Le casse du siécle -Parti 2-

-268- La guerre des otages

Après quelques secondes, qui parure une éternité t'en la tension était grande, Suarez lâcha Denver en soupirant.

''Putain, mais t'es un grand malade'' Hurla Denver en touchant sa nuque, avant de se retourner vers moi ''Tu les choisi bien tes mecs Pripiat, tous des taret''

Je restai à regarder Denver comme une enfant qui venez de se faire gronder, c'était bien la première fois que Denver me parlait sur ce ton, je e sentez étrange à vrai dire, je venez de passer par toute sorte d'émotion en un rien de temps, ce que Denver remarqua puisqu'il soupira en venant vers moi.

''Qu'est ce qu'il se passe hein ?'' Me demanda-t-il sur un ton plus calme cette fois-ci

''Il se passe que, comme tu l'as dit, je choisis très bien mes mecs, ils finissent tous par se tirer à la
fin ''Dis-je en partant vers la porte

J'entendis Suarez soupirer et vis rapidement le regard de Denver. Je m'arrêtai devant la pote et me tournai vers les deux garçons qui se fixaient tous deux amèrement.

''Bon'' Dis-je en respirant fortement ''Merci pour tout Suarez, tu sortiras avec Gandia, quant à toi Denver, je veux te voir à ton poste, cette journée commence à me les
brisés'' Dis-je en poussant la porte avant de sortir

Je pris une cigarette et parti m'asseoir sur les marches quelques minutes afin de me calmer. Autour de moi, une dispute avait éclaté entre tous le monde, il faut dire que nous étions dans une belle merde, après tout, nous avons tous signés pour cela et aussi fou que cela me paraisse, je ne penser plus qu'à Delhi, je n'avais pas était la grande sœur qu'il aurait voulu, ni celle que j'aurais voulu être. Je vis au loin Suarez et Denver sortir des toilettes, ils me lancèrent un regard avant que Denver ne retourne avec les autres, qui avaient commencé à reprendre leurs esprits. Suarez quand lui, s'approcher de moi un air de chien battu collé au visage.

''C'est bon ça va Suarez pas besoin de tirer une tronche pareil'' Dis-je une fois qu'il fut en face de moi

''Je sais ce que tu ressens, mais je ne devais pas faire un choix''

''Je sais, ne t'en fais pas, j'ai un fils, et même si je ne suis pas la mère idéale, je le choisirai lui'' Dis-je crachant une grosse fumer grisâtre ''Maintenant si tu permets, j'ai du travail, on doit vous faire sortir d'ici'' Dis-je en écrasant ma cigarette contre les marches en marbre

Je nu pas le temps de faire quelques pas qu'Arturo accouru face à nous.

''Tous à taire bande de terroristes'' Hurla t-il avant que des bruits de balles ne se fassent entendre dans toute la banque

''Putain de sa mère'' Dis-je avant de rouler sur le sol

Une nouvelle fois, nous avions été distraites par nos émotions, une stupidité bien humaine que de se fier à nos ressentis, nous étions des êtres humains et comme tout être humains nous étions guidé par nos émotions et à ce moment-là, nous allions payer très cher.
Jeu le temps de regarder autour de moi tous mes amis se coucher au sol, tandis qu'Arturo muni d'une mitraillette tiré dans tous les coins en hurlant, je vis Denver tomber au sol sûrement touché par une balle, je pris alors mon arme et me leva aussi vite que je le pouvez tendis que les otages partez en courant.

''Putain de merde'' Hurlais-je en commençant une course-poursuite

''Pripiat attend'' Hurla Stockholm

''Faut les rattraper putain'' Dis-je en continuant ma course

Les bruits de balles avaient cessé, mais nous devions les rattraper le plus vite possible. Je fut alors rejoint par Denver et les autres, mais Arturo cette ancien directeur de la fabrique de monnaie d'Espagne, ce prenez maintenant pour Jaques Mesrine, tirant dans tout les coins, lui aussi avait réagis par les émotions, il aimer se faire voir et quoi de mieux dans une prise d'otage que de faire croire à tout le monde qu'il était leurs héros? Le souci, c'est qu'Arturo n'était pas entraîné à la guerre, nous? Nous étions la guerre elle-même.

...
Bonjour, bonsoir mes petit Dalhi
Voilà un nouveau chapitre ! Je vais essayer de tenir un rythme maintenant que je suis de retour
La grosse bise