-264- Le drapeau de la paix

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Les militaires sortirent un par un de leurs camions, le corps robuste, le regard froid, près à tirer au moindre bruit, au moindre geste, et dans cette foule d'homme qui n'avait pour principe que de sauver leurs pays quoi qu'il en coûte, se trouver un homme, droit comme un piquet et qui nous regarder dans bas comme l'une des plus belles merveilles du monde, pour tout militaire cette histoire de Dali devait être une vrai occasion de se prouver un tas de chose à leurs égo démesuré.
Mais cet homme, ce regard froid, ses chevex noir comme les tenerbres me rappeler vaguement un souvenir.

''On doit descendre'' Annonça alors Lisbonne me sortant de mes penser

''Sortir?'' Dis-je alors en tournant la tête vers elle

''Oui, Pripiat part chercher Gandia avec Bogota, Séoul, Tokyo venez avec moi''

''Hors de question, Séoul ne sort pas de là'' Dis-je en attrapant le bras de cette dernière qui était bien décidé à sortir ''Elle reste à l'intérieur''

Après quelques échanges de regards entre moi et Lisbonne, elle finit par tourner son dévolu sur Stockholm qui acquiescez positivement, je pris alors la route en direction de Gandia qui était assis ligotée comme un jambon.

''Aller lève toi'' Dis-je sans le regarder chargent mon arme

''Qu'est ce que ça te fait hein?'' Me demanda alors Gandia en gardant un sourir sur le côté ''J'ai tué ton petit frère c'est bien ça?''

Bogota avança vers Gandia bien décidé à lui coller une droite dont il se souviendrait durant les quatre prochaines heures, mais je le stoppa d'un simple geste de la main. Je m'approcha alors doucement de lui et m'accroupis à sa hauteur en lui tirant mon plus beau sourire.

''Gandia chéri, n'oublie pas que je sais qui est ton fils et où il habite, j'ai torturer des gamins bien plus robuste que le tiens et crois moi Gandia'' Dis-je en posant ma main sur sa joue ''Dès que je sors d'ici j'irais rendre un petit bonjour à ton fils, à charge de revanche comme on dis'' Dis-je en lui donnant quelques petites tapes sur la joues avant de me relever ''Maintenant tu te lève''

Bogota tira le bras de Gandia afin de l'aider à se lever et se mis en marche en le tenant fermement, tendis que j'allumais une cigarette, je sentais la fumée entrer doucement dans mes poumons comme une caresse de radiation sur la peau.
On rejoint les autres qui étaient fin prêt à sortir, les filles avaient retiré leurs chaussures et sortaient pieds nus suivis par les otages, c'était une scène belle à voir, nous, les Dali démunis.
Le soleil qui caressait la peaux de ceux qui étaient dehors entrée dans la banque comme si tout ceci était un message d'espoires de la vie, nous allons y arriver, il suffit simplement de croire en nous et notre plan, c'est ce que je me suis dit lorsque le soleil à taper dans mes yeux m'éblouissent quelques secondes.

''Colonel Tamayo'' Hurla alors Lisbonne dehors ''On a un drapeau blanc'' Dit-elle alors que Stokholm à sa droite sortez un drapeau d'un blanc qui ne payer pas de mine mais qui était le symbole de la paix

Les Dali qui se trouvaient dehors, hurlaient de bon cœur nos noms comme si nous étions des stars qui donnions un concert, c'était beaux, nous étions soutenus et juste pour cela, nous devions nous battre jusqu'au sang s' il le fallait.
Je sentis une main sur mon épaule et tourna la tête, voyant que Suarez me regardait de haut en souriant assez bêtement.

''Je ne savais pas que tu pouvez sourir'' Chuchotta celui ci

''Je suis capable de chose que tu n'imaginerais même pas''

''Je ne sais pas si je dois avoir la gaule ou fuir après ce que tu m'as dit''

Je laissa échapper un rire avant de me concentrer à nouveaux sur le spectacle qui se tenait dehors, Tamayo, vêtu surement du même costume que la veille, se diriger droit vers les filles, il bomber le torse se donnant une apparence de guerrier, ce qui était plutôt ironique en vu de son poids et de son visage d'homme d'affaires.
D'où nous étions nous ne pouvions rien entendre, mais nous avions tous confiance en Lisbonne, soudain les militaires se mirent à viser Lisbonne et les autres.

''Putain qu'est ce qui se passe?'' Demanda Denver près à en venir au armes

D'un geste lent, Tamayo leva le poing et tout le monde descendit les armes, avant que l'on entendes un téléphone sonner.

''Pripiat Palerme'' Nous appela alors Lisbonne à l'autre bout du combiné

''Lisbonne'' Dis-je en me dirigeant vers Gandia tout comme Palerme

Palerme prit alors un téléphone dans sa main et filma alors le visage de Gandia, qui était salement amoché on devait bien se l'avouer, je me plaça derrière lui et tout en tirant l'une de ses oreilles le força à tourner la tête.

''Aller montre tes petits bobo'' Dis-je en souriant face au grimace de Gandia ''Vous voyez ceci?'' Dis-je en regardant la caméra ''Ce sont des éclats de grenade, Tokyo'' Dis-je lui laissant la parole en dehors de la banque

''Il est toucher au cervicale trois, quatre et cinq, un mauvais geste et il perd l'usage de son bras pour toujours, ou de ses poumons d'ailleurs, les nerfs phrénique ça s'appel''

''Il lui faut d'urgence un neurochirurgien'' Ajouta Lisbonne ''Ça peut être une aide militaire, t'en à sous la main je crois''

''Si je vous envoie un médecin, je devrais attendre trois ou quatre heures avant de fire entrée l'armé et tu sait très bien que c'est ce que je veux faire, c'est pour ça que vous jouer la dernière carte qu'il vous reste, soit Gandia qui est blesser'' Ajouta Tamayo

''Tu compte laisser un homme qui vous à bien aider devenir paralyser?'' Lui demanda alors Lisbonne

''Libérée le, on le soignera''

''Mais ça, ça ne nous rapporterait rien tamayo''

''Bien-sûr que si et je vais te dire pourquoi, si tu ne laisse pas Gandia sortir, on entre immédiatement, mais si tu le libère j'attendrais un peut avant de vous demander comment vous vous en sortez là dedans, je dirais une petite heure à toi de voir'' Ajouta alors Tamayo

''Laisse moi une minute pour en discuter avec les autres'' Lui demanda t-elle

''Bien-sûr'' Dis alors Tamayo

Le regard de Gandia se tourna alors vers Palerme qui tenait toujours le téléphone braqué sur son visage.

''Et la pédale Italienne'' L'appela t-il ''Peut-être que je vais finir par sortir avant toi finalement''

Le regard de Palerme était aussi noir que le miens et bien-sûr Gandia décider de continuer à nous provoquer pour que nos nerfs lâche mais un bruit nous firent tous tourner la tête, Bogota ce tenez à mes coté un couteau dans la main.

''Bogotá, qu'est ce que tu fou?'' Demanda alors Denver

''Bogotá lâche ça'' Lui demandais-je à mon tour

..:
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalì 🔫
Bon je suis de retour maintenant que la casa est terminer🥲
Qu'est ce que vous avaient penser de la fin?
Perso je les trouver top même si ça manque de Palerme/Berlin!
Enfin bref la grosse bise

Le casse du siécle -Parti 2-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant