-206- Des explications douloureuses

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Je regarda Denver qui fixer un point au loin, je n'avais pas besoin d'être stupide pour comprendre que quelque chose n'aller pas.

''Bon tu vas me dire ce qui ce passe? Ou tu vas rester là les bras ballant à se morfondre sur toi même?'' Dis-je presque froidement

Denver se redressa, il me fixa simplement du regard pendant un moment, il afficha un regard assez froid lui aussi, je savais bien qu'entre lui et Monica rien ne se passer comme prévu, mais de là à faire cette tête? Il prit une inspiration avant de descendre la fin de son verre.

''Monica ma plaquer''

Je le regarda bien surprise de ce qu'il venait de me dire, comment ça plaquer? Après tout ce qu'ils avaient vécu? Il avaient un enfant ensemble, certes il n'était pas le fruit des entrailles de Denver, mais c'était tout de même son fils, j'avais vécu la séparation de mes parents, la disparition de mon père, je savais ce que c'était de vivre dans un foyer démunis d'amour, les enfants sont toujours ceux qui souffre le plus sans rien demander, ils allaient faire vivre un enfer à leurs propres gosse, mais j'étais qui pour venir dire à Denver qu'il aller gâcher la vie de leurs fils? Moi qui n'étais même pas capable avant d'entrer ici de me rendre compte de l'amour que me donner mon fils? Pour mon propre fils je n'étais pas une mère mais une nourrisse, alors je ne pouvez pas donner des conseilles sur la façon d'élever ses enfants, mais en amour, ça je pouvez encore le faire, j'avais souffert en amour, et je n'étais pas prête de retomber amoureuse, non loin de là, je ne pouvez plus, après la mort des deux amours de ma vies, Victor, je l'avais aimer, aimer plus que tout au monde, plus que ma propre vie, sinon comment est-ce que j'aurais pu tenir aussi longtemps? Berlin, Berlin n'étais pas mon mari, il était moi, il était le souffle qui entrée dans mes poumons, le sang qui couler dans mes veines, jamais plus je ne pourrais aimer autant que sa, parce-que je n'avais encore jamais eu la chance de connaître l'amour possible, je n'avais connu que l'amour impossible, Monica et Denver vivait tout deux dans l'amour possible, aucune tache à leurs tableaux blanc, c'est souvent ce qui on le plus de chance qui ne se rende pas compte de la chance qu'il on, j'étais détruite, je ne pouvez plus aimer, mais Denver et Monica eux, pouvez encore aimer, pouvez encore vivre une vie heureuse, ils avaient cette chance et mon devoir étaient de leurs faire comprendre sa.
Je me leva de ma chaise sous le regard de Denver.

''Et donc tu compte faire quoi?'' Demandais-je en soupirant

''Qu'est ce que tu veux que fasse? Je suis un homme libre maintenant!'' Dit-il presque avec fierté

''Un homme libre? Tu t'entends! T'es pas un homme libre t'es juste un crétin!''

A cette phrase Denver ce leva, énerver, les poing serrez, près à ce lancer dans une bagarre, mais je n'étais pas du genre à me laisser impressionner par un petit jeune remonter, bien au contraire.

''Regarde toi tu fait pitié, au lieu d'aller parler à ta nana, de t'excuser pour ce que tu a dis tu préfère venir ici et boire un verre de vodka, t'es pathétique!'' Crachais-je sans aucune pitié

Le regard de Denver avais changé pour un regard menaçant, il faut dire que son regard m'effrayait un peut, il me rappelait celui de Victor lorsqu'il était sous l'emprise de drogue ou d'alcool, un regard sans aucune humanité.

''Redis ça?'' Me demanda Denver froidement

''Tu es pathétique! Regarde toi dans le miroir deux secondes, ta la chance d'avoir quelqu'un qui t'aime, que tu pourrais élever vers le haut, mais qu'est ce que tu fais à la place? Rien, au lieu d'élever Monica vers le haut tu la rabaisse''

''J'ai jamais fait ça'' Cracha t-il froidement

''Ah non? Et quand on était au monastère, rappelle moi ce que tu lui a dit?''

''Putain mais sa te regarde pas Pripiat! T'es ni ma mère, ni ma sœur, t'es juste une pauvre fille incapable d'élever son gosse''

'Retourner la situation contre moi ne vas pas t'aider et tu le sais très bien, ce n'est pas en créant un Cahot qu'on deviens le maître Denver c'est en errant le Cahot qu'on en devient le maître''

''Ferme là avec t'es dicton pourris'' Soupira t-il en regardant ailleurs

''En attendant mes dictons pourris ils ont raison, t'attend quoi pour aller la voir et t'excuser? C'est compliqué à faire sa? Qu'est ce qu'il en dirait ton père?''

Son regard se tourna vers moi, je savais qu'utiliser Moscou était la bonne idée, Denver attachait une grande importance à ce que pouvait penser son père, encore plus maintenant qu'il n'était plus des nôtres, qu'il avait quitté le braquages.

''Tu avais enfin trouvé une petite, superbe, belle, intelligente, gentille et tu ose la perdre? Pour une simple histoire de machisme?''

''Je suis pas un putain de macho!''

''Alors là si, tu les autant que Berlin, sauf que Berlin lui, il s'en foutez que je braques des banque, que je tienne une arme en main, Berlin lui ne mettez pas de genre sur les métiers, à partir du moment ou t'avais les couilles de le faire, tu était engager, point, que tu sois une fille, un homme ou même un putain de furet! Toi, pour la simple et bonne raison que ta femme à un enfant, tu la force à arrêter son travaille?''

''J'ai fait ça pour son bien''

''Mais qu'est ce que t'y connais toi à son bien? Tu crois que sa place est derrière une gazinière? Un gamin accrocher au sein préparant un repas pour son tendre amour? On vie plus dans les années soixante Denver'' Dis-je presque en hurlant

''Putain mais vous me saouler tous avec vos bonne moral, si je meurt qui s'occupera de lui? Monica et si elle est ici et qu'on crève tous les deux, qui s'occupera de lui hein? Le professeur? Nairobi? Ou toi peut-être?''

Je restais bête face à ce que venait de dire Denver, il n'avait pas tort en effet, mais cela montrait surtout un grand manque de confiance envers le professeur et son plan, enfin le plan de Berlin.

''Dans ce cas, qu'est ce que tu fou ici?'' Lui demandais-je amèrement ''Répond moi qu'est ce que tu fou ici?''

''Quoi qu'est ce que je fou ici?'' Dit-il en soupirant de plus belle

''Je sais pas, ta signer pour venir dans cette putain de banque non? Le professeur ne t'a pas kidnappé? Tu sais les risques que l'on encourt à être ici? Tu les savais avant de partir même non? Alors qu'est ce que tu fous ici pendant que ton gosse est seul? Si ta peur qu'il se retrouve tout seul, il fallait pas venir Denver, c'est pas plus compliqué, il fallait dire, professeur, maintenant que j'ai un enfant, non je ne participerait pas, ce n'était pas plus compliqué que ça, c'était une simple phrase''

''Et quoi? Qu'est ce que vous auriez pensé de moi? Que j'étais un putain de lâche?'' Dit-il sur un ton largement plus calme

''Si t'es venue ici juste pour avoir bonne conscience c'est que tu n'as rien compris'' Dis-je en détachant mon regard du sien

Le téléphone se mit soudainement à sonner, je tourna la tête vers ce dernier et m'en approcha.

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Bon du coup je dois un peu vous expliquer mon absence, je suis tomber par terre et je me suis réveiller en 2030, d'ailleurs le covid exister toujours et on l'appelle le Cov-Zombie...Ptdr, imagine, bref du coup les cause de mon absence sont largement moins intéressante que ça, en fait j'ai juste plus eu de Wifi, voilà, comme je vous avais prévenue ma wifi orange beuger et un matin je me lève, je pars mettre Netflix pour regarder la dernière saison de Big Mouth et là, bah plus rien, plus de télé, je prend mon téléphone ''aucun réseaux'' suivis d'un aucun wifi, c'était pas ouf on vas pas se le cacher, mais bon on...du coup voilà, pour le moment c'est revenue, je sais pas si ça durera mais pour le moment c'est revenu!
Sinon Addia_ a écrit une fanfiction de ma fanfiction!!!! Aller la voir !!!!
Sinon aujourd'hui c'est le réveillon de noël, je vous souhaite de bien manger, de bien boire, d'avoir pleins de cadeaux, plein d'amour, gros cœur sur vous.
La grosse bise 😘😘😘😘❄️❄️❄️🤩🤩🤩

Le casse du siécle -Parti 2-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant