose, de la poudre blanche, des pilule blanche et uncanif, un canif bien affûter, je déposa tous les sachet dans lelavabo, les ouvris et enfourna dans ma bouche le plus de cachetpossible avant de les avaler avec un peut d'eau, très peut d'eau, jevoulez que sa me face mal, je voulez souffrir, par moi même, pas parquelqu'un d'autre, les cachet avaler avec difficulté, je pris lespetits sachet blanc, je mis mon nez dedans, mais je sentez déjà leseffets des autres drogue me faire tourner la tête, c'était comme sion m'avais enfermer dans une machine à laver.

''Lara!'' Cria Viktor derrière la porte

Il essaya de tourner la poignet mais ne parvins pas à ouvrir laporte, il ne pouvez pas elle était fermer.

''Espèce de petite pute qu'est ce que tu
fait?'' Cria t-il faisantaboyer le chien de al voisine

Il donna un coup de pieds dans la porte me faisant sursauter, mais jene tenez déjà plus debout, je sentis mes jambes devenir aussi moleque de la apte à modeler, je me sentis tomber du haut de mesquelques centimètre, ma tête heurta violemment le sol, mes yeuxpetits à petits se fermer.

''Lara! Lara ouvre salope! Je vais défoncer la porte'' Hurler Viktor ''Ouvre! Tu entend! o...re...bo...''

Je n'étais plus capable d'entendre la voix de Viktor, je ne voyaisplus rien, j'étais plonger dans le noir, dans un noir intense quim'envelopper avec bonheur.

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Et oui on repars un peut sur du sad pripiat, pcq je suis fan, j'aime trop écrire du sad Pripoat mdr c'est une mode le Sad Pripiat 😂 bref j'espère que ça vous plait aussi
La grosse bise 😘

Le casse du siécle -Parti 2-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant