Les balles fuser non loin de moi et je savais déjà qu'elle fuserais encore plus, il avait toucher à ce qu'il ne faut pas toucher, la famille, que se soit moi ou les autres, nous étions près à tuer Gandia, lui arracher les tripes jusqu'à ce qu'il ne reste que la peau, les Dalí, nous étions une famille, même si certains ne pouvez pas ce voir pour différente raison, si l'on s'en prenez à l'un d'entre nous, nous nous en prenions à nous tous.
Je marcher avec une certaines vitesse, les larmes coulant encore malgré moi sur mes joue, mais ce n'était plus des larmes de tristesse, mais des larmes de haine, de rage, contre Gandia, mais surtout contre moi.''Pripiat attend'' S'écriait Helsinki derrière moi
''Laisse moi!'' Dis-je la voix chancelante
''Tu n'est pas en état''
''J'en est rien à foutre!''
''Helsi' Dit la voix d'une jeune femme
Nous détournions la tête pour voir Nairobi, qui se tenez droite devant nous, elle avait échapper à la mort en moins de quelques minutes et ceux grâce à Delhi et elle se trouver fasse à moi, par chance.
''Laisse la'' Lui demanda t-elle sur un ton calme
Helsinki me regarda, il savait que j'étais une bombe à retardement, mais ce qu'il savait le plus en se moment, c'est ce que je ressentez,il avait perdu son frère dans le précédent casse et savait au moindre mot ce que je ressentez, la haine, la tristesse.
Il hocha donc la tête et me laissa partir avec Nairobi, mais lorsqu'on rejoignis les autres une explosion se fit entendre, oncourut alors vers l'endroit de l'explosion, le bureau du gouverneur. Tous le monde c'était jeter au sol pour échapper à l'explosion, mais je me ficher que Gandia et fait exploser le bureau ou même n'importe quoi, je voulez sa peau, je voulez avoir sa tête sur une pique comme au moyen âge, me balader avec cette pique dans toute la banque! Montrez qui était le gagnant, l'idée que Delhi soit mortpour rien, me terrifier, j'avançais vers la salle de bain du gouverneur.''Gandia! Sale fils de pute'' Dis-je haut et fort
''Pripiat'' Me dit Kopatchi en attrapant mon bras
''Toi lâche moi'' Dis-je en essayant de me défaire de son emprise''Viens Gandia, on vas se la jouer à deux contre deux!''
''Sa ne sert à rien Pripiat'' Me dit Kopatchi comme pour me rassurer, comme si sa pouvez marcher
''Je t'es dit de me Lâcher!'' Hurlais-je en poussant violemment Kopatchi loin de moi
Tous les regards étaient braquer sur moi, certains était presque étonner de me voir pleurer, il faut dire que je ne m'étais jamais montrez dans un tel état, les larmes coulante, le nez aussi par lamême occasion, je me retourna vers la salle de bain et essuya mon nez à l'aide de ma manche.
''Gandia! Si t'as un minimum de couille
viens!'' Dis-je pleurant à nouveau ''Viens sale connard! Sale FILS DE PUTE!'' Dis-je en hurlant si fort que j'étais persuader que les otages nous entendez ''SALE MERDE'' Dis-je en sortant mon armeJe ne me contrôler plus, non c'était bien vrai, je me mis alors à tirer à travers le mur comme si je pouvez toucher Gandia comme sa,mais c'était surtout une manière de déverser toute cette rage qui venez de m'emprisonner.
''Pripiat arrête!'' M'ordonna Palerme
Mais j'étais devenu sourde, je n'entendez que les bruits de balles que je tirer par tout, je me ficher de détruire la banque, j'en avais strictement rien à foutre.
VOUS LISEZ
Le casse du siécle -Parti 2-
Fiksi PenggemarSuite du premier livre, aller lire la première parti