Le casse du siécle -Parti 2-

-251- Récupérer Tokyo

''Qu'est ce qui ce passe?'' Me demanda Nairobi en entrant dans la pièce

''Arturo'' Dis-je en regardant ce dernier toujours nue ''Tu peut expliquer à Nairobi ce qu'il ce passe?''

''Quoi... là?'' Me demanda t-il la voix tremblante

''Bah bien-sûr maintenant, tu penser quand même pas qu'on aller se réunir autour d'un café pour en discuter?''

Tous les otages tournèrent alors le regard vers lui, des regard de haines, à tel point qu'Arturo était devenu au yeux des otages la pire personne de se braquages, ce qui était tous de même assez comique.

''Je... j'ai ab... d'Amanda'' Bafouilla t-il

''Tu as? Parfon Arturo, mais Nairobi tu a entendu?'' Lui demandais-je

''Non pas un mot'' Me dit-elle en secouant la tête négativement

''C'est bien ce que je penser, Arturo tu aurais l'obligeance de répondre plus fort à ma question?''

''j'ai abuser d'Amanda, voilà! C'est ce que vous vouliez savoir!'' S'écria t-il ''Vous le savaient maintenant, mais vous pouvez penser ce que vous voulez je suis en pleine état de choque! Ma femme à eu un enfant avec un débile mentale!''

''Si tu parle de Stockholm, sache qu'elle n'est pas et n'as jamais était ta femme quand à Denver, si tu a le malheurs de le traiter à nouveau de débile mentale je te couperez le petit tuyaux qui pend entre t'es cuisse grasse et poilus!''

''Attend, attend'' Dit Nairobi ''Il a quoi?''

''Dans ce que j'ai compris il a droguer Amanda et a... abuser d'elle'' Dis-je en regardant Amanda qui c'était recroqueviller sur elle même

''Sale fils de pute'' Dit Nairobi en avançant soudainement

''Non, Nairobi'' Dis-je ne attrapant sa
manche ''Amène juste Amanda dans mon bureau, je vais m'occuper de lui''

Elle hésita, Nairobi était une grande fan des droit des femmes, je comprenez sa rage, moi même j'avais une rage énorme contre Arturo mais malheureusement nous devions essayer de reser calme.

''Pripiat'' M'appela la voix de Palerme dans le talkie-walkie ''Bogotá est en train de défoncer la porte''

''Bien, je laisse ma place à Montréal,
j'arrive'' Dis-je en coupant mon talkie-walkie

Je me leva tandis qu'Amanda venez vers Nairobi, je regard tous les autres avant de leur faire un salut de la main.

''Montréal vas venir s'occuper de vous le temps que je ne m'occupe de ce qu'il me regarde, quand à vous j'espère que vous aller êtres aussi sage qu'avec moi'' Dis-je en partant suivis par Amanda et Nairobi

Je devait être là lorsque Gandia sortirez de sa planque, je devait être là non seulement pour ma fierté mais aussi pour mon frère.
Montréal qui était en train de se reposer pris aussitôt la route vers la bibliothèque et tendis qu'à l'intérieur de la banque nous étions en train de marquer la fin de la balade de Gandia, dehors, le professeur venez de lancer le troisième missile, il avait envoyer Marseille sur les lieus de l'enterrement de Rio et avait enregistrer les aveux d'un homme qui avait tout vue, qui contredisez alors les dire de la police, Bam! Les Dalí frapper à grand coup,ils avaient voulus jouer? Alors ils ne devaient plus avoir peur de perdre, car lorsque l'on joue avec les Dalí on dois se préparer à perdre, c'était comme le jeux des trônes, quand on joue au jeux des trônes, soit ont gagne, soit ont perd, c'était le même principe et ceux dans la vie de tout les jours.
Le bruit de la perceuse ou ce qui y ressembler sur le fer, ce faisait entendre de plus en plus, j'étais à coté d'eux, lorsque j'arrivais le petit troue que nous avaient demander de faire le professeur était opérationnel, Palerme y inséra alors une caméra.

''Putain!'' S'écria t-il ''Fait chier Gandia est mort, Bogotá!''

''Quoi mort'' Dis-je en venant vers lui ''Tu en est sûr Palerme

''Aussi sûr que deux et deux font Quatre, Bogotá défonce moi cette porte'' Dit-il en me poussant en arrière

''Putain fait chier'' Dit Denver en frappant contre le mur

''Calme toi'' Lui dis-je sûr qu'il y avait encore une petite chance

La porte fini alors par s'ouvrir, on entra tous à l'intérieur, Palerme le premier bien entendu, il était remonter comme une horloge.

''Même enchaîner à un putain de mur tu arrive à le buté'' Dit-il en regardant le corps de Gandia ''Vérifie qu'il a pouls se con'' Me demanda t-il

''Au fait j'ai un pouls aussi'' Fini par dire
Tokyo ''Ah pardon on s'en fou de ma gueule c'est lui qui t'intéresse''

''Tokyo c'est pas le moment'' Dis-je en m'abaissant pour prendre le pouls de
Gandia ''Crois moi, il y a pire en se moment même''

''Ah c'est sûr qu'être enfermer avec ce fou n'est pas aussi important que vos petit problème... bon dans ce cas vous en faites pas il a un pouls Gandia, pas au top de sa forme mais il en a un''

''C'est vrai il est vivant'' Dis-je ressentant des pulsation

''Alors vous me détacher?'' Demanda Tokyo remonter elle aussi comme une horloge

''Ouais excuse nous'' Dis-je en me redressant

Rio fut le premier à partir vers elle, prenant une pince coupante pour la détacher de ses chaînes, elle le pris dans ses bras avant qu'elle ne lui pose une question que l'on entendis tous.

''Comment vont les autres?'' Demanda t-elle soudainement

Et à ce moment je me souvenue d'une chose, si moi je n'avais pas était une grande sœur parfaite pour Delhi, Tokyo elle l'avait était, durant tout le temps que l'on avait passer au monastère Tokyo avait pris soin de Delhi, ils avaient passaient beaucoup de temps à boire des bière ensemble, finalement ils se ressembler un peut tous les deux... mais désormais il faillait lui annoncer.

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Et voilà pour ce chapitre, j'ai décider de créé une complicité entre Tokyo et Delhi pour que sa ne chamboule pas toute la suite de l'histoire
La grosse bise 😘