Je tenez toujours la tête de Tokyo contre moi, mais je sentez sont emprise se défais petit à petit, son regard était perdu dans celuide Rio, elle se leva subitement et se jeta dans ses bras, laissant à nouveau les larmes lui couler sur les joues, plus fort encore que la première fois, il faut dire qu'elle était encore en plein deuil de sa relation avec Rio et une rupture n'est jamais facile à surmonter, l'amour est destructeur lorsqu'il le décide, je me leva alors difficilement, je me retenez d'exploser, de craquer et de laisser le chagrin me prendre, Delhi était mon frère et je m'envoulez terriblement qu'il soit parti en mauvais terme avec moi, toutsa à cause de ma putain de fierté. Tous ceci était de ma faute... voilà ce qui résonner maintenant dans ma tête, ma faute, ma faute,ma faute, bordel qu'est ce que j'avais mal, j'essayais tout de même de sécher mes larmes, de les laisser à l'intérieur mais c'était réellement difficile, surtout lorsque je regarder Tokyo, elle avait était la grande sœur que je n'avais pas était, qu'est-ce que je pouvez me détester. Je croisa alors le regard des autres, un regard compatissent, des têtes baisser, ne voulant pas affronter les émotions de certain, Kopatchi était près de moi, il ne savais pas si il devait me prendre dans ses bras, rester comme il était ou faire autre chose, comment pouvez il savoir? Comment pouvez t-il me comprendre? Moi même je ne me comprenez pas, le seul qui un jour m'avais comprise était maintenant mort... peut-être aussi par ma faute? Les idées se bousculer dans ma tête, mon fils avait était kidnapper par ma faute... tout était de ma faute.
Je sentis une main se poser sur mon épaule, une main chaude qui me donna des frissons dans tout le corps, je tourna le regard et visalors le regard de Kopatchi, lorsque nos regards se croisèrent il retira sa main, mais j'avais finalement besoin de lui, pour me sentir aimer, pour cacher cet rancune que j'avais envers moi même, je plongea alors ma tête contre son torse et enroula mes bras autour de lui, il n'oser plus bouger, il ne savais pas quoi faire, je n'étais pas du genre à montrez subitement mes sentiments et pourtant j'étais aussi un être humain, j'avais aussi des sentiments, bien que j'essayais de me les cacher, ils étaient tout de même là.''Je ne veux pas gâcher se moment très touchant'' Repris Palerme ''Mais on a pas beaucoup de temps''
''Oui'' Dis-je en me séparant de Kopatchi ''On dois continuer''
J'essuyai mes joue rouges à cause de l'eau saler qui avait couler sur celle-ci, Tout le monde repris le court de sa vie, mais une chose devait nous préoccuper, nous devions opérer Gandia, il devait être en vie, pour le plan.
Nous n'avions pas perdu de temps à ramener Gandia dans le bureau du gouverneur ou nous allions lui faire subir une opération.''Pripiat, comment vas Gandia?'' Me demanda le professeur dans le talkie-walkie
Je pris ce dernier que j'avais poser momentanément sur le bureau du gouverneure et répondit au professeur.
''On est en train de l'opérer''
''Vous devait, lui sauvez la vie'' Me dit le professeur comme si c'était simple
''Écoute prof'' Dis-je assez froidement
C'était bien beau de donner des ordres assis le cul sur une chaise, mais à un moment donner il ne faillait pas trop nous en mettre sur les épaules, je n'étais pas en train de craquer, du moins je n'avais pas l'impression que c'était le cas, je voulez simplement dire au professeur une réalité.
''Ici c'est la merde, tu n'as jamais vécu un seul braquage de toute ta putain de vie, alors arrête de nous mettre la pression tu veux? Sinon moi aussi je vais te la mettre la pression'' Dis-je en voyantle regard de Palerme tourner pour le miens
''Pripiat, je te demande de garder ton calme''
''Je suis calme'' Dis-je férocement ''Seulement on fait tout notre putain de possible pour suivre ton plan, on sais que cette petite merde de Gandia dois rester vivant, tu n'as pas besoin de nous le répétait milles fois par heures''
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Le casse du siécle -Parti 2-
FanfictionSuite du premier livre, aller lire la première parti