-269- Survivre

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Alors que les autres m'avaient rejoint aussi vite qu'il le pouvez, Arturo qui de toute évidence n'avait rien à faire ici, tirer encore et encore sans regarder ou il visait, nous étions dans une belle merde ! Les balles résonné dans la banque, nous poursuivons les otages dans toute la banque, ne sachant malheureusement pas qui serrait le prochain sur la lise d'Arturo. Je n'eus pas le temps de tirer qu'une balle effleura mon visage, je me couchai alors au sol pour éviter cette dernière et entendis Denver au loin.

'' Pripiat ça va ?'' Hurla t-il

Je touche ma joue comprenant que la balle ne m'avait pas toucher, ce qui est facinant chez l'être humain c'est que la survie fait entièrement parti de leurs gêne, mourir ne me déranger pas, alors bien-sur c'était égoiste de ma part, car beaucop de gens tenez moi et en particulier mon fils, mais la mort était dans mes gêne, j'avais froler la mort plus de fois qu'il n'en faut pour ne plus avoir peur d'lele, au contraire, elle était parfois la bien venu, je me suprener parfois à l'attendre au beau milieu de la nuit, la seule chose qui me faisait tenir, était mon fils, mais maintenant ? Il n'était plus que dans mes penser, je ne l'entendez plus pleurer ce qui me reveiller de mes penser nocturne, il n'était plus là pour me résonner, j'avais fait le choix de vivre, pour lui, mais il n'était plus là, et à ce moment préis, dans cette banque remplis d'inconnue, je n'exculer pas le fait de mourir, peut-être même avais-je accepter de venir ici dans le but de mourir ? La mort ne me térrifier pas, elle était la délivrance que je chercher depuis la mort de Berlin, mais à ce moment, quand une balle vous siffle l'oreille votre instinct de survie prend le dessus, à cette instant précis je repenser au crash d'avion de 1972, j'avais vu le film ''Les survivants'' et je m'étais dis, à quoi bon ce donner au canibalisme lorsque la vie et ce qu'elle est ? Pourquoi avait-il pris une décision qu'ils regretteraient toutes leurs putains de vie ? Pour ce lever à 7 h du matin, boire un café froid avec une cigarette qui leur donnerait la mort dans quelques années ? Pour finir à la retraite ? C'était simple, l'instinct de survie ! Il était plus grand que nos pensées, on pense souvent à réagir de telle ou telle manière lorsque le pire nous arrive, mais ce n'est pas notre conscient qui réagis en réalité, ce n'est pas notre raison, sinon qui aurait était capable de manger ses compagnons ? Ou encore de fuir les camps de concentration en 1942 sachant que si les gardes les attrapaient leurs châtiments serrait bien plus le terrible qu leurs pensers ne pouvez l'imaginer ? C'était l'instinct de survie, celui que nos ancêtres nous avait léger, celui qui m'avais fait esquiver cette balle, les pires décisions, ne sont jamais prise par vous, elles sont prise par votre instinct de survie.

'' On est coincé, c'est un cul de sac '' Hurla subitement Arturo

C'était la phase que nous attendions tous, je lança un regard à Denver et me redressa en sortant de ma planque, je tirer sans même me rendre compte du mouvement de mes doigts sur la gachette.

'' Je suis imortel'' Hurla alors Arturo tandis que nous reprenions le pouvoir.

Mais ce fut de courte durée, les otages partir alors sans que l'un de nous ne les voit. Helsinki poussa un rugissement, tandis que je soupirais, reprenant mon souffle maintenant coupé.

''Il vont vers le quai de chargement'' Anonça Manille

'' Tokyo, Denver, Pripiat, Manille suivez les'' Nous ordonna
Lisbonne ''Palerme avec moi, on passe de l'autre côté, Helinski monte au dernier étage et préviens nous s'il y a le moindre mouvement de ton côté, arme munissions, nombre d'hommes, tu nous dit tout, s'ils arrivent, je veux le savoir'' Fini t-elle par dire

Je la regarder quelques instants et comprenez pourquoi elle était monté si haut dans les échelons de la gendarmerie, mais Tokyo me fit sortir de mes pensers en me triant le bras vers elle.
On marcha alors avec attention, on ne devait pas se faire prendre par les otages.
On entendit des bruits de pas, on s'arrêta, tous coller contre le mur derrière nous, on entendez le son de nos respirations, il faut dire que nous étions en état de stress, la situation nous avait glisser des mains et nous étions maintenant face à ce que l'on redouter tous, l'instinc de survie des otages.
Des bruits de balles se firent entendre, puis plus rien, Tokyo nous fit sortir de notre planque afin d'avancer quelques pas.

'' À terre, baisser vous '' Nous ordonna t-elle

Juste en face de nous, Lisbonne et Palerme nous regardait.

'' Ok on y va ? '' Leurs demanda Tokyo

''Il faut viser les gilets '' Ajouta Lisbonne

Denver me fixa quelques instants avant que je ne lui fasse un clin d'œil qui se voulez des plus rassurant, on se mit alors à tirer nous aussi dans le vide, avant qu'il ne s'enferme, ce que l'on compris en entendant la grosse porte se fermer derrière eux.

''Merde putain '' Dis-je en me laissant quelque peu tomber au sol

''On est bien niquer là'' Dit alors Palerme un peut plus loin

'' Ils ont tout notre arsenal
bordel'' Dis-je en regardant les autres

''On sait Pripiat, pas besoin de nous le rappeler'' Soupira Palerme

''On y va'' Dit alors Lisbonne sur un ton calme

On prit une grande inspiration, avant de pénétrer calment et dans le plus grand des silence dans le grand couloir sombre.

''Viser es fenêtre'' Hurla alors Palerme nous faisant tous sursauté

Je tirais autant que le pouvez, je ne sentez plus mes doigts à cause des tremblements de l'arme.

'' Reculer vite !'' Hurla alors Tokyo

On se replia à temps, Arturo sorti en tirant à vision perdu avant de se replier à son tour.

'' Munition ?'' Nous demanda Lisbonne

'' 2 chargeurs'' Annonça Denver

'' Quoi ? C'est tout ? '' Demanda Tokyo

'' C'est suffisent '' Dis-je chargent mon arme

''Non on ne pourra pas couvrir le couloir avec seulement deux chargeur'' Me dit Palerme en me fusillant du regard

'' Ta d'autres idées ? On n'a pas le choix alors oui, ça le ferra ''

'' Bordel Pripiat''

'' Stopp !'' Nous arrêta Tokyo ''On a cas faire sauter une charge''

'' Si on le fait, c'est le bâtiment entier qui va s'écrouler'' Lui répondit Lisbonne '' Ce qu'il nous fat, c'est des grenarde''

'' Et où on va les trouver ?'' Demanda Denver

Je vis alors Tokyo à mes côtés changer de visage, comme si une illumination du saint esprit venez de lui traverser le cerveau.

'' Je sais où il y en a pleins, Palerme fait diversion, ils ne doivent pas se douter qu'on est allé chercher des pétards'' Dit-elle avant de faire glisser l'un de ses chargeurs sur le sol jusqu'à Lisbonne

'' Bonne chance Tokyo'' Dit alors Palerme en la regardant partir

...
Bonjour, bonsoir mes petit Dalhi
Comme toujours ce chapitre vous plaît !
Sinon je pense que vous avez remarqué mais j'ai regardé le cercle des neiges, mon dieu! Je vous le conseille à 100% en espérant que vous allez pas trop chialer 😂 perso j'ai eu envie de vomir plusieurs fois et j'ai pleuré aussi plusieurs fois, vraiment regarder le !
Bref la grosse bise mes chéries

Le casse du siécle -Parti 2-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant