-211- Des aveux déchirant

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''Je sais que tu a pas toujours connus des moment joyeux'' Me dit Rio en me regardant à nouveau

''Oui c'est pas totalement faux'' Dis-je en souriant

''Pourtant...quand on te vois...tu semble aller plutôt bien''

''Ou tu veux en venir Rio?'' Le coupais-je

''Comment on fait pour ne plus y penser...comment on fait pour oublier''

Je pris une grande inspiration, Rio quand à lui baisser le regard, je n'aurais très franchement pas penser que Rio ne me pose cette question, à vrai dire Rio et moi étions aussi proche que Bogotá et les végétarien, on ne se parler jamais, nous travaillons seulement ensembles, alors qu'il me pose cette question, à moi me surprenait.

''Et bien...la réponse est simple Rio, la
vodka'' Dis-je en riant

Mais Rio était bien trop sérieux pour rire à ma blague, ce que je compris aussitôt après avoir vu sa tête, je repris alors un visage sérieux.

''On ne peut pas oublier Rio'' Dis-je dramatiquement ''La vie c'est un gâteau, un gâteau de merde, chacun à son gâteau et tout les matins on dois en manger une cuillère, parfois cette cuillère et plus remplis que d'autres, le plus important avec ce gâteau, c'est d'avaler aussitôt la cuillère, en fermant les yeux si tu veux ou en buvant de l'eau aussitôt après, mais il ne faut pas la garder en bouche, sinon le lendemain, lorsque tu mangera une nouvelle cuillère de merde tu en aura deux fois
plus'' Dis-je sous le regard incompris de Rio

Je me leva en regardant Rio, ses yeux étaient triste, ceux depuis qu'il était revenue avec nous, ce qu'il avait vécu avait dû être horrible, les flics non jamais eu l'habitude d'être tendre et ceux dans tous les domaines, mais nous n'étions pas tendre non plus, c'était ça qui nous lier peut-être les flic et nous? Peu importe, nous brisons des vies, mais eux aussi, sauf qu'à la différence les flics avaient le droit de détruire des vies, c'était presque bien vue, on détruit sans comprendre pourquoi, comme un vieux bâtiments au milieu d'un champ, on le détruit sans penser au gens qui vivaient dedans.

''Ce que tu dois en tirer de tout ça Rio, c'est que des merdes, tu en à vécu, c'était difficile, mais sa ne serra pas la dernière fois que tu en vivra...tu tombe parfois dans la vie mais le plus important c'est de toujours se relever pour ne pas se faire piétiner, je te demande pas d'oublier ce que tu a vécu, au contraire, je te demande de vivre fièrement avec ce que tu a vécu''

''C'est bien jolie tout sa...mais j'ai...j'ai l'impression d'être mort'' Dit le tout jeune homme presque en pleurant fasse à moi

''Alors ressuscite!'' Dis-je fermement ''C'est maintenant que tu dois te reprendre en main, tu en as toutes les possibilités! Laisse tout ça derrière toi, crois moi vivre dans le passé ce n'est pas bon, regarde moi Rio'' Dis-je en m'accroupissant devant lui ''Regarde moi, tu veux finir comme moi? Tu veux être un putain d'alcoolique? Tu veux ne plus pouvoir aimer quelqu'un? Tu veux te réveiller tout les matins avec la putain d'envie de prendre ton flingue et te tirer une balle? Si je te dis ça, c'est pas pour me plaindre mais'' Je sentais presque les larmes me venir ''Mais parce que je veux pas qu'on ressente ce que je ressens, je veux que tu puisses aimer, que tu puisses rire franchement! Je veux simplement que tu vives Rio, tu es jeune, beau et intelligent! Il ne faut pas que des putains de flics à la con te détruise comme sa, je sais pas ce qu'il ton fait exactement, mais il faut que tu t'en servent comme une force, rien d'autres'' Dis-je en posant ma main sur sa cuisse

Le regard de Rio était embaumé de larme, larme qu'il arrêta de garder pour lui, larmes qui se mirent à couler sur ses joues, larmes tranchantes qui lui déchirer le cœur.
Lorsque je le vis pleurer mon cœur se déchira presque, dans mon pays, les hommes n'avaient pas pour habitude de pleurer, c'était même très mal vue, lorsqu'un homme craquer et pleurant devant une femme chez moi, c'est que cette homme était fichu.
Habituellement j'aurais étais gêné face à Rio, je serrais sorti, je l'aurais laisser seul avec son chagrin, non par lâcheté mais parce que c'était comme ça, comme ça chez moi, j'avais été éduqué dans ce sens, mais je n'étais pas en Russie, pour la première fois depuis un long moment je fit ce que 'mon cœur me disait réellement, je pris Rio dans mes bras, je sentis alors ses larmes couler de plus en plus, ses sanglots tout près de moi, il posa son front sur mon épaule et ce laissa complètement aller à son vague à l'âme.

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Et voilà, le dernier chapitre de 2020!! Enfin !!
On se retrouve demain, enfin l'année prochaine 😂 (j'ai le droit de fair des blagues de merdes ok 😂) je vous souhaite un bon réveillons !
La grosse bise 😘

Le casse du siécle -Parti 2-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant