-283- Le plan

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Rio me lâchait enfin, je le regardais des larmes aux yeux, je connaissais tellement ce sentiment qui le parcourait de par en par. Cette tristesse immense qu'il devait ressentir au lus profond de lui. Séoul était revenu quelques minutes plus tard, Rio m'avait quitté pour la laisser seule avec moi. Elle venu s'asseoir à mes côtés et ne disait pas un mot.

« Des médecins sont venus » Annonça elle « Tu serrais morte sans eux »

« Je ne le suis pas, comme tu vois » Dis-je en essayant de sourire

« Pripiat, c'est vraiment la merde »

« Je sais, je ne voulais pas que tu viennes ici, mais tu as insisté. »

« J'aurais dû t'écouter » Dit-elle laissant des larmes couler sur ses joues roses

Je laissais échapper un sourire avant que tout le monde ne revienne.

« Bien » Dit alors Lisbonne en s'adossant au bureau derrière elle « Le Professeur à disparue »

Je sentis une nouvelle vague d'angoisse me prendre aux tripes. Tout le monde se regardait, apeuré, c'était la seule émotion que l'on pouvait ressentir.

« Attends, attends un peu » Dit alors Denver se laissant envahir par une vague de colère « Comment le Professeur a pu disparaître ? Il est où ? Dans le putain de triangle des bermudes, c'est ça ? »

« Qu'est-ce que j'en sais » Lui répondit Lisbonne sur le même ton « J'en sais rien, mais ce qu'il faut maintenant, c'est que l'on prenne une décision, qu'est-ce qu'on fait au sujet de l'or ? »

« Pardon, mais tu nous fais quoi là chérie ? » Demanda Palerme « Tu compte faire un référendum ? Parce que la démocratie, moi, j'en ai rien à battre » Après quelques secondes de silence, il reprit « L'or vas sortir d'ici, il n'y a rien à discuter, parce que si tu laisses ce petit groupe faire un débat, ils vont tous sortir leurs armes alors je préfère dégainer le premier » Dit-il en sortant son arme

« Et si la police était sur les lieus où on est censé récupérer l'or ? » Demanda Rio

Pour toute réponse, Palerme le braqua avec son arme, je laissais échapper un soupir que Denver remarqua.

« La police n'est pas au déversoir » Dit alors Palerme « Et le plan est toujours d'actualité »

« Et pour Helsinki et Pripiat ? On fait comment avec deux personnes en moins ? » Demanda alors Nairobi

« On verra les blesser plus tard »

« En-tout-cas, si les flics y sont, on est en train de faire le braquage le plus débile de toute l'histoire » Soupira Manille

« Personne ne t'a demandé de venir chérie » Dis-je sur un ton arrogant

« Comme je l'ai dit » Repris Palerme en braquant Manille « La police ne se trouve pas au déversoir, si on le laisse ici l'or n'as plus aucun intérêt, tu comprends ça ? »

« L'or, c'est note otages, ouais » Dit alors Denver comme illuminer par cette nouvelle, qui n'ne état pas tellement une « Donc ont fini par le donner à Tamayo »

« Bon, le plan, c'est le plan » Dis-je coupant tout le monde « Si vous n'êtes pas content et que ça ne vous plaît pas, aller vous faire foutre, je marche, ce qui m'aime me suive » Dis-je en levant la main ne pouvant pas tellement bouger

« Pripiat à raison, on doit suivre le plan quoi qu'il arrive, dehors, il y a deux personnes qui peuvent révéler à qu'elle endroit on peut faire sortir l'or, il y à le Professeur, qui ne dira rien et Alyssia Ciera, qui peut utiliser cette information pour négocier et tenter de s'en sortir blanchis et je vous assure que négocier avec le renseignement, ça va être coton et ça durera des heures, donc pendant ce temps on peut sortir l'or et c'est exactement ce que l'on vas faire »

« Roule ma poule » Dit alors Nairobi en souriant

« Vous me faites flipper, mais je suis » Dit alors Denver en souriant, toujours aussi inquiet

Ils partirent presque tous sur ses mots, seule Monica rester avec moi, Séoul avait décidé de s'en aller elle aussi, elle devait sûrement occuper sa tête après tout ses rebondissements.

« Comment tu te sens ? » Me demanda-t-elle essayant de sourire

« Mieux que toi, si tu veux m'ont avis » Dis-je un peu douloureusement « Monica, tu n'as vraiment pas l'air dans ton assiette et je suis allonger ici pendant que nos amis sont en train d'executer la partie du plan qui me plaisait le plus, alors parle moi de tes problèmes, que j'oublie les miens » Dis-je en souriant

« Je... Je n'ai rien à dire » Dit-elle se braquant

« Tu viens de tuer le père de ton fils, à d'autres » Dis-je en soupirant « Je sais ce que tu ressent, je ne suis pas dupe, je suis passé par là, enfin, je veux dire, moi aussi, j'ai tué un salaud que j'ai aimé »

Elle me tendit un maigre sourire avant que Denver n'entre dans la pièce embrassant Monica, c'était un baiser sir doux et remplis de t'an d'amour.


... 

Bonjour, Bonsoirs mes petits Dali, je devais poster plus tôt, mais j'ai fait un petit séjour au urgences donc bon. 

La grosse bise  

Le casse du siécle -Parti 2-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant