-218- Les fantômes aimes hanter

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''Pripiat?'' M'appela ce dernier

''Suarez''

''Comment tu vas?''

''Bien, si ce n'est le troue dans ma jambe'' Dis-je en regardant ma jambe

''Comment ça?'' Demanda alors une deuxième voix qui était celle du professeur

''Bonjour professeur'' Dis-je essayant d'allonger ma jambe

''Pripiat qu'est ce qu'il c'est passer?'' Me demanda le professeur inquiet

''J'ai fait preuve d'inattention, tout ce qu'il c'est passer et entièrement de ma faute prof''

''Tout quoi Pripiat? Qu'est ce qu'il c'est passer?'' Me coupa le professeur

''Gandia à réussis à s'évader''

Je l'entendis frapper contre quelque chose, je soupira, j'étais loin d'être fière de ce qu'il c'était passé.

''Comment ça?'' Demanda le professeur au bord de la crise de nerf

''Le plus important n'est pas de savoir comment, mais comment on vas gérer
sa prof'' Dis-je en regardant la plait qui prenez l'air, rien de pire pour faire une infection

''Qui t'a tirer dessus?'' Demanda Suarez inquiet pour ma santé

''Gandia''

''Il est armée?'' Demanda aussitôt le prof ainsi que Marseille

''Il était, il ma désarmer, mais je n'avais qu'une seule balle, mais il dois avoir ce qu'il faut dans une de ses réserve, Gandia n'est pas un flic c'est un militaire'' Dis-je en sortant mon paquet de cigarette

''Pripiat tu n'est pas avec les autres? Tu est seule?'' Me demanda le professeur

''Ils sont parti chercher Gandia, je serais bien aller avec eux, seulement je ne peut pas marcher'' Dis-je en allumant ma cigarette

''Tu a eu des soin?'' Me demanda le prof

''J'en est pas besoin pour le moment, le plus important c'est que l'on retrouve Gandia, il a essayer de tuer Nairobi d'ailleurs, je vais aller prendre la place de Bogotá et rester avec elle''

''Non reste dans ton bureau, si tu ne peut pas marcher tu est une cible parfaite pour
Gandia'' Me repris Suarez

''Qu'il essaye de me tuer! Je lesaccueillerais avec plaisir vous inquiéter pas pour moi, j'en est vue des plus coriace, bon prof ce n'est pas que je m'ennuie en votre compagnie mais je dois aller gérer mes troupes''

''Bien, tiens moi au courant de la situation'' Me répondit ce dernier

''Ouais j'essayerais''

''Prend soin de toi Pripiat'' Me dit Suarez

Je ne répondis rien et déposa le téléphone sur son socle, prendre soin de moi, depuis que j'étais née je ne prenez pas soin de moi, ce n'était pas maintenant que ça aller arriver, je décida de fermer les yeux un petit moment avant d'essayer de rejoindre Nairobi à l'étages. Je pris une bouffée de cigarette tout en fermant les yeux, c'était un moment agréable, j'avais l'impression d'être une banquière, se prélassant sur son fauteuil tendis que les autres crevaient derrière la porte de son bureau.

''Tu ne devrais pas te reposer sur t'es
laurier'' Dit à nouveau cette voix masculine qui me hanter l'esprit ''Un bon chef ne se repose jamais''

''Tu en était un toi un bon chef?'' Répondis-je en riant

Je n'en revenez pas, j'étais suffisamment folle pour répondre à une voix qui se trouver dans ma tête, je soupira en reprenant une taffe.

''On sais tous deux que le problème n'est pas moi, mais plutôt toi''

''Moi, un problème pour qui?''

''Pour toi même Lara, tu sombre dans une folie très dérangeante'' Me dit cette voix accompagné d'un bruit de verre

''Il est préférable d'être fou que mort'' Dis-je en écrasant mon mégot dans le cendrier en cristal ''Tu devrais me laisser, je suis déjà assez folle pur qu'on rajoute la voix d'un mort''

''Ce ne sont que les fantôme de ton passé qui reviennent te hanter, comme ta jambe''

''Je me suis prise une balle, normal que la douleur revienne'' Dis-je en soupirant

''Elle ne te rappel donc rien cette douleur?''

''Si bien-sûr que si'' Dis-je en essayant de chasser mes souvenirs ''Mais ce n'est pas la même chose''

''Tu a eu une chance folle ce jour là'' Me dit cette voix presque avec héroïsme

''La chance de survivre et de marcher, voilà ce que j'ai gagner mais j'ai perdu plus que je n'est gagner''

''Pourquoi est-ce que tu gardes autant de choses en toi? À quoi ça te sert de garder tout cela?'' Me demanda la voix masculine qui sembler être tout près de moi

''A qui veux tu que je parle de tout ça? Et surtout qui ça intéresserait?'' Dis-je en riant jaune

''Moi, moi j'aurais aimer savoir tout sa''

''Tu le sais maintenant, alors arrête de me hanter tu veux''

''Je ne te hante pas, je ne suis pas réelle, je ne suis qu'une petite étincelle entre deux de tes neurones''

''Alors ferme là!'' Dis-je en me levant

La douleurs dans ma jambe me repris, mais je ne pouvez pas rester seul, cette voix me faisait tellement peur, je me faisait moi même peur, peut-être devrais-je consulter un psychiatre après tout cela, quelle bonne blague, après tout cela je ne pourrais rien faire de plus que de vivre, du moins essayer de vivre le plus longtemps possible.

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Voilà ce nouveau chapitre, bon je pense que vous avaient tous deviner qui était cette voix.
La grosse bise 😘

Le casse du siécle -Parti 2-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant