Précédemment dans Le casse du siècle
Après avoir fait le plus grand casse de l'histoire, Pripiat tombe folle amoureuse de Berlin, un homme complexe à analyser, plus vieux qu'elle est sauvagement viril, malheureusement ce dernier décède suite à une maladie génitale, le lendemain de la mort de Berlin, Pripiat apprend qu'elle attend un enfant alors qu'elle ne peut avoir d'enfant dû à son passer en Russie, entre drogue et radiation, les médecins la condamné de ne jamais avoir d'enfant, elle se retrouve donc avec le professeur, son beau frère, Raquel Murillo surnommé Lisbonne, une ancienne gendarme, ainsi qu'un étrange personnage prénommer Palerme, elle donne naissance à Tolède, un petit garçon plein de vie. Mais un tragique accident vas les pousser à reprendre les armes qu'ils avaient laisser derrière eux, leur ami Rio à était attraper par les forces de l'ordre qui se livre de torture barbare affin d'obtenir la moindre nouvelle du professeur, la bande se réunis et entre dans la banque d'Espagne, elle rencontre alors Suarez un flic amoureux de son travaille qui se détacherais de ce monde, pour les grand yeux de Pripiat.
...
Je sorti la première des toilettes suivis de près par Suarez qui remettez sa cravate en place, les otages le dévisageaient tous du regard, ils voulaient tous être à sa place, sortir d'ici pour retrouver leurs vies merdiques, mais même leurs vie merdiques étaient mieux que de rester avec nous, ce qui pouvez ce comprendre.
''Bon vous êtes près?'' Demandais-je au autres qui se tenait près de la porte
''Ouais'' Me répondis Helsinki
''Ok'' Dis-je avant de me tourner vers les otages ''Mettez tous vos masques, aller!''
Les otages firent aussitôt ce que je venez de leurs demander, revêtant leurs masques de Dalí, un masque devenu emblématique.
Je me tourna et laissa glisser le masque sur mon visage tout en prenant mon arme près de moi, Suarez face à la porte devait avoir le cœur qui battez à milles à l'heure, sa devais être si agréable de se dire qu'on aller sortir, les spécialiste ne parle que des troubles psychologique des otages après un braquages, mais personne ne parle des braqueurs, ce n'est pas facile pour nous non plus, parfois je me réveille en sursaut la nuit, le cœur battant si fort qu'on pourrais croire qu'il aller sortir de ma poitrine, allaitante comme un chien abandonner en plein dessert, je me réveille après être rentrée dans cette fabrique, je ressent l'odeur du papier, de l'encre encore fraîche sur les billet, l'odeur de cigarette dans le bureau de Berlin, et tout sa me fait terriblement mal, je me sens mal, j'ai mal au corps et au cœur lorsque je me réveille.''Helsinki vas y'' Dis-je en regardant droit devant moi
Helsinki me répond pas un hochement de tâte avant que les grandes portes ne s'ouvrent, les flics au dehors se précipite derrière leurs amas de protection, arme en main, près à tirer, près à tuer n'importe le quelle d'entre nous, du moment qu'il y a un mort.
Suarez les regardes presque uns à uns, avant de se tourner vers nous.''Aller casse toi'' Dis-je froidement
Il répond par un simple hochement de tête avant de sortir et de courir, presque aussi vite qu'il le pouvez, les militaires qui son près à tirer, ce lève et partent vers lui, voir si il vas bien, les portes quand à elles, ce refermes petit à petit, laissant la douce lumière de l'extérieur devenir de plus en plus petites jusqu'à ne plus exister, je soupire, laisse tomber mon masque, sous le regard de Denver qui enlève justement son masque.
''Bien tout le monde, retournons à nos occupation'' Dis-je en sortant mon paquet de cigarette
Les autres partent chacun de leurs coté tendis que je me dirige vers les escaliers pour surveiller mes otages, comme chaque jours, rien ne change vraiment.
''Alors minette ton gigolo n'est plus là pour te faire du bien?'' Ria Gandia lorsque je passe devant lui
''Ferme là Gandia'' Dis-je en crachant ma fumer
''Je peut le remplacer si tu veux''
Je m'arrête en riant face à ce que viens de me dire Gandia, Denver au loin observe la scène comme si il sentez un danger potentielle arriver, peut-être qu'il n'avais pas tord.
Je m'abaisse vers lui sans lâcher son regard démoniaque.''Tu pense vraiment pouvoir occuper la place d'amant Gandia?'' Dis-je en me retrouvant en face de lui
''Je te ferais suffisamment jouir pour que tu crève salope''
''Ah tu pense?' Dis-je toujours en riant
Je sorti le pistolet qui se trouver toujours sous ma combinaison et la pointa en direction du bas de vente de Gandia.
''Pripiat!'' S'écria Denver en venant vers nous
''Écoute moi bien Gandia, si tu pense pouvoir m'atteindre avec tes conneries tu rêve, sans compter que ta pas ce qu'il faut pour me sauter, continue de me manquer de respect et ton fils n'aura jamais de sœur, c'est clair?'' Dis-je en appuyant mon arme contre le bas ventre de Gandia
Il se mis alors à grimacer sans lâcher mon regard, deux caractère de feu, près à se tuer, voilà ce que nous étions.
''Pripiat! Arrête'' M'ordonna Denver
Je tourna mon regard vers celui ci, avant de ranger mon arme et de me lever sans prêter attention à Gandia.
''Je vais finir comme Palerme si sa
continue'' Dis-je en riant...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Voilà la suite, merci à ceux qui continue de lire.
La grosse bise 😘
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Le casse du siécle -Parti 2-
FanfictionSuite du premier livre, aller lire la première parti