-256- Être ou ne plus être?

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Un silence venez de s'installer à la suite de la fin de ma phrase, Suarez me regarder avec de grand yeux, il ne devait pas s'attendre à de tel phrase venant de ma part, d'ailleurs personnes n'y aurait penser un jour, moi la première, Palerme et ses mots, m'avais comme fait un déclic puissant dans le crâne, je ne voulait pas devenir cette femme aigris que tous détesterais, je ne voulait pas redevenir la Pripiat qui avait tuer son maris, qui s'en voulez alors que la simple raison pour la qu'elle elle avait fait sa, était parce-que la police elle, n'avait rien fait, ce n'étais peut-être pas de sa faute finalement à cette Pripiat meurtrière, après tout, c'était lui ou elle? Je ne voulais pas non plus redevenir cette Pripiat qui avait perdu celui qui l'avais délivrais durant un temps des emprise du monstre qu'était Viktor, non sa, je ne voulait pas redevenir cette femme qui penser que partir loin de tout la sauverez d'un monde de cruauté, c'était comme se cacher des monstres qui nous courez après, on peut se cacher des années durant, mais on fini toujours par nous retrouver, je ne voulez même pas redevenir cette Pripiat qui vivait que par l'amour d'un homme destiner à mourir, tragique destin, ironie du sort, je ne voulez pas vivre pour Suarez, comme je l'avais fait avec Berlin, vivre et exister seulement pour quelqu'un, je me souviens de cette Pripiat qui voulez mourir à la fin d'un braquages et donner l'argent à une association caritative contre le cancer, de cette femme qui après le casse de sa vie, après avoir donner l'argent à cette œuvre qui aurait écrit dans le journal ''Une femme lègue toute sa fortune pour la lutte contre le cancer de la thyroïde'' ou alors ''Une enfant de Tchernobyl prend la paroles'' Car la parole je l'aurais prise, démantelais ouvertement une société qui se cache de tout, qui cache le plus gros drame des années 80 de toute la populations et qui laisse mourir son peuple par peur des représailles, démanteler cette société quand vous êtes rechercher par la police vous est fatale, mais je m'en foutez, car le soir de cette interview que l'on m'aurait donner dans une vielle usine délabrer ou un vieux bâtiment près à s'écrouler, ce soir là, je serrait aller sur danser sur la tombe de Viktor, bouteille de Vodka et extasie dans la main, avant d'aller m'affaler sur la tombe de ma mère et de prendre la dose, celle qui serrait définitivement la dernière, car cette fois personne ne me sauverais, personne ne vas dans les cimetière, je serrais rester allonger près de celle qui ma donner la vie et attendrez simplement qu'on me la reprenne, on aurait parler de la braqueuse Pripiat morte prématurément ou peut-être que j'aurais eu mon nom avec un ta de vieux croûtons, la petite case du bas ''Décès de la semaine'' Mes anciens collègues de braquages aurait peut-être était un peut toucher, mais personne ne tenez à moi réellement, moi même je ne tenez pas à moi... puis il y a eu Berlin, Berlin qui était devenue ma raison de vivre, ma raison de rester sur cette terre, en quelques jours il était devenue ma raison de vivre, c'est lui qui me pousser à respirer chaque matin, mais lorsque la vie d'un autre et plus importante que la sienne... ce n'est jamais bon, surtout quand celui ci décide de vous laisser, tragiquement, dans la mort, cette Pripiat n'avais pas encore compris que le bonheur venez à celui qui voulez le saisir... durant des années j'ai fonctionnais différemment et finalement je me rend compte que je fonctionner pour les autres mais jamais pour moi, je ne voulais plus être l'une de ses Pripiat barbante qui pense que la mort et un allier.
Je voulais devenir cette Pripiat que Suarez avait peut-être sue changer? Ou peut-être que ce n'étais pas lui mais Tolède... ce petit qui avait finalement besoin de moi... avoir besoin de moi, voilà une chose que je ne m'attendait pas, car jusqu'à présent tous ceux que j'ai aimer savais vivre sans moi, même Berlin dans ses derniers savait encore faire des choses sans moi, mais Tolède? Comment pourrait-il changer ses couches? Se faire un biberon tout seul? Il n'est pas ma raison de vivre, mais je suis sa raison de vivre.
Je comprenez enfin que le bonheur pouvez exister qu'il faillait simplement l'inviter à entrer dans ma vie et peut-être que Suarez en faisait parti de se bonheur et puis comme dirait ma mère ''Si c'est pas sa, qui est sa, on en changera''.

''Suarez, je sais que tout sa... c'est nouveau pour moi et que je vais pas être très alaise au début, mais je veux qu'on est un futur toi et moi, pas de mariage mais peut-être que tu pourrais devenir le père enfin le beau père de Tolède, je peut pas te promettre d'autre enfant... je suis pas une usine à bébé les deux que j'ai eu son pas franchement réussis'' Dis-je en souriant repensant à Fabiola et repensant à Tolède et ses crise de nerf ''Mais je peut te promettre qu'on sortira d'ici et qu'on serra plein comme des ballon de baudruche et aussi qu'on vivra une vie passionnante à trois''

Suarez n'oser plus parler, il était réellement abasourdie parce-que je venez de dire. Et dans ce silence qui me prenez subitement la gorge, je sentis une chaleur reposant stagner autour de moi, une douce chaleur au parfum doux.

''Tu n'as plus besoin de moi maintenant'' Dit cette voix qui m'avait agacer durant tout le braquages

Vrai voix? Fantôme? Ou simplement folie de l'être humain? Peut importe je me sentais comme libéré d'un poids qui m'avais peser durant des mois.

''Je... ne sais pas quoi te dire'' Me répondit Suarez en souriant

''Ta rien à dire'' Lui dis-je en souriant à mon tour ''C'est sincère maintenant tu fait ce que tu veux de ce que je viens de te dire''

''Si je suis revenue ici, ce n'est pas pour rien, ce n'est pas pour les beau yeux d'Arturo'' Ria t-il ''C'est pour toi''

Pour moi, pour moi, pour moi, pour moi, voilà enfin une phrase agréable qui tourner en rond dans ma tête, une phrase envoûtante et délicieusement bonne.

''Alors... après tout sa, tu viendra aussi pour moi?'' Demandais-je comme une enfant

''J'espère bien, je n'est plus de boulot, plus d'appartement, je me suis mis toute ma famille à dos'' Me dit-il en souriant pesant ses mains sur ma hanche ''Les criminels dans ma famille ce n'est pas vraiment quelques chose que l'on aimes, alors j'ai du faire un choix et je pense que j'ai fait le bon choix''

On se pris alors tous les deux dans nos bras un peut de romance? Ça ne fait pas de mal n'est-ce pas?

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
J'étais vraiment super inspirer pour se petite chapitre! J'espère qu'il vous aura un peut toucher ☺️
La grosse bise 😘

Le casse du siécle -Parti 2-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant