Le casse du siécle -Parti 2-

-203- La Bestialité, Rivalité

Dans un braquages, il y a peut de temps pour les vague à l'âme, je devais me remettre tout de suite sur mes pieds comme une brebis qui venais de naître, je devais pouvoir marcher et courir aussitôt avant que le renard ne viennent me croquer, ses ce que l'on appel la lois de la nature, les bovins, caprins et toutes ses bêtes, on très exactement 10 minutes pour apprendre à marcher, pourquoi? Parce qu'aussitôt née ils doivent suivre le troupeau, au cas ou un animal viendrais les pourchasser, celui qui ne sais pas marcher meurt, je devais suivre cette instinct animalier et m relever maintenant.
De ma main droite je chassa les larmes qui dégouliner le long de ma joue, de mon autre main je fit appuie sur le sol affin de me lever, je pris une grande inspiration et rangea au plus profond de moi mes émotions.
Je me dirigea ensuite vers le téléphone rouge et décrocha ce dernier, le professeur avait attendu tout ce temps derrière le combiner se posant sûrement milles questions.

''Professeur?'' Demandais-je la voix encore nouer par mes sanglot

''Pripiat que c'est il passer?'' Me demanda aussitôt le professeur

''Rien, c'est Palerme qui a...péter un plomb, tout est sous contrôle'' Le rassurais-je ''Que me vos cette appel?'' Demandais-je en m'asseyant sur le bord du bureau

''J'ai des nouvelles de Suarez''

''Déjà?'' M'étonnais-je

''Oui, Raquel est en vie, tu entend Pripiat? Raquel est en vie'' Hurler presque le professeur

''Super'' Dis-je avec un large sourire au
lèvres ''On continue le plan comme prévue?''

''Oui, surtout vous ne changer rien d'accord? Je vais trouver un moyen de faire sortir Lisbonne au plus vite''

Je pouvez entendre à travers le téléphone le sourire du professeur, je l'imaginant même sourire à pleine dents comme jamais il n'avais souris, bien qu'il ne souriez pas souvent.
Mais une question m'effleura le cerveau, mon fils, je ne prenez jamais de ses nouvelles, pourtant il me manquer cruellement, ses cries, ses sourires, ses mains, ses si petites mains...tout me manquer chez lui, j'en arriver presque à regretter les longues nuits blanches passer à ses cotés.

''Dit moi prof, tu a des nouvelles de
Tolède?'' Demandais-je avec sérieux

''Je...non, je n'est pas eu le temps de prendre des nouvelles, mais la dernière fois que j'ai eu le gouvernant il ma dit qu'il se porter bien, j'imagine que c'est toujours d'actualité''

''Toujours d'actualité? Prof on ne parle pas d'une nouvelle lois mais d'un enfant, mon enfant!'' Dis-je presque énerver

''Je sais Pripiat, je vais essayer de les contacter''

''Merci'' Dis-je avant de raccrocher le téléphone

Je soupira, bien déçut de ne pas avoir de nouvelles de mon fils et parti vers un miroir qui était accrocher un mur, je me regarda dans, ma peau était assez pâle malgré l'énervement qui avais provoquer un vent de chaleur en moi, mes cheveux tomber sur mes épaules, comme à leurs habitude, ils n'étaient pas coiffer et ceux depuis longtemps, je n'étais pas le genre de nana à me pomponne toute la journée, faire attention mon image, bien au contraire, je m'en foutez bien de ce que pouvez penser les gens, mais j'avais tout de même une sale tête, je pris alors mes cheveux dans ma main gauche, sorti à l'aide de mes dents mon chouchou qui était autour de mon poignet droit et fit de mes cheveux une queue de cheval, je fit un sourire dans la glace comme pour me donner bonne mine et plus d'assurance, avant de sortir du bureau, tout étai désormais calme, un silence peser autour de nous, un silence agréable.

''Hey voilà ma Russe préférais!'' S'écria Palerme me faisant sursauter ''Je tiens a te féliciter, depuis que tu est au pouvoir il n'y a eu que trois pétages de plomb venant de ta part, c'est vraiment bien tu sais''

''Ferme là'' Soupirais-je sans faire attention à ce qu'il venait de dire

''Oh ne le prend pas mal, j'ai beaucoup aimer le petit coup de tête que tu a donner à Rio, c'était...hum comment dire, gigantesque''

''Je t'es rappeler une coupe du monde non? Monsieur l'italien'' Dis-je me moquant de lui comme je le pouvez

''Ah Pripiat, tu sais, je n'aurais pas était...hum...moi je t'aurais bien proposer un Boum Boum Ciao'' Dit-il avec un sourie mesquin au bord des lèvres ''C'est vrai quoi, tu est une fille remarquablement bien foutue! Et surtout tu a du caractère, dis moi comment c'était les partis de jambes en l'air avec Berlin?''

Je sentis un sourire ce dessiner sur mes lèvres, si il penser pouvoir m'attaquer là dessus, il se tromper bien, Berlin avait était un amant parfait jusqu'à la dernière minutes de sa vie, malgré l'odeur de vomis, malgré ses faiblesse, Berlin avais garder toute sa bestialité et ceux presque jusqu'au dernier jours.
Je me tourna vers Palerme en souriant.

''Qu'est ce que tu veux savoir exactement? Après tout, tu a tout ton temps libre pour imaginer ce qu'aurait pu être votre vie, dit moi Palerme sa te fait quoi de te retrouver avec moi dans ton équipe? Celle qui avais le privilège d'enfoncer ses ongles dans la peau brûlante du dos de Berlin? Celle avec qui il a conçu un enfant? Sa doit te faire chier hein?''

Je vis au regard de Palerme que je venais de marquer un point, je savais comment attaquer Palerme, si il penser m'avoir en un claquement de doigt il se tromper bien, je n'étais pas du genre à me laisser faire, je n'étais pas Rio.

''Bon si tu n'as rien d 'autres à me dire je vais te laisser'' Dis-je en partant vers les escaliers

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Voilà pour ce chapitre, je suis là seule à kiffer les prises de têtes entre Pripiat et Palerme ?
La grosse bise 😘