-262-Izvinyayus

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''Je suis désoler Raquel'' Dit alors le Professeur

Je sentais mon cœur battre si fort sous ma poitrine, le Professeur n'était simplement pas le Professeur, il était un ami, un sauveur, sans lui que serais-je devenu aujourd'hui? Il nous avait tous sauver, tous, mais nous, nous étions bien trop occupé par le casse pour se soucier de lui, personne n'était là pour le sauver, personne n'avait jamais penser à sauver le Professeur alors que lui-même passer son temps à le faire pour nous, nous étions tous égoïstes.

''Je suis vraiment désoler Rio'' Continuait le Professeur nous déchirant le cœur un peut plus à chaque mot

Kopatchi était venu à mes coté, comme pour me soutenir dans ce moment difficile, mais personne n'aurait réussis à me soutenir, personne sauf lui, mais il n'était plus qu'un souvenir, un souvenir réconfortant, j'essayais de repenser au sourire du Professeur et de Berlin les soirs où ils discutez sur l'île, leurs rires qui me glisser dans l'oreille comme une douce mélodie, les chansons qu'ils chantées lorsque l'alcool avaient pris part 'une parti de leur cervelet, l'amour, la tendresse, les blagues, les disputes, les mots réconfortant.

''Je suis désoler Palerme''

Palerme était à mes coté, assis sur je ne sais quoi et je m'en foutez, je le regarder à mes coté plonger sa tête vers le sol, je ne l'avait encore jamais vu dans un tel état, Palerme jouer toujours les gros dur, Palerme voulez toujours ce faire voir comme étant un homme dur et dont rien ne pouvez l'atteindre, il était comme moi, il ne voulez rien laisser paraître, mais c'est ainsi qu'il se dévoiler le plus, les gens qui on souffert sont ceux qui se construise une personnalité pour la société, c'est un principe très simple, Palerme tout comme moi avions crée un personnage pour les autres, pour ne pas se dévoilée, pour ne plus souffrir des autres, ce personnage est en réalité ce que l'on aurait voulu être quand la merde nous tomber sur le dos et que l'on rester là, assis devant elle, la bouche grande ouverte près à avaler toute cette merde, avant ce braquages j'étais Lara Akimov, cette jeune femme qui supplier le monde d'arrêter de lui envoyer tant de merde, en entrant dans ce braquages et dans cette bande je suis devenu Pripiat, celle qui ne demande pas, mais qui ordonne à la merde de s'arrêter, mais au fond, Lara était toujours là, tout comme Palerme, tout comme chacun d'entre nous, nous nous pensions tous forts jusqu'à ce que la merde, qui fait intégral parti de la vie de n'importe qui, nous montre qu'elle est plus forte que nos petits personnages ridicules.
Je déposa ma main tremblante de peur et d'angoisse sur l'épaule de Palerme, il sursauta avant de me regarder droit dans les yeux et de se mordre la lèvre retenant sûrement quelques larmes, il déposa lentement sa main sur la mienne en hochant la tête.

''Je suis terriblement désolé Helsinki'' Dit à nouveaux le Professeur

Helsinki qui était accoudé à la fenêtre lança un regard à l'extérieur en poussant un soupire long.

''Izvinyayus Pripiat'' Dit alors le Professeur

Je tourna le regard pour la table est sentis mon cœur se briser en plusieurs morceaux à nouveaux, je sentais une vague de larme m'envahir, mais je me devais de les contenir, je n'étais plus ce personnage faible, Kopatchi posa alors sa main sur mon épaule à son tour, je sentez tout son corps derrière moi, une masse de muscle robuste qui ne demander qu'à me protéger, mais il était trop tard pour nous maintenant.

''Je suis désoler Manille, je suis désolé Bogotá, Sincèrement désolé Nairobi'' Dit le Professeur la voix si tremblante que ses paroles devenez presque inaudible ''Je suis vraiment désoler Stockholm, je suis désoler Denver''

Denver passa sa main sur son visage comme pour garder la tête froide, mais nous étions tous en train de dire adieu à la seule personne qui avait été là pour nous, comment pourrait-on rester fort et digne? Comment tout cela était possible?

''Je suis désoler Tokyo''

Au fond de moi, je ne pouvez m'arrêter de me dire que tout cela était de sa faute, toute cette merde était à cause d'elle, j'avais envie de me jeter sur elle, mais je n'en avais pas la moindre force, j'étais vide, vide de tout, je ne ressentez que de la peine.

''Je suis vraiment désolé'' Dit une dernière fois le Professeur

''Ça va, ça va'' Dit alors l'inspectrice au côté du Professeur ''Ne soyez pas si dur avec vous, il n'y a pas de grande bataille, sans grand adversaire, enfin bref'' Dit-elle en se concentrant à nouveaux sur nous ''Vous savait je resterais bien des heures à papoter, faire de la thérapie de groupe avec vous et me remémorais vos meilleurs coups, comme celui du furet lâcher dans les égout''

''Sophia'' Dis-je subitement attirant le regard de quelques amis ''Elle s'appelle Sophia''

J'entendis l'inspectrice rire un petit instant.

''Peu importe, c'était hilarant, mais nous avons t'en de chose à régler avant hein? Aller fin de la transmission les potos''

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Voilà aujourd'hui un chapitre un peut court désoler
La grosse bise 😘

Le casse du siécle -Parti 2-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant