La mystérieuse professeur Orélia (En Correction)

🌗Chapitre 15🌗

PDV Oralie / Orélia 

J'ouvre les yeux, prise d'une douleur épouvantable. Je suis dans l'infirmerie. Le soleil entre baignant la pièce d'une lumière chaleureuse. 

Je suis en vie... 

Madame Pomfresh se penche sur moi. 

- Oh vous êtes réveillée. Buvez cela.

 Elle me tendit un flacon, je me redresse avec difficulté et le bu... 

- Vous avez eu beaucoup de chance que Minerva et Serverus vous trouvent... Et annulent l'un des sortilèges qui vous a été lancé. 

Je reste silencieuse. 

- Vos blessures n'ont pas toutes cicatrisées.

- Depuis combien de temps, suis je ici ? 

- Trois jours. Vous avez pris un sacré choque. Et peu d'entre nous serait encore vivant .

- Oh Orélia, je vois que vous vous êtes réveillée. Déclare Dumbledore en entrant dans la pièce. Je ne l'avais pas entendue entrer.  

Il s'approche de moi.

- Minerva m'a fait part de ce qui vous est arrivé. Avez vous vu votre agresseur ?

Je ne peux pas lui dire.

- non. Je ... Je n'ai vu qu'une ombre. Je ne sais qui il était. 

- Celui qui vous a attaqué avait à sa connaissance les sortilèges impardonnables. dit Madame Pomfresh.

- ça ne peut pas être un élève. Nous n'apprenons pas ces sortilèges. 

Dumbledore me fixe. A t-il perçu mon mensonge ? Après tout je n'ai jamais vraiment su mentir.

- Si vous vous souvenez d'un détail faites moi s'en part, je vais mener mon enquête. 

Il sortit de la pièce. 

Me vint à l'esprit ma fille.

Lui a t-il fait quelque chose ? Je ne peux même pas savoir. 

PDV Hermione 

J'ai réussi ! 

J'ai réussi à décrypter la lettre de la professeur Orélia.

La langue, je ne la comprenais pas car c'est la langue des lumières, des runes elfiques. Un peuple qui a mystérieusement disparus il y a des centaines d'années. 

J'ai tout traduit,  lettre par lettres, cela ma pris plus d'une semaine.

Je la relis alors entièrement: 

'' Kenric, ça peut paraitre stupide de ma part de t'écrire... Mais j'ai besoin de parler. 

Kenric tu es l'heureux papa d'une petite fille, elle s'appelle Arianne . Comme tu le souhaitais mon amour. 

J'ai fuis les cités perdues kenric. Les invisibles sont devenu terriblement dangereux. 

Mais j'ai eu tord de penser que le monde des sorciers était plus sécurisé. Voldemort m'a capturé et me force à travailler pour lui, sous peine de tuer notre fille qu'il détient en otage.  Si tu savais comme ça me fait terriblement ma. Je ne veux pas tout ça. Mais je suis obligée. 

Kenric je t'aime tellement.... 

Oralie'' 

La professeur Orélia n'est pas une sorcière ? c'est une elfe c'est pour cela qu'elle est aussi  jeune. Mais c'est une traite ? Fin du moine contre son gré... mais elle reste une traite. Harry avait raison de se méfier. Que dois je faire ? prévenir Dumbledore ? 

- Hermione ? 

Ginny entre dans la pièce. 

- La professeure Orélia s'est enfin réveillée.... Tout va bien Hermione ?

- oui, oui ! Je range le papier dans ma poche. Est ce qu'elle va bien ?

- elle peut aller mieux.

Je ne sais quoi penser. La professeure Orélia est si gentille... et pourtant elle nous trahit, je devrais en parler...  Mais peut être lui en parler à elle d'abord. 

- Je me demande qui a pu l'attaquer. dit Ginny. 

- Moi aussi. 

En réalité j'ai ma petite idée la dessus. 

- Et si nous allions la voir ? peut être que cela lui ferait plaisir. 

Je la rejoins alors. 

- Tu as raison allons y. 

Nous sommes donc descendus à l'infirmerie. Madame Pomfresh est présente et la professeure McGonagall sortit au même moment où nous arrivions. 

Nous approchions du lit. Elle est en piteuse état. Les bras couverts de bandages, et quelques contusions au niveau du visage.  J'ai mal pour elle. Comme elle doit souffrir. 

- Bonjour professeur. Déclare Ginny. 

- Oh bonjour mesdemoiselles. répondit elle en nous souriant légèrement. 

Même dans un moment pareil, elle garde son sourire. 

- Comment vous sentez vous ?  demandais je. 

- Je vais bien mademoiselle Granger, j'ai vu bien pire. 

Je me demande ce qui peut être pire que de ce faire torturer à mort. Ginny discute avec elle. 

Je m'assois sur le lit d'à côté et je la détaille. 

Comment n'ai je pas pu voir que c'était une elfe plutôt, ses oreilles sont  légèrement pointues, ses yeux d'un bleu incroyable sans aucunes taches brunes. Ses cheveux sont comme une cascade d'or. Elle pourrait sortir droit d'un conte de fée avec ses joues roses. 

Je la vois d'un autre œil. 

- Mesdemoiselles, elle a besoin de se reposer maintenant. tonne l'infermière. 

Je m'approche furtivement d'elle. 

- Je sais qui vous êtes professeure... mais je n'en parlerais à personne... nous en discuteront plus tard.

Je croise son regard. Elle semble alors tressaillir de peur peut être d'angoisse. Elle pâlit alors. 

- Rétablissez vous bien. dis je en sortant.