Denver ne se fit pas prier pour sortir de la pièce, les affaires était les affaires, je pressai le bouton en prenant le microphone dans mes mains pour pouvoir répondre au téléphone.
''Professeur?'' Demandais-je ''Professeur?'' Continuais-je de dire attendant une réponse
''Pripiat?'' M'appela la voix de Suarez, ce qui m'étonna
''Suarez? Bordel où est le professeur?''
''Je suis ici Pripiat'' Répondit ce dernier
J'avais clairement du mal à tout comprendre, qu'est ce que Suarez foutez avec le prof? À tout moment, il aurait pu se faire griller par ses collègues et réduire notre plan au néant.
''Bordel prof vous êtes sado! Ou vous aimez vous attirez des problèmes!'' Dis-je en rouspétant
''Ne t'inquiète pas Pripiat nous avons fait tout notre possible pour ne pas que les autres ne nous vois, on est comme des fantômes dans un cimetière, tout le monde sait que nous sommes là, mais on préfère ne pas y croire car se serrez trop facile'' Me répondit Suarez
''Pourquoi vous m'appelez?'' Demandais-je ne voulant pas tourner autour du pot
''C'est ton fils'' Répondit Suarez
''Quoi mon fils?'' Dis-je soudainement inquiète
''On sait qui est venue lui rendre visite, j'ai enquêter seul sur le profil'' M'expliqua rapidement Suarez
''Et comment as- tu pu travailler sur son profil? On ne sait rien de ce mec!'' Dis-je en soupirant
''J'ai des données que tu n'as pas...je sais que...que ce que je vais te dire vas te paraître complètement fou et impossible mais l'homme en question c'est ton père''
Mon père? Comment est-ce que c'était possible? Cette enfoirée avait été tuée dans un règlement de compte, c'était même le professeur qui me l'avais dit de vive voix lors du premier braquage.
''Écoute Pripiat'' Repris le professeur ''Ton père n'est pas mort...du moins il sort de l'ombre, c'était un coup monté''
''Un coup monté?'' Demandais-je tombant de haut
''Oui...mes source n'étais pas bonne...loin de là...''
''Ton père à mis sa mort en scène'' Coupa alors Suarez ''Il a créé toute cette fausse histoire, il s'est fait passer pour mort, il a quitter le pays, on a appris son existence il y a deux mois tout au plus, il voulez simplement effacer toute les dette de prison et tout ce qui sens suivez''
''Qu'elle enfoirée'' Dis-je en tombant sur ma chaise, me frottant le visage pour essayer de me rendre compte de la réalité
''Je suis vraiment désoler Pripiat'' Me dit le professeur pour s'excuser de m'avoir donné une mauvaise indication
''Putain j'en reviens pas cette enfoirée est vivant'' Dis-je n'en revenant pas
''Ouais...et ce n'est pas tout Pripiat'' Annonça à nouveau Suarez ''C'est ton frère qui la dénoncer''
''Il le savait!'' Dis-je énerver
Sans plus attendre je déposa violemment le téléphone sur la table et quitta la pièce, laissant le professeur et Suarez s'inquiéter de ce qui aller se produire dans la banque, je passa devant les otages en sortant mon armes, tous me regarder bien étonné de me voir ainsi, j'entendis Palerme rire à pleine dents, Montréal qui était en train de surveiller les otages ce leva aussitôt et venue vers moi presque en courant.
''Pripiat qu'est ce qui t'arrive?'' Me demanda la toute jeune
''Ou il est ce tas de fumier!'' Dis-je en hurlant dans la banque
''Pripiat parle moins fort'' Me demanda Montréal inquiète
''T'es ou enculer!'' Continuais-je de hurler
Je commença à monter les marches et vis alors que Bogotá avait quitté Nairobi pour venir voir ce qu'il m'arriver, en bas Tokyo et Stockholm regarder la scène presque avec effroi.
''Aller viens mon petit cochon!'' Dis-je en chargeant mon arme
''Pripiat s'il te plaît calme toi'' Me demanda Montréal
Mais je n'étais plus avec eux, je n'étais plus dans la fabrique, la colère c'était totalement emparer de moi, personne, si ce n'est Berlin n'aurais pu faire quelque chose pour stopper la brutalité qui me ronger soudainement de l'intérieur.
''Pripiat tu veux pas plutôt qu'on discute toute les deux?'' Me demandais Montréal en montant les marches aussi vite que moi ''Aller s'il te plaît on vas pas s'énerver comme ça''
Arriver en haut des marches Bogotá me fit face, je le regarda un sourire presque vicieux au lèvres.
''Qu'est ce qui t'arrive?'' Me demanda t-il froidement
''Pousse toi tout de suite Bogotá'' Dis-je énerver
Mais Bogotá n'était clairement pas décidé à ce pousser, l'impatience faisant parti de l'énervement je sorti mon arme et le pointa avec.
''Pousse toi ou sinon je te ferais un autre troue du cl et sa risque de pas être très jolie'' Dis-je en gardant un regard froid et fermer
Bogotá se poussa, non par peur de mon arme mais parce qu'il savait que rien ne m'arrêterais, les armes ne font peur à personne en réalité, ce n'est qu'un bout de métal, ce qui fait peur c'est son utilisateur, si un adolescent boutonneux, premier de la classe élevée dans un arrondissement chic arrondissement, te pointe avec un flingue, tu restera devant celui là, pourquoi? Parce que sa ne fait peur à personnes, par contre si une femme au bord du meurtre te pointe avec une arme tu te pousse, car tu sais qu'elle est prête à tout, l'arme n'est que l'objet d'une peur, rien de plus.
Montréal soupira fortement, j'entendis Tokyo et Stockholm venir vers nous.''Ou il est?'' Demandais-je en ouvrant une première porte
''Pripiat arrête!'' Hurla Tokyo
''Qu'est c qui se passe?'' Demanda Rio en arrivant vers nous en courant
''Je sais pas Pripiat est en train de péter un plomb'' Lui répondit Tokyo aussitôt
Mais je n'avais que faire de tout ce que l'on raconter derrière moi, j'ouvrais les portes avec la ferme intention de trouver Delhi, il savait que notre père était vivant, il ne m'avait rien dit, comment est-ce que j'avais pu être naïve au point de lui accorder ne serait-ce qu'un peu de confiance? Peut-être même que c'était lui qui avait dit à mon père que j 'avais eu un enfant, qui d'autres?
J'ouvris une nouvelle porte, cette fois ci ce fut une totale réussite, du moins jusqu'à ce que je ne me rende compte comme tous les autres de ce qui était en train de se passer dans cette pièce, Delhi n'était pas seul, il n'était d'ailleurs vêtu d'aucun vêtements, tout comme Séoul, les deux tourtereau se rendis compte de notre présence et furent tous deux aussitôt gêner.
Bogotá profita de se moment d'absence pour attraper mon bras,s il le serra fort et attrapa l'arme que je tenez avant de me coller les main dans le dos en les serrant suffisamment forte pour ne pas que je puisse bouger, mais je venais d'être si déçu de Séoul que je ne pouvez me débattre.''Lâche moi Bogotá!'' Hurlais-je tout de même
''Non, c'est fini maintenant!'' Me répondit-il en hurlant
Je vis alors Denver arriver d'une autre pièce, il ne comprenait pas ce qui venait de ce passer mais son regard n'était pas si surpris que cela, tout le monde s'attendait à ce qu'un drame se produise avec une Pripiat ronger par le chagrin.
...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
JOYEUX NOËL!!!!!!!!!!🎁🎄
J'espère que vous avait passer un bon réveillon! Je vous souhaite le plus beau des jours de noël!!!
La grosse bise 😘
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Le casse du siécle -Parti 2-
FanfictionSuite du premier livre, aller lire la première parti