-280- La mort

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Les balles retentissaient de plus belle, il faut dire que le stress nous gagnait de plus en plus, tout le monde c'était mis à couvert, évitant le plus de balles possible.

« Il faut qu'on soulève la plaque » Me dit Denver en hurlant

« On y va » Dis-je s'en attendre quelques minutes de plus

« Putain Pripiat » Hurla Denver en se levant à son tour

J'essayais de soulever la plaque toute seule, mais elle était bien plus lourde que moi, Denver mis beaucoup trop de temps à arriver, j'étais à découvert et mon sang tourner si rapidement dans mes veines.

« Professeur, qu'est ce qui se passe ? » Demanda alors la voix si familière de Marseille

« Denver » Cria le professeur

Denver avait eu le temps d'arriver jusqu'à moi, m'évitant plusieurs balles, Tokyo, quant à elle envoya une grenade ce qui allait nous donner quelque temps de répits, du moins c'est ce que j'avais pensé un court instant, mais les militaires étaient bien plus déterminer que nous, avant de partir encourant, je sentis une nouvelle balle traverser une parti de mon corps, la douleur fut immense.

« Denver » Dis-je sentant mes bras lâcher petit à petit la plaques qui nous protéger

Denver me donna un simple coup d'œil, voyant que je n'allais pas bien, il poussa de toutes ses forces la planche en fer, je ne pouvais plus la tenir, c'était à peine si je pouvais tenir debout.

« Tokyo, aide moi » Hurla alors Denver

Je la vis courir devant moi, mais le temps, c'était arrêter, je sentis mon corps toucher le sol, mes yeux était trouble, si trouble, je sentais ma respiration s'accélérait, je touchais simplement mon corps, délicatement, trop lentement, afin de trouver l'endroit où la balle m'avait touché. On entendit les rires de se fichu militaire, c'était un rire fou, mais je ne pouvais plus bouger, qu'est ce qui se passait bon sang. Je vis rapidement les cheveux de Denver passer devant mon visage, puis le visage de Tokyo, elle essayait de me parler, mais je n'entendais plus aucun son.

« Denver, qu'est ce qui se passe ? » Demandait une voix à peine audible

« Pripiat est touché »

« Où » Fut la seule chose que je fus en capacité de demandé à Tokyo

« Dans l'épaule, on doit l'emmener Denver »

« Qu'elle épaule, Tokyo qu'elle épaule » Demanda le Professeur

« La gauche » Dit-elle en essayant de calmer l'hémorragie

« Alors je vous les bien griller votre copine les cuistot »S'écria l'autre fou

Denver me prit alors dans ses bras et me souleva de toutes ses forces, les lumières du plafond semblaient diminuer petit à petit, tout comme la douleur.

« Non ! » Hurla la voix de Denver « Professeur, qu'est ce qu'on fait ? » Denver semblait tellement paniquer « Pripiat » Me dit ce dernier en me donnant de grandes claques

« Denver, j'ai froid » Dis-je sur un ton si faible

« On est coincé » Dit alors Tokyo dans son plus grand calme

« Bien, il faut que Denver emmène Pripiat, c'est compris ? Palerme rejoint Tokyo » Nous dirigeait le Professeur

« Professeur, elle va s'en sortir ? » Demanda alors l'homme à l'accent, l'homme au cheveu blond que je reconnus

Marseille, je sentais dans sa voix tellement de tristesse, je me sentais bien, si on exclu la balle qui me vidait de mon sang, Marseille avait continuer de penser à moi, Marseille continuait de s'inquiéter, comme il l'avait fait avant que l'on parte.

Flash-back

Nous étions tous en train de nous dire au revoir, nous ne savions pas qui reviendrait ou non, bien qu'on garder tous cette image que tout le monde reviendra sain et sauf, après avoir pris le Professeur dans mes bras, je me dirigeais vers Marseille, qui ne c'était pas fait beaucoup d'amis au sein du groupe.

« Hey » Dis-je en venant vers lui

« La plus belle » Dit-il en souriant redressant sa petite moustache

« Bon et bien, je crois qu'on est censé se dire au revoir » Dis-je en souriant

« C'est ce qu'on doit faire oui » Il baissa soudainement la tête « Pripiat, fait attention à toi, tu as encore le droit de changer d'avis tu sais »

« Merci Marseille, mais je pense que je suis prête »

Il déposa ses yeux dans les miens, quelques secondes, mais son regard était attendrissant, il semblait réellement inquiet, il y avait bien longtemps que quelqu'un ne s'était pas inquiété pour moi, après tout, je n'aimais pas la pitié, mais ce regard, ce regard donner beaucoup de charme à la vie que je menais depuis la mort de Berlin.

« Aller, vas » Dit-il sûrement un pincement au cœur

Je le saluais de la main, me tourner et commençais à marcher, toujours en pensant à se sourire qu'il m'avait tendu.

Fin Flash-back

« Marseille » Essayais-je de dire

« Pripiat, quoi ? Qu'est-ce que tu veux dire ? » Me demanda Denver soucieux

« Marseille »

« Oui, quoi Marseille ? »

« Sophia... Va bien » Dis-je faiblement

Je vis un sourire se dessiner sur le visage de Denver ainsi qu'une larme coulée sur sa joue, il transmit alors ma communication à Marseille que j'entendis presque s'effondrer en larmes. Je me sentais si mal, j'avais froid et tellement envie de dormir, de fermer les yeux, mais à chaque fois que mes yeux se fermaient, Denver me donner une claque, il se laissa tomber dans un couloir, les larmes toujours coulant le long de ses joues.

« Je suis désolé » Dis-je à Denver

« Arrête » Dit-il en s'effondrant encore plus

Autour de nous, les balles avaient repris leur vacarme infernal ? Alors, ça y est ? J'allais rejoindre Berlin ? Ma mère ? Tous ceux que j'avais connus un temps et qui avaient disparu ? 

C'était donc ça, mourir ? Ce sentiment étrange qui parcourait mon corps ? Denver était en larmes, il n'arrivait plus à avancer, lui aussi avait pris une balle quelques heures avant et devait terriblement souffrir, ne pouvant plus me porter. Je le regardais et ma vie semblait défiler devant moi, les mains de Berlin sur mon corps, les coups de Viktor résonné sur mes os, le sourire du Professeur devant mes yeux, les rires de Nairobi dans mes oreilles, les caresses de ma mère sur mes joues, les coups de pieds de Tolède dans mon ventre, la moustache de Marseille contre mes lèvres.


...

Bonjour, Bonsoir mes petits Dhali 

Je suis désoler je n'est pas réussis à faire fonctionner mon correcteur, donc l'histoire doit avoir beaucoup de fautes. 

La grosse bises   

Le casse du siécle -Parti 2-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant