-202- Perte de raison

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J'avais suivis Denver jusque en bas, mais nous avions eux tout deux un contre temps, appeler Palerme, ce dernier était au milieu de la pièce sous le regard des otages, il était assis sur sa chaise de bureau et se donner à cœur joie à un long spectacle de chants, Rio fut le premier à réagir, il sortir son arme et la pointe sur Palerme, les dents bien serrez à tel point qu'on pouvez entendre un grincement strident sans échapper.

''Ferme là'' Lui dit-il avec froideur ''Et vas te coucher''

''Il y a quatre coin à mon tout petit lit'' Dit Palerme avec une voix presque enfantine qui était loin d'être rassurante

Denver et moi échangions un regard, ne sachant pas si nous devons laisser Rio gérer cette situation seul, ou si nous devions intervenir, il faut dire qu'après ce qu'il avais vécu Rio était un peut déboussoler, ce n'était plus le même, il était comme plus faible, déjà qu'il l'était au par avant, son passer douloureux avec la police n'avais fait qu'aggraver son cas et sa, Palerme le savais.

''Il y a quatre anges à ma tête, Mathieu, Marc, Luc et Jean'' Continuais de délirer Palerme

Rio baissa doucement son arme face à Palerme, mais ne lâcha pas pour autant son regard.

''Unissez le lit dans le qu'elle je vais
dormir'' Continuais t-il

''Palerme, Sa suffit!'' Dis-je en venant vers Rio

''Lève toi est marche dit-il, enfin devrais-je dire dit-elle'' Dit Palerme en tournant son regard vers moi

''C'est pas vrai tu te choute à l'opium ou quoi, aller bouge de là, me force pas à m'énerver et laisse le tranquille'' Dis-je en prenant la route vers mon bureau

Palerme écouta pour une fois les conseille aviser que je lui avais donner, et grâce à ses jambes se dirigea vers le radiateur, près de Gandia, je le laissa faire et pris la marche avec Denver avant qu'une main n'agrippe mon épaule, je fut obliger de m'arrêter et tourna le regard vers la main de Rio qui tenez ma combinaison rouge, je le regarda surprise, il lâcha alors mon épaule et fixa mes yeux comme il l'avais fait avec Palerme.

''J'ai pas besoin qu'on me protège''Grinça t-il

''Si j'aurais voulu te protéger je serrais intervenue avant'' Dis-je en reprenant ma route mais je fut de nouveau arrêter par
Rio ''Bon Rio j'ai des choses importante à faire là''

''Arrête de te prendre pour la chef du groupe Pripiat, Tokyo et avec toi, et le vrai chef n'est autres que le professeur''

''Le professeur par si, le professeur par là, il n'en pêche que ton professeur n'était pas là quand Nairobi c'est fait tirer dessus, il a était faible en plein braquages pire encore en plein moment critique du braquages, alors t'en que je serrera au commande avec Tokyo je commanderais, point à la ligne''

''C'est sûr que toi niveau sentiments ses autres choses, tu te maris et après la mort de ton mec tu te tape le premier flics qui passe'' Me reprocha Rio

Il a parfois des moments ou les mots font l'effet d'une bombe dans votre cerveau, une bombe qui viens juste d'explosé, comme 99% pourcents des gens, face à une bombe l'être humain réagis par le seul moyen de défense qu'il connais depuis son plus jeune âge, l'agressivité, l'agressivité peut ce dévoiler en plusieurs étapes verbales, par agressivité envers soit, ou alors, e agressivité contre la bombe, c'est cette option que j'avais choisi, je sentis ma tête s'élancer en avant et avant même que je ne comprennent ce qu'il venais réellement de ce passer, mon front toucher le nez de Rio, c'était les paroles de trop, les mots impactant, si Rio savais ce que 'javais vécu il ne dirais pas sa, si je savais ce qu'il avais vécu je n'aurais jamais agit comme sa, mais la raison n'existe pas, c'est une simple métaphore pour ne pas paraître fou face au gens, un filtre qui cache notre part d'ombres, notre nous intérieur, celui qui veux frapper, qui veux vivre sans se soucier des autres, parfois ce filtre tombe et la part d'ombre refait surface.

''Pripiat!'' Hurla alors Denver en courant vers nous

Il pris presque Rio dans ses bras comme une petite chose fragile et regarda son nez qui était presque en sang, du moins un liquide rougeâtre sans dégager, lorsque je compris ce que je venez de faire, je me sentis terriblement honteuse, qu'est ce qui m'arriver à la fin?j'étais en train de devenir une sale ordure et sa, ce n'était pas possible je n'étais pas comme sa, pas moi.

''Putain tu lui a casser le nez'' S'écria Denver

''Je...je suis désoler'' Dis-je sincèrement ''Putain, je sais pas ce qui me prend je suis en train de péter un plomb'' Avouais-je en tournant en rond comme une pie qui a mal à son derrière

''C'est pas grave'' Dit Rio en se tenant le bout du nez

''Qu'est ce qui c'est passer ici?'' Demanda Tokyo en descendant les marches rapidement

''C'est rien'' Dit Rio

''Je lui est mis un coup de tête'' Coupais-
je Rio ''Je sais pas ce qui me prend, je vais aller dans le bureau, le prof m'attend'' Dis-je dépiter

Je fit la route seule, enfin seule non, j'étais accompagner des mauvaises penser, celle qui me hanter depuis le décès de Berlin, mais elles ne m'avais jamais hanter autant qu'aujourd'hui.
Je pénétra dans le bureau et ferma la porte derrière moi en baissant la tête, je sentis mes jambes devenir lourde, si lourde que je ne pouvez pas rester debout, je glissa dos contre la porte jusqu'à me retrouver par-terre et plongea ma tête dans mes mains, laissant les émotions du sortir par grosse armes, on étaient en plein K.O et je savais que Psychologiquement je n'étais pas aussi stable que je pouvez le laisser paraître, bien au contraire, j'étais encore toucher par le décès de Berlin, mon fils me manquer, Berlin aussi, ma vie au bord de mer me manquer, la joie, le bonheur, les sourires, tout cela me manquer, même Suarez finissez par me manquer.

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Nous voilà aujourd'hui avec un chapitre haut en couleur !
La grosse bise 😘

Le casse du siécle -Parti 2-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant