-224-Les souvenirs de Pripiat avant dernière Part

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Flash-back

Le soleil était déjà lever depuis un long moment, je le savais car je l'avais vue ce coucher puis ce lever, je ne pouvez plus dormir, je ne savais plus comment faire, je ne savais même plus comment faire pour vivre sans Léonid, je détester Viktor, plus que tout au monde,cette nuit j'avais pris l'oreille et je l'avais lever, prête à le tuer, prêt à l'étouffer mais je ne pouvez pas, pas parce que j'aurais des remords de le tuer, mais parce que je ne voulez pas détruire ma vie en tuant quelqu'un, tuer et une chose qui nous change à jamais, un meurtre est quelques chose que l'on ne peut pas oublier, je ne pouvez pas le tuer, je m'était résolu, je m'était coucher et avais fixer le plafond blanc couvert de tache d'eau qui provenez des tuiles du toit qui était dans un sale état, voilà ce que je faisait de mes nuits, je regarder le plafond, je revoyez son visage et je me voyais avec lui, heureuse, pour la dernière fois.
Viktor c'était lever très tôt, il était parti en fermant la porte à clés derrière lui, prenant les clés avec lui au cas ou j'essayerais de sortir et de partir à nouveau, je n'étais pas sorti depuis deux semaines, cela faisait déjà deux semaines... deux longues semaines que j'étais enfermer ici à compter les heures, les minutes, avant d'être délivrais par la mort, un moment que j'attendais avec une folle impatiente mais Viktor c'était assurer que se moment n'arriverais pas d'aussitôt, il avais retirer les couteaux, les médicaments, la drogue, il avais tout enfermer dans un placard qu'il garder uniquement pour lui, je ne servais qu'à très peut de chose, lui procurer du plaisir, un repas et du linge propre, j'étais devenu une bonne à tout faire voilà tout, mais dès qu'il poser ses yeux sur moi, je ne voyais que les yeux d'un enfoirée.
J'étais assise sur une de nos chaise casser et regarder les oiseau s'envoler dans le ciel derrière la vitre salis, il m'avais tout de même laisser un paquet de cigarette, mon seule moyen de détendre légèrement mon cerveau, je regarder le loin jusqu'à ce qu'une étrange nausée ne me prenne je me leva et courus aussi vite que je le pouvez au toilette avant de laisser s'échapper mon petit déjeuner, jusqu'à ce que je n'entende la porte s'ouvrir, je me redressa et tira la chasse d'eau.

''Lara'' Appela Viktor

''Je suis là'' Dis-je d'une voix faible

''Qu'est ce que tu fait?'' Dit-il en refermant la porte derrière lui à clés

''Je...je me sentez pas très bien'' Avouais-je

''Tant pis, qu'est ce que tu a préparer pour ce soir?'' Me demandat-il en s'asseyant sur une chaise

J'essayais ma bouche avec le revers de ma manche avant de sortir de la salle de bain et de me dirigeas vers la cuisinière.
Les jours passer et s'accompagner de nausée, d'étourdissement, ce que Viktor avait tout de même remarquer, il faillais bien que sa prisonnière reste en vie, il m'avais laisser sortir, mais avec lui, pour aller chez le médecin, un vielle homme qui avait suivis beaucoup de membre de ma famille.

''Alors qu'est ce qui vous arrive
Lara?'' Demanda la médecin en s'asseyant sur sa chaise de bureau en me regardant ne prêtant aucune attention à Viktor qui se trouver à mes cotés

''J'ai des nausée et des mots de tête avec quelques étourdissement'' Dis-je en soupirant ''J'ai peur que ce soit...la maladie que ma mère à eu''

''Oh...je vois on vas te faire faire une prise de sang, mais ne t'inquiète pas tu a eu un long suivis lors de ton enfance, ta mère aussi'' Dit-il en souriant ''Je comprend que tu soit inquiète après tout ta famille à connu un drame, je me souviens de ton grand père, qu'elle
homme'' Dit-il en posant ses lunettes sur le bureau '' Je ne me souviens plus du nombre de Roentgens qu'il avais pris mais c'était énorme à l'époque j'étais encore étudiant en médecine et loin de penser que je verrais autant de chose, des hommes passer des rires au hurlement de douleurs, perdant leur peaux jusqu'à ce qu'il ne reste que les nerfs et les muscles sur leurs os, j'ai vue des femmes accoucher d'horrible chose, des enfants sans bras ni pieds, puis d'autre avec trois jambes, des attarder mentales par centaine, des gens virant à la folie et des cancer par centaine de milliers...j'en est vue des choses horrible mais ton grand père et l'un des hommes qui ma le plus marquer malgré la douleurs, malgré tous ce qu'il ressentez il n'avais de cesse de répéter ''Nous avons fait ce qu'il faillait'' Jusqu'au dernier moment, jusqu'à la dernière minutes il ne faisait que répéter cela''

Il y eu un long silence dans la pièce avant que le médecin ne se lève.

''Enfin! Fait ta prise de sang je ne voudrais pas qu'il t'arrive quelque chose de similaire''

Le lendemain la prise de sang avait était effectuer, Viktor m'avais ramener chez le médecin, je n'avais pas peur, de quoi est-ce que j'aurais pu avoir peur, de mourir? Au contraire, ce qui me faisait peur c'était de souffrir à nouveau, encore et encore, je n'en pouvez plus je ne faisait que de souffrir..

''Bien'' Dit le médecin en faisant tomber un document sur la table''Ce n'est pas si grave, bien au contraire, parfois l'irréalisable ce produit, vous avais déjà entendu parler de cette jeune femme...hum comment s'appeler elle? Je ne sais plus, enfin peut importe, elle avais perdu son bébé à la suite de vous savais quoi et tout le monde penser y compris moi qu'elle n'aurais plus d'enfant, plus jamais d'enfant... pourtant elle est aujourd'hui mère d'un petit garçon en pleine forme...la vie est parfois étrange n'est-ce pas?''

''Ou voulez vous en venir?'' Demanda Viktor qui s'impatienter

''Vous aller devenir parents, toute mes félicitations bien que vous allez avoir un suivis très pousser avec tout les antécédent de votre famille''

''Attendez'' Coupa Viktor les yeux rouge de colère ''Vous savais depuis combien de temps?''

''Je dirais trois mois ou peut-être même quatre'' Répondit le médecin en souriant

Fin Flash-back

''Attend ne me dit pas que cette enfoirée à toucher à ton bébé?'' S'écria presque Denver

''C'est...plus compliquer que ce que l'on peut penser Denver...Tu sais quand j'ai appris que j'étais enceinte de Tolède je n'est eu qu'une seule peur qu'il naisse comme ma fille...ma petite Fabiola'' Dis-je en laissant les larmes couler sur mes joues ''Elle était affreuse, on aurait dit une bête de foire...mon dieu...elle me faisait peur Denver, tu te rend compte de qu'elle horrible personne j'étais? C'était la fille de l'homme que j'aimais, de Léonid mais elle me faisait peur, j'avais peur de la toucher, de la serrez contre moi...Viktor lui...passer son temps à hurler lorsqu'elle pleurer,une nuit elle c'est lever...et'' Je ne pouvez plus parler je revoyezla scène, la terrible scène

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Voilà l'avant dernier chapitre sur la vie de Pripiat !
La grosse bise 😘

Le casse du siécle -Parti 2-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant