-249 - Les adieux de Delhi

213 15 19
                                    

Palerme était arriver avec Bogotá et Helsinki, j'avais donc lâcher Kopatchi en le poussant brutalement, ici j'étais la chef et je ne devait pas me montrez faible, c'était une règle que je compter bien suivre.

''Bon par où est-ce qu'on commence?'' Me demanda Bogotá tenant dans ses mains le fameux marteaux piqueurs

Je sorti un feutre rouge de ma poche et le tendis à Palerme, c'était lui qui avait étudier toute la banque, il devait savoir mieux que n'importe qui où se trouver les câbles, il le pris en me remerciant poliment avant de tracer une grande croix rouge sur le mur gris et terne, tendis que Bogotá s'échauffer, Palerme me rendis le stylo que je referma en souriant.

''Ici'' Dis-je à Bogotá

''Allons y'' Dit-il en baissant sa visière

Bogotá démarra le marteaux piquer et le colla contre le mur, le bruit était si fort que l'on pouvez le ressentir dans nos poitrine et dans ce moment particulier, je ne pouvez penser qu'à Gandia, se vidant de son sang, entendant un bruit fort contre les parois de son mur, je l'imaginais se jeter sur son téléphone et puis plus rien... c'était si jouissif!

''Stop'' Ordonna soudainement Palerme

Bogotá recula de quelques pas, le front couvert de sueur, Palerme regarda alors dans le troue qui avait était former et l'on pu voir un câble noir remonter vers le plafond, Helsinki munit d'une pince coupant ne mis pas beaucoup de temps avant de le sectionner en deux, Gandia était définitivement à notre merci, plus rien désormais ne pourrez le sortir de cette merde, dans la quelle il c'était mis lui même.

''Voilà une bonne chose de faite'' Dis-je souriant de notre début de victoire ''Mais ce n'est pas fini, en route'' Dis-je aux autres

Nous avions toujours du pain sur la planche, nous ne pouvions oublier que les flics essayer de rentrée dans la banque et pour repousser ses loups loin de nous, notre berger le professeur, avait une idée qui aller en faire frissonner plus d'un, les loups rentrerez dans la grotte la queue entre les jambes.
On descendis en bas, tout avait était près, je regarda Séoul qui était assise sur le sol et regarder en fasse d'elle le coffre en fer.

''Aller Séoul'' Dis-je en me penchant vers
elle ''On dois faire ce qui dois faire ce qui dois être fait'' Lui dis-je en lui tendant la main

Elle me regarda de ses yeux larmoyant et attrapa ma main, je l'aida donc à se mettre sur ses deux pieds.

''Bien' Lui dis-je en hochent la tête positivement ''Helsinki, Bogotá en place je vous pris'' Leurs dis-je en me dirigeant vers le coffre en fer qui était dans l'entrée

Nairobi était agenouiller près du coffre en fer désormais celer par de grosse visse grise, lorsqu'elle me vis elle se releva.

''Sa aurait pu être moi'' Me dit-elle d'une voix tremblante

''Sauf que ce n'est pas le cas'' Lui dis-je avec un sourire très discret

Bien que j'essayais de paraître forte, c'était si dur de me dire qu'à l'intérieur de ce coffre ce trouver... le corps de Delhi, un corps désormais vider de toute âme, vider de tout sentiments.
Je pris le stylo en prenant un grand calme et dé-bouchonna ce dernier, je m'agenouillai et commença à graver, Delhi en grosse lettre rouge suivis d'une inscription symbolique ''12/ 03/2000''suivis par ''2019'' je ne savait pus qu'elle jour nous étions, être enfermer m'avais déboussoler quelque peut, j'hésitai avant d'écrire autre chose sur ce coffre mais je me devait, de lui dire encore et encore, « извините», Désoler, «с любовью братишка припять», Avec tout mon amour petit frère,Pripiat, je remarqua assez rapidement beaucoup d'autre écriture, celle de mes camarades, tous le monde avait pris le temps de noter un petit mort, une petite phrase pour Delhi ''À notre Russe préférer, désoler Pripiat'' Avait graver Montréal ''À notre Van Gogh'' Avait écrit Denver, faisant référence à son oreille en moins, tous avaient penser à lui, je posa la main sur ce qui servait finalement de... cercueil... à mon frère et resta un long moment sans bouger, je ne savais pas vraiment pourquoi soudainement je mettais arrêter, pourquoi est-ce que je me sentez si mal. Tous les autres me regarder ce demandant si j'allais réussir à me relever, réussir à affronter tous cela et à laisser le corps de Delhi.

''Pripiat'' Dit le professeur détournant mon intention '' Ils arrivent ''

''Bien professeur'' Dis-je avant de regarder une dernière fois le cercueil de mon frère

Je me leva et descendis sur mon visage mon masque de Dalí, tous comme les autres l'avais baisser.

''Aller, on ouvrent les portes'' Dis-je en partant près des autres

Les portes s'ouvrit alors dans un calme effroyable, Helsinki à mes coté sorti un harmonica de sa poche, je le regarda ne comprenant pas, il me fit un clin d'œil complice avant de souffler dans ce dernier, je ne put que reconnaître notre musique, celle de notre révolution, Bella Ciao, l'air était dramatique, quoi de mieux?
Les gardes du corps du gouverneur avaient étaient désigner pour porter Delhi, il prirent alors le cercueil et le relevaient, Séoul se mis à nouveau à pleurer je posa ma main sur son épaule, nous devions être fort! Les portes se refermer et plus elle se faisait petite, plus je sentez des frissons parcourir mon corps, jamais plus je ne reverrais... мой маленький брат.
Je me dirigea vers la fenêtre et regarda par celle ci enlevant mon masque qui tomba au sol, je déposa ma main sur ma vitre fraîche et la vision de se corps qui partez loin de moi, de ce dernier être de ma famille me trancha presque la gorge, je sentis à nouveau les larmes couler, des mains se posèrent sur mes épaules, celle de tous mes camarades, Helsinki, Nairobi, Denver, Stockholm, Séoul, Montréal, Palerme, Tokyo, Rio, Bogotá, Kopatchi, tous, tous étaient là pour moi tendis que les larmes dévaliser mes joues, je pris Séoul dans mes bras, la serrant fort contre ma poitrine. Ce fut long, une longue marche funèbre jusqu'au policier.
Mais ce n'était pas tout, je devait prendre la parole, moi, la seule qui connaissait Delhi plus que tout.

''Pripiat, si tu ne te sens pas''

''Je vais y arriver Professeur'' Dis-je en prenant le microphone que me tendez Helsinki

Les portes de la banque s'ouvrirent à nouveaux, c'était risquer, mais le professeur avait tout prévue, je n'étais pas seule, j'étais encercler par des Dalí de fortune, des otages qui n'avais rien demander à personnes pour se retrouver ici, je posa mon masque sur ma tête, bien que tout cela n'avais aucun sens.
Nous sortions alors sous le regard du groupe de fan qui était réunis devant la banque depuis des jours et des jours, je pris alors le microphone.

''Bonjour'' Fut le premier mot que je ne pu dire ''Je m'appelle Lara Akimov'' Dis-je en enlevant mon masque ''Mais vous me connaissait plus sous le nom de Pripiat, Ce que vous venez de voir... était une marche funèbre, la marche funèbre de mon petit frère Delhi''

Des hurlement contre la police ce firent entendre, des pleures aussi, nous étions des symbole ne l'oublions pas.

''Il y a de sa quelques heures votre police à ordonner l'exécution de chacun d'entre nous'' Dis-je les larmes au yeux ''Ils on réussis leurs coups avec l'un d'entre nous, un gamin de dix-neuf ans! Un gamin qui avait encore toute la vie devant lui, alors oui je sais ce que vous vous dites tous, c'était un braqueurs, mais... avant d'être un braqueurs il était mon petit frère, l'enfant d'une femme, un être humain qui ne demandais qu'à vivre!'' Dis-je en marquant une pause ''La police Espagnol viens de lancer une guerre entre nous et eux, et cette dernière n'est pas prête d'être fini''Dis-je en regardant tous ses gens qui croyais si fort en nous ''Una Matina'' Commençais-je à chanter, sur un ton loin d'être triste mais sur un ton qui se voulez être révoltant

Tous les Dalí dehors se mirent eux aussi à chanter, je leva le bras vers le ciel en continuant de chanter, avant que l'on ne se diriges sous les champs de nos admirateur à l'intérieur de la banque.
Ceci était le premier coup d'état que nous avions lancer.

...
Bonjour, bonsoir mes petits Dalí 🔫
J'ai décider d'ajouter un discourt, pour la simple et bonne raison, que personnellement je trouve que ce passage a clairement était bâcler, je suis désoler j'aime beaucoup cette série, voir même plus encore que beaucoup mais je m'attendez à quelques chose de plus fort et de plus ''travailler'' bon après je suis personne pour juger mais je m'attendez à quelques chose de plus fort, Nairobi c'était quand même un personnage important de la saga et je trouve qu'ils on un peut fait vite (Comme la dernière saison de GOT) genre ils avaient les bonnes idées mais ils les ont pas exploiter jusqu'au bout, bref voilà mon avis
La grosse bise 😘

Le casse du siécle -Parti 2-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant