-244- La bête et lâcher

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Les garçons arrivèrent vers nous après quelques minutes de stresse, ils nous regardèrent avant d'aller vers Nairobi.

''Comment tu vas?'' Demanda Denver à cette dernière

''J'ai craquer, un ou deux point de sutures'' Lui répondit-elle

''Où est-ce qu'il est?'' Lui demanda Denver près à tirer sur Gandia

''Je ne sais pas'' Lui répondit-elle la voix dans le coaltar

''Denver'' L'appela Palerme

''Sa y est on est là, on est dans le couloir espèce de fils de pute'' Lui répondit Denver

''Il est où l'autre?'' Demanda Gandia parlant de Rio

''Là, je suis là''

''Bien on vas procéder à la restitution de Nairobi'' Nous annonça Gandia

Nairobi et moi échangions un regard, j'avais peur que se soit le dernier qu'on se lancerais, mais nous n'avions plus d'autre choix que celui ci.
Denver se recula et venus vers nous.

''Et la voleuse de poule, tu veux dire quelques mots avant qu'on ouvre le balle?'' Demanda Gandia à Nairobi ''Non? Bien''

On se mis à marcher en direction de la droite comme nous l'avait si gentiment demander Gandia.
Et pour une raison étrange la seule chose à la qu'elle je put penser était que tout ceci était la faute de Tokyo, que toute cette merde c'était elle qui l'avais provoquer, elle est personne d'autre, je ne sais pas pourquoi je penser à sa, mais c'était la seule chose à la quelle je pouvez penser.
La tête de Nairobi fut retirer de la porte ce qui me coupa dans mes penser obsessionnel.

''Ils sont sur la droite?'' Demanda Gandia à Nairobi qui lui répondit par l'affirmatif

La porte s'ouvrit donc laissant sortir Gandia, arme coller contre la tempe de Nairobi comme il lui avait si gentiment demander.

''Tous contre le mur'' Nous ordonna t-il ''Et baissez vos armes, je vous direz bien de les jeter par terre, mais je me connais je sais que si je vous vois désarmez là sa me monterez à la tête, alors on vas essayer de se respecter mutuellement d'accord, baisser les''

On baissa donc doucement et timidement nos armes, ce que je détestez le plus au monde mais pour sauvez Nairobi j'étais capable de beaucoup.

''Je porte un gilet par balle, j'ai une arme contre sa tempe, alors je serrais vous je ne prendrez pas de risque'' Dit-il en reculant

Plus il reculer, plus nous avancions, arme dans ma main mais sans le viser, on arriva assez rapidement dans le hall d'entrée.

''Regarde là bas, y'a ton gros?'' Dit Gandia en regardant Helsinki' 'Salut, ça va le gros?''

''Tu rabaisse les autres parce que t'en à une petite entre les jambes ou c'est un autre de t'es dire malsain?'' Dis-je en soupirant

''Toi l'alcoolique, ferme là'' Me dit Gandia

''Aller relâche là maintenant'' Lui demanda Bogotá

''Quoi? Vous énerver pas, je vais la lâcher, tranquille'' Dit-il avant de tirer Nairobi avec lui un peut plus loin ''Mais avant, on vas danser tous les deux, comme au bal''

On n'ager dans le grand n'importe quoi, Bogotá à mes coté commencer à s'impatienter et je le comprenez tellement, c'était horrible de se dire que nous avions bientôt réussis à récupérer Nairobi mais que Gandia jouer avec nos nerfs.

Le casse du siécle -Parti 2-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant