-279- Vieux patriote

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'' Aller on y va '' Dis-je poussant les otages un par un '' Aller bouger vous, bouger vous ''

Le stress nous gagnait petit à petit, c'était dangereux, mais nous devions tous nous battre.

Une fois, dehors, les otages courrez dans tous les sens, criant leurs noms.

'' On est sortis Professeur '' Annonçais-je une fois sur le toit

Une fois sur ce toit, le soleil caressa ma peau, que c'était bon de revoir le jour, moi qui avais passer deux ans sur une plage à ne jamais rester à l'intérieur.

'' Calmez vous '' Dis-je aux otages sans hurler à fin de ne pas me faire repérer par les flics

Les otages se cachaient, courraient dans tous les sens, à vrai dire, nous n'avions jamais fait autant stresser nos otages qu'aujourd'hui.

'' Pripiat, ça va ? '' Me demanda rapidement Denver voyant que je n'avais pas bougé depuis que j'étais arriver sur le toit

'' Ouais, regarde ce magnifique soleil '' Dis-je en prenant un grand bol d'air

'' T'es mignonne, mais on n'a pas le temps-là '' Dit Denver me prenant sûrement pour une folle

'' Tu peut y aller Professeur '' Annonça alors Palerme en hurlant

Il y eut un silence, un long silence, comme si le temps venez de s'arrêter, il n'y avait que le bruit des otages qui hurlais autour de nous. Puis un bruit de balles sur le toit se fit entendre, Denver tira alors le sac vers lui, maintenant la guerre commençais de notre côté. Le sac glissé sur le sol, tandis que les otages se baissait tous sous les bruits des balles.

'' Aller on y va '' Dis-je ouvrant le sac désormais à nos pieds

On prit alors tout ce que le sac renfermer, des armes et surtout beaucoup de grenades. Tokyo s'en fit même un collier. On s'approcha du trou qui avait été fait dans le toit et sous nos pieds, les militaires se battez de sang-froid, on hésita quelques instants.

'' Sainte-Marie pleine de grâce '' Fut les seules paroles de Denver avant que l'on ne saute dans le trou relier par des câbles

On se mit alors à tirer dans le tas, les militaires furent bien surpris et partir en retraite quelques instants, le temps pour nous de nous trouver un coin cachait, les balles fuser dans tout les coins, mais personnes n'avait le temps de penser à ce qu'il ce passer réellement autour de nous, une balles effleurai rapidement mon épaule mais je n'eu pas le temps de la voir passer, en réalité on était tous concentrer sur nos propres balles, quelques cries se faisait entendre, puis plus rien, un silence presque morbide, je lançais un regard à Palerme qui se trouver en face de moi, il était couvert de sueur.

Flash-back

'' Ma petite Pripiat, comment va tu ? '' Me demanda-t-il le front couvert de sueur

'' Je crois que je dérange '' Dis-je voyant sa tenue loin d'être conventionnelle

'' Non, je viens juste de finir un projet ''

'' Un projet ? '' Demandais-je en riant '' Aller laisser tomber, je voulez juste te dire qu'on va passer à table ''

Je fis demi-tour, mais Palerme, toujours sur le perron de sa maison, un verre à la main, m'interpella.

'' Pripiat attend '' Dit-il refermant la porte derrière lui

'' Qu'est-ce qui t'arrive, tu veux faire un plan à trois ? '' Demandais-je en riant

'' Je suis heureux que Berlin est connu une femme comme toi ''

'' Oh, je ne m'attendez pas vraiment à ça, merci ''

'' Il a connu tout un tas de femmes et il était fou amoureux d'elles à tel point qu'il aurait pu gâcher des plans '' Dit-il en regardant son verre '' Entre lui et moi '' Il marqua un arrêt '' Non, je veux dire, il a toujours choisi des femmes belles, luxueuse ''

'' Je suis magnifique '' Dis-je tournant sur moi-même '' Et crois moi mon chou, j'adore le luxe '' Il souriant à ma blague avant de reprendre de plus belle

'' Tu est tellement différente des autres, je suis tellement heureux que tu soit la dernière de toute, celle qu'il a chercher durant des années, une guerrière, lorsque Berlin aimer, il ne faisait pas semblant, beaucoup de femme l'on aimer pour ça, mais toi, toi tu est rester malgré les adversité, toute sont partis le laissant seul et malheureux à en mourir, mais toi '' Dit-il en avançant vers moi ''Toi tu lui a prouvez que l'amour pouvez durée éternellement''

Il était face à moi et embrassa ma joue, j'étais bien surprise de ce que Palerme venez de me dire, cela faisait moins d'un an qu'ils vivaient à nos côtés et c'était bien la première fois qu'il me faisait une aussi belle déclaration, à vrai dire nous passions le plus clair de notre temps à nous disputer sur différents sujets. Il finit alors par me prendre dans ses bras, je mis quelques secondes avant de répondre à son étreinte.

'' Je suis tellement heureux '' Dit-il laissant une larme couler sur mon épaule, ce jour, je compris que Palerme et Berlin entretenez une tout autre relation que de l'amitié.

Retour au présent

Il me fit un maigre sourire que je lui rendis avant qu'il ne prenne la parole.

'' Qui est aux commandes ici ? '' Demanda t-il

'' Le commanda Sagasta '' Annonça l'un des militaires

'' Putain '' Dis-je alors en entendant ce nom, malheureusement familier

'' Quoi ? '' Demanda Denver à mes côtés

'' Ce mec est un putain de taret '' Dis-je en visant sa tête de mon arme, du moins ce qu'il en laissait apercevoir

'' Tu le connaît ? '' Me demanda Denver silencieusement

'' Ça oui '' Dis-je en soupirant '' Il m'a traquet dans les bois, le chasseur et le sanglier '' Dis-je en riant, repensant à cette phrase qu'il m'avait justement dit

'' Vous êtes cerner, jette vos armes au milieu de la pièce '' Disait alors Palerme tendis que nous serrions tous les nôtres entre nos mains '' Tout de suite ! ''

'' Viens les chercher toi-même sale pédale '' Hurla alors la voix de Gandia, ce qui me fit soupirait

Palerme commença un compte à rebours, durant lequel l'un des militaires laissait entendre son rire, on aurait dit un fou allier.

'' Soldat on va jeter nos armes '' Annonça l'un des gars

'' Prépare toi à tirer '' Dis-je à Denver

Ils lancèrent alors une grenade qui roula sur le sol, on se mis tous à partir hurlant presque de peur, Denver se jeta sur moi et me recouvrir de son corps sur le sol, il entoura ses bras autour de mon corps et l'explosion fut, un bruit affreux retentissais dans le musée ou nous avions trouver refuge. Je sentez la respiration de Denver dans dos.

'' Ça va ? '' Lui demandais-je

'' Ouais, ouais '' Dit-il essouffler.

...

Bonjour, Bonsoir mes petits Dalhi 

J'avais tellement envie de crée une nouvelle intrigue entre Pripiat et ce fameux militaire, qu'est ce que vous en penser? 

La grosse biseeeee

Le casse du siécle -Parti 2-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant