-235- Les souvenirs ont les réponses

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L'ambiance était devenu si pesante que je sentez des frissons me parcourir le dos, nous étions des rats prise au pièges désormais et même le professeur ne pouvez plus nous aider, nous devions essayer de reprendre nos esprits, mais comment? Pour le premier casse aucun d'entre nous n'avais quelque chose qui nous retenez sur terre,mais aujourd'hui, tout nous y retenez, l'amour, les enfants, l'argent même, nous avions goutter à une vie digne de se nom, une vie remplis de couleur, le coter obscure ne nous intéresser plus et nous avions peur d'y retourner, ce que Gandia nous offert, c'était de retomber dans cette noirceurs, et si nous avions sur que l'un d'entre-nous y perdrez la vie...jamais nous n'aurions accepter de retourner dans un nouveau casse, au sa non, jamais...

''Je profite de l'occasion pour remercier se cher Palerme, si il ne m'avais pas montrez comment me débarrasser des menottes en me disloquant le pousse je ne serrait pas en liberté, grâce à lui je vis pouvoir vous aider tous'' Annonça à nouveaux Gandia

Personne ne savait réellement ce qu'il c'était passer au moment où Gandia avait réussis à se défaire de ses chaînes, bien-sûr nous savions tous que Palerme était l'un des fautifs, je le savais en tout cas, mais j'avais décider de ne pas y prêté attention, pour le groupe, seulement mon avis était une chose, celui des autres était encore autres chose.

''C'est là où sa se compliquer pour
moi'' Annonça Palerme

''Alors toi'' Dit Bogotá en se dirigeant vers Palerme

Bogotá était du genre très coléreux, et il faut dire que part sa taille et ses muscles je n'oserais pas me m'être entre lui durant un bagarre mais nous ne pouvions pas perdre fasse, c'est ce que Gandia voulez et il était hors de question que l'un d'entre nous ne s'énervent après lui, on réglerais tout cela après.
Après avoir réfléchis quelques secondes, qui n'était de toute évidence pas suffisante, je me mis entre lui et Palerme, Bogota faisait deux têtes de plus que moi et j'étais vraiment gentille envers moi, il baissa alors le regard, les yeux noir de colère, maisje ne bougea pas.

''Bogotá'' Dis-je avec une force rare dans l'intonation de ma voix''Ce n'est pas le moment, ce que cherche Gandia en disant cela, c'est de tous nous montez les uns contre les autres et crois moi, frapperPalerme ne changera rien''

''Forcément tu le défend'' Dit Bogotá de sa voix roque

''Pourquoi forcément?'' Demandais-je assez étonner

''Pour rien...écoute gamine, je vais pas faire de mal à ton ami, je vais juste lui ratatiner la gueule'' Dit-il avec la ferme intention de me pousser

''Pardon?'' Dis-je avec une voix aussi forte que la sienne ''Tu m'as appeler comment?''

''Pripiat'' S'interposa Denver ''Arrête''

''Ok j'arrête mais lui il vas s'asseoir sur une chaise'' Dis-je en fixant Bogotá droit dans les yeux ''Et surtout personne ne casse la gueule de Palerme, c'est pas le moment, qui ici n'as jamais fait de connerie durant un braquages? On en fait tous''

''Pripiat comment tu peut défendre
ce type!'' Me dit Helsinki

''Pour le bien du groupe, si vous vous en prenez à lui, vous vous en prenez à moi c'est clair?''

Tous le monde me regarda assez étonner par ce que je venait de dire,mais je savais que je prenez la bonne décision, on avait plus important à gérer dans l'immédiat, sa j'en était sûr car dans l'instant il faillait que l'on gère une chose, les otages, avec un tel message de la part de Gandia les otages aller se rebeller, sa j'en était sûr, étrangement je me souvenue d'une discutions que l'on avait eu, Berlin, moi et le professeur avant le premier braquages.

Flash-back

''Tu vois Pripiat tout est une question de temps'' M'expliqua le professeur au dessus de son schémas

''Oui...je comprend mieux prof''

Une brise d'air venue faire voltiger mes cheveux tendis que je contempler l'étrange dessin du professeur que je ne comprenez que très peut d'ailleurs, mais je ne pouvez lui dire, j'avais une cigarette à fumer et du temps à passer seul si jamais j'avais le malheurs de dire au professeur que je n'avais pas compris son schéma il m'aurais réexpliquer tout depuis le début et sa aurait pris quelques heures...des heures que je n'avais plus.
Quand je me redressa je remarqua la présence de monsieur Berlin, il me tender un sourire ravisant qui me donner quelques petits frissons dans le dos, des frissons fort agréable, le prof quand à lui avait redresser la tête et le regarder comme pour lui demander ce qu'il sepasser, ce que Berlin avait bien compris.

''Le bâtiment est grand'' Annonça presque tragiquement Berlin ''Et 60 ou 70 otages c'est compliquer à gérer, sans compter qu'une rebellions pourrez subvenir''

''Non'' Dit le professeur en se concentrant sur son schémas

Je regarda Berlin qui me regarder toujours de son doux regard de braise, je sorti ma cigarette comprenant que je n'étais définitivement pas prête à aller la fumer plus loin.

''Professeur'' Décidais-je de dire ''Je pense que Berlin n'as pas tord''

''Non...non...sa serrais suicidaire de leurs part dans ce genre de crise c'est l'instinct de survis qui est primordiale''

''Ou non'' Dit alors Berlin ce concentrant enfin sur le professeur''La peur, la peur et la terreur peuvent provoquer des réactions désespérais, comme se j'etait sous un preneur d'otages qui tiens unM16 entre les mains''

''Où est-ce que tu veux en venir?'' Demanda le professeur sans prêtait réellement attention à Berlin

''Il faut infiltrer quelqu'un'' Expliqua simplement Berlin

''Tu peut développer?'' Demandais-je intéresser par ce que Berlin disait

''Mais bien-sûr, le faux otages n'entrera pas en contact avec le reste du groupe à moins qu'il n'y est un problème mais si il n'y en a pas, il restera en incognito avec les civile, cette tache pourrais être accomplis par le singe apprivoiser d'un cirque itinérant'' Dit Berlin en ce mettant au coté du professeur

''Je...je ne sais pas'' Répondit le professeur

''Si n'importe qui en est capable...je pense que sa ne mange pas de pain prof'' Dis-je sens savoir que quelqu'un avais déjà était designer par le professeur et Berlin

''Écoute la voix de la raison'' Dit Berlin en me souriant à pleine dents

''Je suis la voix de la raison? Sa me
touche'' Dis-je faussement émue

''J'espère simplement que t'es cuisses entrerons tout de même dans la combinaison rouge que nous avons pris pour le
braquages'' Dit Berlin entrant dans mon jeux, ce qui m'étonna

''Je pense que sa devrait le faire, mais un conseil arrête de me chercher sinon je ne rentrerait plus das aucune combinaison'' Dis-je en faisant un clin d'œil à Berlin en partant

...
Bonjour, bonsoir mes petits Dalí 🔫
Voilà pour ce petit flashback qui je pense aura plus à certain d'entre vous 😊
La grosse bise 😘

Le casse du siécle -Parti 2-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant