-221- Les souvenirs de Pripiat *Part2*

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Je sentez petit à petit la lourdeur de mon corps, comme si jel'avais quitter un petit temps, comme si je retourner dans ce corpsfroid, sens vie.

''Mademoiselle? Vous m'entendez?'' Me demanda un jeune homme

Très vite je me rendis compte que j'étais toujours dans la salle debain, toujours allonger contre le carrelage froid, toujours danscette même vie, j'aurais préférer ne pas me réveiller, oui maisvoilà sa en étai ainsi, j'étais de retour parmi les vivant et leurmonde infâme.

''On l'emmène avant qu'elle ne replonge'' Dit le même homme qui meparler à l'un de ses camarades

Mais j'étais trop épuiser pour suivre la conversation, je tomba denouveau dans se monde sombre qui m'engloutissez avec un tel bonheur.
Lorsque j'ouvris à nouveau les yeux, nous étions trois jours plustard, j'avais maigris, encore, j'étais perfuser de tout les coter,comme si j'étais en fin de vie, voyant que je n'était pas chez moi,j'essayais de bouger, un homme était dans la salle, il étaithabiller d'une tenue blanche, sur sa tête était disposer une grossecharlotte qui ne mettez pas son visage en avantage, bien aucontraire.

''Bonjour'' Me dit ce dernier en venant vers moi en souriant

Il y avais bien longtemps que j'avais vue un aussi beau sourire,j'aimais voir les gens sourire, c'était si beau, le sourire apporterquelques chose en plus chez les uns et les autres, quelques chose defort, la beauté ne venait pas du physique ni même de l'intérieur, mais du sourire.
Il tira une chaise et s'assit à mes coter en prenant un calepinsdans ses mains, il feuilleta quelques pages avant de tomber sur cellequi de toute évidence l'intéresser.

''Ne bouger pas trop, vous êtes encore
fragile'' Me dit-il d'unevoix douce et
calme ''Vous vous souvenez de ce qu'il c'est passer?''

''Bah oui'' Dis-je en soupirant

Comme si je ne me souvenez pas de ce qu'il c'était passer, je savaistrès bien ce qu'il c'était passer.

''Bien, pourquoi est-ce que vous avais fait cela?'' Me demanda t-il anouveaux d'une voix agréable

''Pourquoi vous vous ne le faite pas? Vous en avait des questionsbêtes'' Dis-je en soupirant

''Vous savais que vous aviez faillis mourir?''

''Failli...'' Dis-je en soupirant ''J'ai juste failli, alors pas dequoi s'inquiéter''

''Ne prenez pas sa à la rigolade mademoiselle, un suicide ce n'estpas quelques chose que l'on prend à la légère''

''C'est ma vie, ce n'est pas important''

''Pourquoi dite vous cela? Votre vie est tout aussi important quecelle de n'importe qui'' Me dit-il en souriant

Je le regarda non sûr de ce qu'il disait, non je n'étais pasimportante, pour personnes, je n'étais que la pute de Viktor, sonjouer, son vide couille et sont vide colère pour être exact, riende plus, rien de moins.
Sans que je ne comprenne ce qu'il se passe il attrapa ma main dans la sienne, je le regarda presque apeurer par ce geste, qu'est ce qu'ilme voulez?

''Une si jolie femme ne devrais pas avoir de tel penser''

''Jolie?'' Dis-je en riant ''Vous voudriez d'une femme aussi maigreque moi?''

''Si j'avais une femme aussi maigre que vous, je lui donnerez degrand repas, remplis de sauce et de viande'' Me dit-il en me faisantun clin d'œil complice qui me fit presque rire

''Lara'' Dit-une voix qui me donna presque des frissons ''Lara monamour''

''Ah je ne suis plus une salope!'' Dis-je en enlevant ma main decelle du jeune homme

''Bien'' Dit alors le jeune homme à la charlotte ''Je vais vous laisser'' Dit-il en se levant ''Si vous avais besoin de quoi que sesoit demander Léonid'' Dit-il en sortant de la pièce

Je le regard partir un large sourire coller au lèvres, Léonid,qu'elle beau prénom.
Viktor venez tout juste de s'installer à sa place et me raconterquelque petite chose, je n'écouter pas, je ne peser qu'à ce prénom,Léonid, toute la journée je n'avais penser qu' lui, Léonid,Léonid, Léonid, c'était comme une chanson qui passer en boucle àla radio.
Durant deux semaines Léonid venez m'aider à réapprendre lesquelques petites chose que mon cerveau avais décider d'oublier àcause de la forte dose de drogue que j'avais prise, il venez chaquejour, chaque jour nous discutions, nous rions, 'javais apprisbeaucoup de chose sur lui, oh ça oui, plus encore que ce quej'aurais penser, Léonid était un jeune infirmer de 28 ans, il avaisdéjà était marier, mais sens grand sucés, sa femme avait fini parle tromper avec le voisin, ils avaient tous deux divorcer d'un communaccord, Ce mariage avait ruiner le moral de Léonid, alors pouréchapper à son triste destin il avait décider de se lancer dans cequ'il aimer plus que tout au monde, la médecine, il avais repris sesétudes et le voilà aujourd'hui infirmier dans un petit hôpital àsoigner une toxicomane, à ses coté j'oubliais presque que j'allaisrentrer chez moi dans les jours qui suivaient, je ne voulez plus partir d'ici...mais je savais déjà que je n'aurais d'autre choix.Viktor jouer les amoureux perdu, lui qui ne savait rien faire, pasmême repasser son linge...je ne pouvez pas le laisser, nous étionsmarier, 'javais jurer fidélité au nom d'un putain de dieu et d'unputain de pays, je devais respecter cette engagement bidon...malgrémoi, mais qu'est ce que j'aurais pu faire d'autre?

''Bien tu a fait beaucoup de progrès'' Me dit Léonid en souriant

''C'est grâce à toi'' Dis-je à mon tour en souriant

''Ça va me faire drôle de ne plus t'avoir dans mes pieds toute lajournée''

''Je ne vois pas de quoi tu parle, je ne suis jamais dans t'espieds'' Dis-je riant tout en m'asseyant sur le rebord de mon lit

''Mais bien-sûr'' Ricana t-il avant de prendre un sérieux étrange''Tu sais je suis sérieux''

Ses yeux plongèrent dans les miens, et à la vue de son regard sipassionner je me demanda, quand est-ce que Viktor m'avais regardercomme cela? Quand avait t-il pris ma main dans la sienne en mesouriant? Quand m'avais t-il souris?

''Je sais que...ce que je vais te dire et complètement déraisonnermais...que tu a un maris, qui t'aime sûrement beaucoup mais''

Je le loupa, posant mes lèvres sur les siennes, sans même m'enrendre compte je venez de déclencher la pire des choses, la guerre,mon malheur, nos lèvres se séparèrent, nos regards se croisèrent,il sembler gêné, et moi aussi d'ailleurs, ce n'étais pas mon genrede faire cela, mais c'était une pulsion si forte, si enivrante queje ne pouvez résister.

''Waw'' Dit-il en riant timidement

''Je dérange'' Demanda une voix masculine derrière nous, une voixqui aller détruire mon existence

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Ça vous plait cette petite histoire ?
Perso j'aime bien il reste encore 1 ou 2 chapitre après on retourne dans la banque !
La grosse bise 😘

Le casse du siécle -Parti 2-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant