Notre accolade infectieuse se termina assez rapidement, après avoir entendu du bruit provenir de la bibliothèque, lorsque nous étions rentrées arme en main à l'intérieur, que fut ma surprise de voir Arturo tout vêtu de sa chair debout devant tout les otages qui avait tous le regard porter sur nous, Montréal était allonger au sol et était en train de se relever en touchant son crâne sûrement avait-il mis un coup à cette dernière, facile de profité des jeunes femmes, à croire que c'était une passion chez notre cher Arturo, il avait pris l'arme de cette dernière et viser le gouverneur avec.
''Vous qui n'avait pas assez de couilles pour leurs tenir tête, vous qui n'êtes même pas capable de protéger vos employer, aller je vous sort de là, tout de suite! Aller venez par ici, aller venez tous, aller on se bouge'' Disait-il en venant vers nous sans nous regarder ''Et je n'en est pas fini avec vous'' Dit-il en pointant encore une fois le gouverneur de son arme ''Si je suis venue ici c'est pour sauvez ses gens et être un héro!''
''Il ne fat pas un slip pour être un
héros?'' Demandais-je en riant,visant Arturo de mon arme égalementIl se raidit aussitôt après avoir entendu ma voix, il faut dire qu'elle faisait beaucoup d'effet à Arturo et ceux depuis le premier braquage.
''Qu'est ce que tu nous fait encore comme cinéma? Je savais que tu était cynophile mais à ce point? Tu pense vraiment Arturito que toi tout seul tu peut sauvez ses otages qui ne sont même pas en danger de mort? Toi tout seul fasse à nous?'' Dis-je en continuant de rire ''Tu écrit une comédie Arturo? Aller pause se G36 au sol'' Dis-je en voyant Arturo se tourner petit à petit vers moi
''Non je ne le ferrais pas!'' Dit-il en me tenant tête
''Mais pourquoi est-ce que tu veux toujours me tenir tête sérieux?'' Dis-je en soupirant ''J'ai juste à te tirer dans la jambe et tu ne pourra plus marcher pendant quelques temps, donc soit tu pose cette arme tout de suite, soit je te tire dans la jambe''
''La révolution des otages sa te dit quelque chose Lara Akimov!'' Me dit-il en me visant de son arme
''Bien tu l'aura voulus''
Je tira alors dans la jambe d'Arturo qui s'écroula au sol en hurlant de douleur, on aurait dit un petit chien en train de mourir sur le bas coté d'une autoroute, tous le monde le regard mais personne ne s'arrête.
Il était en train de gémir, en pleurant comme une fillette.''Depuis le temps que je rêve de lui tirer une balle'' Dis-je en souriant à Kopatchi qui était parti aider Montréal à se lever
''Je vais perdre ma jambe!'' Hurla t-il ''Je vais mourir! Je le sens! Je me vide de mon sang!
''Tu vois une lumière blanche aussi? Oh Arturo arrête'' Dis-je en roulant les yeux au ciel
Le gouverneur qui avait l'arme d'Arturo braquer sur le visage il n'y a de sa, que quelques minutes, était en train de regarder la nouvelle plaît de notre cher ami qui gémissez assis le cul nue sur le sol.
''Vous n'aller pas mourir, c'est un orifice de sorti, aucune artère n'as était toucher, c'est rien d'important'' Lui dit alors le gouverneur sûrement exaspérer par le comportement de se soit disant héros
''Bon tu a entendu Arturo? Tu vas encore nous faire chier durant un long moment, mais je ne peut pas te laisser mettre nos vies en danger comme sa, Kopatchi vas aller t'attacher les poignets près d'un chauffage, ah et pour t'es vêtements ne t'attend pas à les revoir un jours''
Kopatchi hocha la tête avant de partir vers Arturo les menottes en main. Il attacha Arturo contre un radiateur comme je lui avait demander, il l'avait traîner de tout son poids, la peau d'Arturo glisser difficilement sur le carrelage, provoquant des grincement très désagréable, sans compter sur les cries qu'il pousser, pensant qu'il se vider de son sang, comme un porc que l'on égorgée, sauf quand réalité, il ne saigner pas plus que sa, une fois totalement attacher il se mis à hurler à plein poumon.
''Je vais perdre ma jambe!'' Criait-il
''Arturo ferme là! Moi aussi j'ai pris une balle dans la jambe et tu vois je suis encore
debout'' Dis-je même si je devait avouer que je boiter beaucoup''C'est pour cela que vous boiter?'' Me demanda le gouverneur en regardant ma jambe
''Ouais, merci de vous inquiéter
Gouverneur'' Dis-je en souriant''Vous devriez consulter un médecin rapidement''
''Je vous aurait bien dis oui, seulement je ne peut pas réellement quitter la prise d'otages Gouverneur'' Dis-je en riant tendis qu'Arturo continuer son cinéma
''Vous risquer d'avoir des séquelle à vie vous savait'' Me dit le goudronneur loin de rigoler
''Et je ferrais avec, merci beaucoup de vous inquiéter''
''Si vous le dite mademoiselle Pripiat''
''Pauvre salope!'' Hurler Arturo
''Ah! Arturo il y a des mots qu'on ne prononce pas'' Dis-je en venant vers lui
''Pripiat'' Me dit Suarez en me regardant partir
''Quoi? Tu n'accepte pas que je te traite de pauvre salope? SALOPE DE MERDE!'' Hurla alors Arturo
Plus j'avançais vers lui, plus Arturo reculer vers le radiateur, regrettant ce qu'il venez de dire; une fois devant lui je sorti mon arme et lui colla dans la bouche, l'ouvrant de force, ses yeux était soudainement remplis d'une peur bleu, il savais très bien que j'en était capable, Arturo commençait à mieux nous connaître que nos propres à mère à force de nous croiser dans des braquages.
''Si j'entends une nouvelle fois une injure de ta putain de bouche, je te tire une balle et cette fois Arturo, tu mourra, donc tu ferme bien ta gueule c'est clair'' Lui dis-je avec rage
Il hocha la tête très inquiet pas ce qui pourrait lui arriver.
''Bien'' Dis-je en retirant l'arme de sa bouche
Il se gratta le menton, tendis que je me redresser et regarder tout les autres.
''Je vais être clair, le prochain qui me fait chier, il se prendra une balle, les Dalí ne son plus gentille maintenant c'est fini, donc tenez vous bien.
...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
J'ai pris un malin plaisir à imaginer Arturo ce prendre cette balle dans la jambe ! Voilà je le devait de le dire ahah🤣
La grosse bise 😘
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Le casse du siécle -Parti 2-
FanfictionSuite du premier livre, aller lire la première parti