-248- Une bombe au yeux de tous

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Nous entrions dans le tunnel avec la seule volonté de tuer Gandia, de récupérais Tokyo et de sortir de se putain de troue à rat qui servait de banque, mais le talkie-walkie se mis à grésiller dans ma poche.

''Professeur'' Dis-je tout en regardant en face de moi

''Je veux toute votre attention, la police tante de coordonner un assaut avec Gandia, il faut couper le téléphone dans le pièce de haute sécurité, il faut couper tout, ah très
important'' Nous dit le professeur avant de ce taire ''Interdiction de tuer Gandia, il me le faut vivant''

Je laissa échapper un rire jaune, j'aimais le professeur, je le respecter énormément, d'ailleurs je n'avais rarement eux autant d'estime pour un homme de toute ma vie, mais la famille était la famille, comme le disait ma mère ''Le premier qui touche à la famille, devra s'expliquer à l'hôpital'' et je prenez cette phrase très à cœur.

''Prof, je sais que vous êtes un génie, plus que moi je ne le suis, mais vous voyais, ce n'est pas votre frère qui c'est fait tuer par cette enfoiré''

''Non tu a raison, mais j'ai aussi perdu mon frère, Pripiat ce que je te demande c'est de ne pas agir comme tu le fait tout le temps, on s'occupera de Gandia, mais pas tout de suite, on dois pouvoir sortir d'ici''

''Sortir d'ici? Sans que Gandia ne soit mort? Sa me semble impossible, désoler''

''Laisser moi faire professeur'' Lui demanda Kopatchi ''Pripiat'' Me dit-il en me regardant droit dans les yeux ''Il faut que l'on sortentd'ici pour retrouver ton fils, si on tue Gandia, ils vont empirer la situation dehors et on ne pourra pas sortir''

''J'avais oublier que tu connaissait bien ce monde'' Dis-je avec un faux sourire ''Bon prof'' Dis-je en reprenant le talkie-walkie ''Je vais suivre vos instruction à la lettre parce-que je les toujours fait''

''Je t'en remercie'' Dit-il en soupirant

''Mais sa me semble compliquer sachant qu'il se trouve dans la même pièce que Tokyo'' Dis-je en regardant Kopatchi qui avait croiser ses bras sur son torse

''J'ai dis vivant c'est cruciale pour le plan'' Nous dit-il énerver ''Détecter les ondes électromagnétiques, coupez les câbles, quand la ligne et les caméras de surveillance seront couper, commencer à ouvrir la porte, faites du bruits, aller y au marteaux piqueurs, faites autant de bruit que possible, il faut que Gandia crois qu'on vas entrée par là et entre temps vous ferais un petit orifice dans le mur opposer sans qu'il ne se rend compte de rien et vous enverrais un gaz narcotique dans la pièce, quand il serra inconscient vous défoncerais la porte''

''Prof, vous êtes un génie'' Lui dis-je

''Merci Pripiat, bon c'est clair?''

''Très clair'' Répondit-ont en cœur

Le talkie-walkie s'arrêta, on se regarda tous avant de faire demitour et de sortir du tunnel, il nous faillait des hommes capables de creuser un tel troue, nous n'en étions malheureusement pas capable, mon métier était de voler de l'argent, pas de faire des troues dans une porte blinder, bien que sa m'aurais aider dans certains casses.

''Palerme vas chercher Bogotá et Helsinki'' Demanda Kopatchi ''Je dois discutez avec Pripiat''

Je le regarda avec de grand yeux, comment sa discuter? Encore? C'est pas possible Suarez était un vrai moulin à parole, je roula les yeux au ciel avant que Palerme ne parte sans dire un mot.

''Qu'est ce qui t'arrive?'' Me demanda Suarez sur un ton froid

''Ce qui m'arrive? Mon frère viens de se faire tuer par Gandia et tu ose me demander ce qu'il m'arrive?'' Dis-je n'en revenant même pas de cette question

''Justement, j'ai essayer d'être le plus présent pour toi, sauf que tu me rejette à chaque fois''

Je détourna le regard, il faut dire que c'était plutôt vrai, depuis que Suarez était entrée à nouveaux dans la banque je faisait presque tout mon possible pour qu'il s'éloigne de moi.

''Écoute je suis revenu ici parce que je penser qu'entre toi et moi il y avait quelques chose qui dépasser le sexe'' Me dit-il en serrant sa mâchoire comme si il avait peur de la réponse ''Si ce n'est pas le cas, alors je me suis tromper, mais autant que tu me le dise maintenant plutôt que tu reste à jouer avec mes sentiments''

''C'est pas sa'' Dis-je en soupirant, très peut habituer à dire ce que je pense

''Alors c'est quoi? Explique moi bordel!''

''Que je t'explique quoi? Que la dernière fois que j'ai ressentis quelques chose pour quelqu'un il est mort, comme tout ceux que j'ai aimer? Je suis une putain de bombe à retardement Suarez, tous ce qui m'approche finissent par mourir'' Dis-je avec rage ''Mon premier petit ami, lorsque j'avais quoi, six ou sept ans, je ne sais même plus, on c'est mis ensemble et il est mort quelques jours après, Viktor, mort aussi, Léonid? Mort aussi, Berlin? Lui aussi est mort, tu veux mourir? Et encore je te parle de mes relations amoureuse, mais tout ceux que j'approche de trop près finisse par mourir, ma fille, Moscou, ma mère, mon frère, tous ceux que j'aime finisse par mourir par ma faute... j'ai pas envie de faire plus de mort que je n'en est déjà fait'' Dis-je en commençant à partir

Je n'étais pas du genre à lâcher autant d'infirmation sur ma vie aussi rapidement, mais c'était sorti de ma bouche, comme un besoin, comme si tout devait être entendu.

''Attend, Pripiat'' Me cria Suarez derrière moi, mais je continua ma route sans y prêter attention

Je l'entendis soupirer profondément avant de courir jusque moi, mais je ne m'arrêta pas de marcher, je ressentez le besoin de m'éloigner de Suarez, j'étais une bombe à retardement et lorsque cette bombe aller de nouveaux exploser elle détruirais tout sur son passage.
Il attrapa mon bras et me força à m'arrêter aillant plus de force que moi.

''Arrête'' Me demanda t-il d'une voix calme

Puis sans dire un mot de plus me plaqua contre lui, je ne bouger pas, j'étais droite comme un piquer coller contre le torse de Suarez, je sentez ses battements de cœur rapide, son souffle chaud sur mes cheveux, ses mains dans mon dos.

''J'en est connus des bombe à retardements, des vrais, il y a juste un fils à couper'' Me chuchota t-il dans le creux de l'oreille

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Et voilà un peut de love dans ce monde de beauté et de c** 😂 ok je me
Calme ahah, enfin bref j'espère que ce chapitre vous a plut.
La grosse bise 😘

Le casse du siécle -Parti 2-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant