-233- Des larmes au rires

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Une fois tous réunis nous étions parti en groupe de trois,cherchant désespérément Gandia. J'avais étais mise avec ceux que je désigner de plus faible du groupe, il y en avait toujours desplus faible moralement, physiquement, en bref des personnes à qui ondonner un travaille simple qui ne causerais pas de perte, bien entendu me retrouver dans cette parti de personne taper à grand coupsur mon ego, mais je savais que dans ma position actuelle je ne pouvez ni courir le 100 mètres ni me battre au corps à corps,j'avais donc était placer dans le groupe de Rio et Stockholm, autant dire que la dynamique de ce petit groupe n'étais pas la même que le groupe Helsinki, Tokyo, Denver qui avait tout de même un peut plus de gueule.
Nous entrions alors dans les toilettes du premier étages, Rio ouvris l'une des portes avec rapidité surveiller de près par Stockholm qui le fixer d'un drôle de regard, tendis que j'en ouvrez une autre mon doigt sur la gâchette, mais rien, personne.

''Personne'' Dit Rio en se tournant vers nous ''Il n'est pas là''Soupira Rio

''Il est nul part'' Soupirais-je

Mais je sentais bien que quelque chose préoccupé Stockholm en fixant autant Rio, je décida alors d'intervenir, comprenant quequelques chose n'aller pas.

''Qu'est ce qu'il t'arrive Stockholm?'' Demandais-je en soirant

''Je...rien'' Me répondit-elle en lâchant du regard Rio

''Non pas rien, je vois bien qu'il y a quelque chose et autant que sa ce finisse vite''

Elle pris une grande inspiration, je voyais que ses mains étaient presque tremblante, sûrement a cause de tout cette agitement et fixa à nouveau Rio sous mon regard.

''Rio'' L'interpella t-elle ''Pourquoi...pourquoi tu n'as pas de trace de torture?''

Je leva les yeux au ciel, comme si c'était le moment propice pour parler de ce genre de chose.

''Stockholm je suis pas sûr que se soit''

''Et tu n'est même pas maigre'' Me coupa Stockholm

Rio se tourna vers elle, un regard noir et pleins de colère, je sentais que ce groupe n'allait pas durée longtemps, à vrai direj'étais sûr que nous ne trouions jamais Gandia, encore plus avec se genre de question dont personne n'avais envie de parler pendant qu'un taret ce promener près à tous nous zigouiller comme des dindes au moment de noël.

''Et comment Gandia c'est libérer?'' Demanda t-elle en me regardant à mon tour ''Comment Pripiat c'est retrouver avec une balle alors que Gandia n'avais pas d'arme?''

''Qu'est ce que tu insinue?'' Demandais-je à Stockholm intriguer par la fin de sa phrase

''Pourquoi tu me demande sa? À moi?'' Dit Rio en marchant quelques pas

''Parce que tu a mentis'' Répondit-elle

''Comment sa?'' Demandais-je soudainement intriguer

''Parce que tu n'as pas raconter au professeur alors qu'il ta demander d'être précis''

''Et c'est quand vous voulez que vous me calculer les deux la''M'énervais-je ''Rio qu'est ce que tu n'as pas dit au professeur?''

''J'ai rien dis au professeur parce que toute cette merde m'empêche de dormir la nuit, parce que j'en est mare qu'on me pleine à longueurde journée, parce que je veux tout oublier, parce que j'avais aucune envie de décrire la façon dont j'ai pleurer de désespoir dans cecercueil et que tout ce que je voulez c'était retrouver ma chambre et serrez ma mère dans mes bras ma mère qui avais plus de nouvelle,qui ne savais pas ce qu'il m'arriver et qui n'aurais même pas eu une tombe sur la quelle ce recueillir, j'ai tellement pleurer que j'enavais des spasme à me cogner la tête contre le couvercle du cercueil et malgré la terre qui me tomber dans les yeux je continuer''
Ils se regardèrent tout les deux tendis que je comprenez petit àpetit la cruauté de ce qu'avais vécu Rio, mais la cruauté  faisait non seulement parti de la vie mais encore plus de la mienne alors oui je comprenait Rio, mais on arriver facilement a vivre avec tout sa, ils se prirent dans les bras sous mon regard hors de moi, comme si on avait le temps de ce faire des câlins, la prochaine étape c'était quoi? Une petite partouze sous les yeux de Gandia? Incroyable.
Je laissa échapper un soupire avant de marcher en direction de la porte.

Le casse du siécle -Parti 2-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant