-284- L'entre du diable

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« On a sortir l'or » S'écria t-il soudain

Je ne pourrais jamais d'écrire ce que j'ai ressenti à ce moment, une larme glissa sur ma joue, nous étions en train de gagner, nos morts n'étaient pas en vain, Denver se jeta dans mes bras, je sentais son cœur battre fort sous sa poitrine, aussi fort qu'il battait sous le mien.

« Putain de merde » Dis-je laissant les larmes couler de plus belle sur mes joues « On a réussi »

La joie, voilà ce qui me comblait, je n'avais pas ressentis une telle chose depuis des mois, depuis... Berlin. Denver prit mon visage entre ses mains et déposa ses lèvres sur mon front, puis Monica me prit à son tour dans ses bras. Les autres ne tardèrent pas à nous rejoindre en chantant, la joie, l'euphorie, la puissance de ce moment, nous venions de réaliser l'impossible.

« Putain Palerme » Dis-je en le prenant à mon tour dans les bras « Espèce d'enfoirée »

Il laissa échapper un rire avant de lâcher sa prise autour de moi. Nous n'avions pas gagné la guerre, mais nous avions gagner la plus grosse bataille qu'il soit, nous étions en train de reprendre nos cartes en main, mais nous ne savions pas encore, qu'un serpent, c'était faufiler dans les tuyaux de la banque.

« Autre nouvelle, nous avons réussis à entrer de nouveau en contact avec le Professeur »

Un sourire ce format sur mes lèvres, tout se déroulait à merveille, mais seulement, lorsqu'un plan se déroule à la perfection, il y a forcément un instant, un tout petit instant ou tout dérape, mais nous étions encore trop bouleversé par les morts récentes pour en prendre connaissance. Alors que je me retrouvais seule, je repensais à tout ce que nous avions vécu, toutes ses épreuves, à Tokyo, qui nous avait quitter, qu'elle serrait la fin ? Qu'elle serait notre fin ? Je pensais à mon fils, il me restait un dernier combat à mener une fois sorti, d'ici j'allais tuer ce fils de pute de mes propres mains, je voulais voir la vie quitter ses yeux, je voulais sentir la douleur dans son regard, je voulais l'entendre hurler et voir son sang couler le long de mes poignets. Sans que je ne mis prépare une main se posa sur ma bouche, mon regard se perdit et je vis un homme avec un casque de militaires au-dessus de moi, j'essayais aussitôt de me débattre.

« Plus un geste » Cria un autre homme

« Bande de fils de putes » Laissais-je entendre

Ils étaient entrés, nous avions baissé nos gardes, nous avions cru, bien trop crus à notre réussite, désormais les hommes de Tamayo se trouver dans la banque, une arme se pointa sur mon front.

« Ne bouge pas, sinon je te tue » Dit-il enlevant sa main de ma bouche.

« Tue moi, vas-y tue moi fils de pute »

« C'est qu'elle est énervée la petite » Ria t-il « Soulever là »

J'essayais de me débattre autant que je le pouvais, mais rien n'y faisait, nous étions cernés, tous les espoirs tombèrent soudainement. Deux hommes me soulevèrent de mon lit de fortune sans faire attention à ma plaie encore fraîche, je me débâtais comme je le pouvais. Il descendit les marches et je vis mes amis, tous encercler à genoux, les larmes me montèrent aux yeux, je continuais de me débattre avant que l'un des deux hommes ne me donne un coup-de-poing dans le ventre me décrochant un cri de douleur.

« Pripiat » Hurla alors Denver « Bande d'enculer laissait là »

Mais les militaires n'en avaient que faire de nos douleurs, ils me jetèrent au sol, si bien que mon front percuta le sol, j'essayais de me relever à l'aide de mes mains, mais la douleur de cette fichue balle me faisait un mal de chien, si bien que je ne pus me relever.

« Lève-toi » Hurla alors l'un des militaires en pointant son arme de nouveau sur moi

« Tire si t'as des couilles » Dis-je en le fixant droit dans les yeux « Vas y tire, qu'est ce que diront les gens dehors de toi ? »

Il échangea un regard avec celui qui devait être son chef et s'approcha de moi, il attrapa mes cheveux et me tira en arrière, la douleur était affreuse, pire que tout, des milliers de picotement traverser mon crâne, une fois sur mes genoux, il pointa de nouveau son arme sur mon front. J'échangeais un regard avec Palerme en face de moi, il semblait être totalement perdu, comme nous tous, comment est-ce que l'on avait pu ne pas les voir entrées ?

« Aller vous faire foutre » Dis-je si énerver que mon sang bouillonnait sous ma peau

Celui qui tenait l'arme dans ses mains, sembler être à bout de mes injures, il prit de nouveau mes cheveux dans sa grande main et tira mon visage jusqu'à sa bouche.

« Écoute-moi bien petite salope, si tu l'ouvres encore, je te prends devant tout tes collègues. »

« Vas-y » Dis-je en riant presque « Si tu crois que je la fermerais pour autant, tu te trompes. »

« Tu veux essayer ? »

« Pripiat, ferme là » Dit alors Palerme en face de moi

Je devais sincèrement prendre sur moi pour ne pas ouvrir ma bouche. Tout ce que je savais, c'est que nous étions dans la pire de toutes les merdes. 

...

Bonjour, Bonsoir mes petits Dalhi

Bon, je dois vous parler, comme vous le savait (Ou pas d'ailleurs) je suis sur Wattpad depuis de nombreuses années, je n'est fait qu'écrire des Fanfiction, je sent que désormais ce n'est plus pour moi, je n'est plus la même envie d'écrire, c'est pourquoi, j'ai décider de sortir un nouveau livre, tirer cette fois de mon imagination. Alors bien entendu, je vais finir mes livres fanfiction en court, mais je voulais simplement prévenir les personnes qui me suives dans tout mes projets. 

l'histoire se déroulera au cœur de la mafia, dans un style un peux Dark romance, donc pour un publique avertis. Voilà j'espère que ça vous plaira, je vous embrasses  

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⏰ Dernière mise à jour : Jun 05 ⏰

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Le casse du siécle -Parti 2-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant