-266- La chimie des corps

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Le coup partit tout seul, je ne l'avais pas vraiment contrôler mais Gandia se souviendra sûrement de ce coup en pleine figure qui lui dit saigner du nez.

''Mais t'es malade!'' Hurla Denver

''Il aller avoir un gosses putain'' Dis-je pour la première fois laissant les larmes couler sur mes joues ''Tu sais ce que c'est de grandir avec le manque d'un parents Denver, on le sait tout les deux, tout ça a cause de ce fils de putes!'' Dis-je en lui redonnant un coup probablement aussi fort que le premier

''Vous voulez que j'aille lui déposer des fleurs ?'' Nous provoquait encore une fois Gandia ''A l'heure qu'il est votre copain et sûrement encore tiède''

''Bogotá, vas y'' Dis-je sans l'avis des autres

''Pripiat'' Me demanda alors Palerme d'une petite voix ''C'est important pour toi?'' Me demanda t-il

''Plus important que de sortir d'ici''

''Elle a raison'' Dit alors Bogotá ''On dois le faire pour pouvoir se regarder tout les matins dans la glace''

''Alors il est tout à toi'' Répondit Palerme en se poussant

Il était important pour la mémoire de mon petit frère de faire ceci mais aussi pour tout ce que Gandia nous avait fait subire, les insultes, les coups de putes, en bref tout ce qui constituait Gandia et qui de mieux que Bogotá, notre Hulc personnel pour lui flanquer la raclée de sa vie?
Gandia s'étira lorsque Bogotá le relâcha, il laissa échapper des cries de buffles avant de se mettre en position près au combat qui allait se dérouler devant nos yeux.

''Profitons de cette petites pause avant que vos gonzesses reviennent'' Annonça Gandia

''Aller frappe moi'' Dit Bogotá en poussant Gandia en arrière

Gandia, comme un bon chien fidèle s'exécuta et flanqua alors deux droite à Bogotá qui ne bougea pas d'un poile, comme si il n'avais rien sentis, c'était d'ailleurs peut-être le cas, peut-être que Bogotá n'était finalement qu'un bloc de béton, il attrapa soudainement Gandia par la nuque et colla son front contre le siens.
Rio me regarda simplement les yeux remplis appréhension, Rio était encore jeune et avant de nous connaître sa vie se résumer à rester dans sa chambre, il ne devait pas beaucoup connaître ce genre de bagarre, celle sans arme, à l'amiable, mais pour ce qui était de Denver et moi, nous connaissions bien, nous en étions des pratiquant il fut un temps puis nous avions eu des enfants, c'était fou ce que ces petits êtres pouvaient nous changer, bien-sûr parfois j'avais envie d'user de mes poings, de casser un nez, de sentir l'odeur du sang, d'avoir les main collante à cause de ce liquide rouge constitué de globule rouge, mais j'avais un fils, je ne pouvez plus me permettre de tel chose en dehors des braquages, comme dirait le professeur je doit lui donner une éducation pour qu'il ne vive pas ce que j'ai vécu.
Rio détourna le regard et parti un peu plus loin nous laissant seuls face au combat.

''Tu sait pourquoi je vais te butter?'' Demanda alors Bogotá de sa voix rauque et masculine

''Parce-que j'ai peloter le cul de t'as meuf?'' Rétorqua ce dernier

''Non, parce que tu est un fasciste'' Dit-il avant de lui coller des coup aussi forts les uns que les autres

''C'est qu'on est près à prendre les armes pour défendre son pays, y'a toujours un connard pour te traiter de fasciste'' Répondit Gandia avant de se jeter sur Bogotá

''Ouvrez la porte'' Nous demanda alors Lisbonne de l'extérieur

''Vas y Denver'' Dis-je à ce dernier qui partit rapidement l'ouvrir

Lisbonne et les autres entrèrent alors que le combat devenait de plus en plus sérieux, le visage de Lisbonne se décomposait alors en une fraction de secondes lorsque ses beaux yeux se posèrent sur les deux ours qui se battaient en duel.

''Qu'est ce que vous foutez?'' Me demanda t-elle une fois à ma hauteur

''On règle nos comptes''

''Quoi? Fermez la porte! Vite!'' Hurla-t-elle ''Aller tous en ligne! Dépêchez vous! Putain arrêter!''

Elle se dirigea vers les garçons mais je la stoppa en attrapant son bras.

''Arrête, laisse les''

''Pripiat c'est quoi ce bordel'' Me demanda t-elle bien énervé de la situation

''On se casse le cul à faire des miracles et vous vous taper dessus!'' Nous demanda Stockholm

''Vous savait ce que ça fait de se retrouver dans la même pièce que l'assassin de votre frère'' Dis-je arrogamment

''Ton frère? Faudrait déjà que tu te rappelle comment tu le traiter'' Me dit alors Tokyo en passant à côté de moi brusquement

''C'est toi qui viens me parler de comment je traite les gens?'' Dis-je en laissant échapper un rire ''On est tous ici pour sauvez ton mec, parce que tu la laisser, pauvre conne, rien de tout ça ne serrait arriver si tu n'avait pas fait de la merde comme toujours, alors peut-être que j'en est fait de la merde avec lui, mais moi au moins je fait trinquer les autres pour mes conneries''

Un silence s'était installé autour de moi, nous n'entendions que les rugissement des deux fauves.

''T'inquiète pas Gandia sortira vivant, j'ai pas envie de mettre nos vies en danger comme tu l'as fait'' Dis-je en passant à coté d'elle à mon tour ''Bogotá
stop'' Dis-je sur un ton de leader

Il releva la tête vers moi, tenant le cou de Gandia entre ses mains boudinées et taché de sang.

''C'est bon, tu lui a donner ce qui fallait, le tuer ne ramènerais pas Delhi et encore moins notre fierté, aller lâche le''

Bogotá laissait le doute l'emporter quelques secondes, regardant à plusieurs reprises, mon visage et celui de Gandia comme s' il prenait une décision décisive et fini par le relâcher le poussant en avant.
Gandia me dévisagea du regard avant qu'il ne me fasse un clin d'œil, je lui flanqua alors un coup de pied dans le ventre ce qui le fit rire avant que je ne parte un peu seule dans les toilettes.
Je passais de l'eau sur mon visage pour essayer de redescendre ma température corporelle qui était montée à cause de ce nouvel incident.
J'entendis la porte derrière moi claquer violemment et remarqua que Kopatchi m'avait suivi.
On échangea un regard assez long, avant qu'il ne me plaque contre le lavabo, posant ses lèvres douces sur les miennes, sa main se plaqua avec une certaine forces sur ma poitrine, avant qu'il ne descende la fermeture éclaire de ma combinaison rouge, il pris me suréleva avant de me laisser assise sur le lavabo, enlevant sa combinaison, mes mains passe dans ses cheveux tendis que les siennes caresser mon corps me provoquant quelques frissons l'on d'être désagréable.
La tension était devenu un exquis fruit défendu 

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalì 🔫
Voilà pour ce nouveau chapitre en esperant qu'il vous a plus !
La grosse bise ❤️

Le casse du siécle -Parti 2-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant