' Pripiat non'' Dit Manille en attrapant mon bras
Denver se mit à tirer poursuivis par moi, le temps sembler presque s'arrêter, je tirer tout comme Denver quand Arturo ce souvenu qu'il avait un lance-flammes entre ses mains, je tirai alors Denver au sol qui s'écroula sur moi et pour la première fois, je sentis le morceau de métal que Manille avait remarqué dans mon dos.
Manille tira alors Denver vers elle, tandis que les flammes passées au-dessus de moi, je roula alors sur le côté t'en bien que mal.'' Denver par pitié, tu nous met tous en danger'' Dit alors manille à ce dernier ''Tokyo ne va pas tarder à venir avec des munissions''
'' Désoler, pardon'' Disait-il à Manille
'' Un peut d'aide serrez le bienvenu'' Dis-je essayant de me relever
'' Pripiat, t'es devenu folle'' Dit ce dernier en attrapant ma main que je tends désespérément
'' C'est parce que tu prends des décisions idiotes que je sus obliger de faire ça Denver'' Dis-je en me dirigeant rapidement vers le mur.
'' Pripiat, il faut que tu retournes avec les autres'' Me dit Manille
'' Certainement pas'' Dis-je en comptabilisant le nombre de balles qu'il me restait ''Je vais pas vous abandonner maintenant''
'' Ils ne surveillent plus les fenêtre'' Ajouta Palerme ''On ne peut pas attendre plus longtemps, aller, on y va maintenant''
On parti alors arme en main, tous ensemble, cherchant du regard le moindre otages, Manille et Lisbonne restaient derrière couvrant nos arrière, quand un bruit métallique se fit entendre, on vis alors une sorte de voiturette venir vers nous, il ne fut as beaucoup de tend pour que l'on comprenne qu'il avait en leur possession une sorte de tank, bien moins gros, mais comparer à nos petites armes et le pet de balles qu'ils nous restaient, on savaient pertinemment que nous ne ferrions pas le poids.
'' Reculer'' Hurla Palerme
Tandis que l'engin s'approchait de nous, on regagna notre place tandis que les balles continuées de faire un raffut pas possible.
''C'est le dernier chargeur'' Annonça Palerme
C'était donc la fin ? Je ne pensais plus à rien, toutes les secondes, je me redressais pour tirer jusqu'à ce que la fatalité arrive, plus aucune balle, je me laissai tomber au sol sous le regard de Manille qui comprenez ce qui venez de m'arriver.
'' Arturo'' Hurla alors une voix
'' Monica ?'' Demanda alors Denver d'une voix tremblante
'' Monica'' Confirma Arturo, sûrement en train de lui parler ''Doucement''
'' Bouger pas ou alors je lui tire dessus'' Ajouta Monica ''À genoux''
'' Ne fait pas ça, tu risques de le regretter'' Lui dit alors Arturo '' Baisse ton arme s'il te plaît '' Tu ne vad pas me tirer dessus, hein ? Tu va pas tirer sur le père de ton enfant, et tu sais comment je le sais, parce que quand tout sera fini, je serrais le seul à pouvoir viellez sur lui, le seul dont il n'aura pas pas honte''
'' Allonge toi au sol'' Lui ordonna Monica
'' Tu ne comprend pas ? Tu n'as pas encore pigé, ce n'est pas toi ça, tu ne fait que jouer un rôle et jamais, jamais tu ne serras l'une des leurs ''
Il n’eut le temps de continuer son charabia qu'une balle retentissait dans le couloir, en l'entendis crier de douleur avant qu'une deuxième balle ne ressurgisse, puis plus rien, le silence.
Durant quelques secondes, tout le monde se regardait, on se posait toute la même question, avait-elle tiré sur Arturo ? L'avait-elle tué ? C’est lorsqu'on entendit un grand bruit suivi de pleur que nous confirmions alors ce qu'il vient de se passer, Monica avait tirer sur Arturo.
Je fut la première à me lever et entrer dans le couloir, la première chose que je vit était Arturo allongé au sol et derrière lui Monica, agenouiller à quelques centimètre en train de verser toutes les larmes de sont corps, dans ma tête ce fut rapidement le bouillis entre la scène qui se trouver face à moi et ce qui m'était arriver avec Viktor, je resta quelques instant sans bouger.'' Monica'' Hurla alors Denver courant vers elle me poussant quelque peu
'' Il faut lui faire un massage cardiaque '' Parvenu t-elle à dire
Je repris esprit et me dirigeai vers Arturo dans un calme fou, je m’agenouillai et commençai le massage cardiaque après avoir confirmé qu'il n’avait plus de pouls, mes mains tacher de mon propre sang se mêler à celui d'Arturo qui avait été touché près de la jugulaire.
'' Il faut un défibrillateur'' Cria Stockholm
'' Pripiat laisse nous faire avec ton dos'' Me demanda alors Palerme
Je ne sentais presque plus la douleur, je n'en revenais pas, Monica, notre Monica venez de tuer Arturo Roman ?
Je me levai aussi doucement que j'étais venu et venu vers Monica qui en vue de sa respiration commencer une belle crise d'angoisse.'' Monica, calme toi'' Dis-je en la prenant dans mes bras
'' Je dois l'aider'' Dit-elle en me repoussant
Finalement, je devenais spectatrice de tout ce qui se passer, Denver injecte une dose d’adrénaline tendis que je rester debout sans bouger, sans dire un mot, c'était un trop gros choque.
'' Ça y est j'ai un pous'' Annonça Monica
'' Il a une balle dans le cœur aussi, il ne va pas survivre'' Annonça Palerme
'' Il faut l'envoyer l'hôpital Palerme.'' S'empressa de dire Stockholm les yeux remplis de larme '' Il faut le sauver et vite''
Je regardais Monica qui était complètement dévastée, je sentis la main de Lisbonne passer dans mon dos, ce qui le temps de quelques secondes me fit revenir sur terre, on échangea toute deux un regard.
'' Ça va'' Dis-je comprenant aussitôt la question qui lui brûlait les lèvres
'' Il était mort il y a une minute'' Ajoute Palerme
'' Non, non'' Suppliait presque Monica
''Des qu'on ne lui balanceras plus d'air dans les poumons, ce serra la fin''
'' Palerme'' Dis-je m'approchant d'eux ''Laisse moi faire, Monica''
''Non, non'' Continuait-elle à dire
'' Respire un grand coup, on va le sortir d'accord''
'' Depuis quand tu prends des décisions toi ?'' Me demanda alors Palerme
'' Depuis que je suis née mon petit Palerme''
Il leva les yeux au ciel avant de tourner talons, tendis que la crise de Stockholm prenez de l’ampleur, je savais pertinemment ce qu'elle ressentez, le cœur qui bas vite à tel point que l'on sens les battements de celui ci jusque dans notre cou, le souffle froid qui nous glace les narine, l'estomac qui se sert t'en que l'envie de vomir n'est plus qu'une partie de vous, les mains qui tremble à n'en plus rien tenir, tout ce qu'elle vivait, je l'avait vécu et je savais que les étapes à venir aller être très compliquer à vivre pour elle, encore plus dans un casse qui se dirigeais vers le casse de la fin, le casse qui aurait notre satané peau.
...
Bonjour, bonsoir mes petits Dalhi !
Nous revoilà avec un nouveau chapitre
La grosse bise
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Le casse du siécle -Parti 2-
FanfictionSuite du premier livre, aller lire la première parti